Le 25 novembre , depuis l’adoption en 1999 de cette résolution par l’Assemblée générale de l’ONU, est la journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes. Cette date du 25 novembre a été choisie en mémoire des trois soeurs Mirabal militantes dominicaines brutalement assassinées sur les ordres du chef de l’Etat, Rafael Trujillo ( 1930 – 1961).
Une femme sur quatre dans le monde serait victime de violences domestiques selon un rapport de la Banque mondiale. La violence domestique, d’après un article du planing familial, est sans doute la forme la plus courante de la violence à l’encontre des femmes. 60 millions de femmes qui devraient être vivantes aujourd’hui ont « disparu » en raison de cette violence.
Plus de 5000 femmes sont tuées chaque année en Inde parce que leur belle famille estime que la dot ( argent, électroménager…) laissée par la famille de la mariée n’est pas suffisante. Dans la République Démocratique du Congo ce sont des milliers de femmes qui sont victimes de violences sexuelles comme le montre la vidéo suivante réalisée par l’UNICEF
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la France n’échappe pas à ce qui est un véritable fléau. 6% des femmes ayant entre 18 et 59 ans d’après l’INSEE ont été victimes d’injures sexistes en 2005, 2.5% ont été agressées physiquement et 1.5% ont déclaré avoir subi un viol ou une tentative de viol. Dans ce dernier cas, un sur cinq est perpétré par l’ex-conjoint et la moitié des victimes connaissaient leur agresseur.
Ainsi, aucune femme dans le monde n’est à l’abri de telles violences d’où la nécessité d’une telle journée et d’une campagne à l’échelle mondiale pour dénoncer cette violence. Aujourd’hui de grandes organisations humanitaires comme Amnesty Internationale lancent des campagnes de communication pour combattre ce fléau.
Pour aller plus loin: des sites:
