Compte rendu de notre sortie à la Bastille…

... de Grenoble.

Le vendredi 10 octobre 2014, nous sommes partis visiter le centre ville de Grenoble et la Bastille : Sommaire de la sortie

1- On sort du collège, on regarde les immeubles du quartier Mistral et les rues larges.la bastille vue du quartier

2- On prend le bus n°12 à l’arrêt Docteur Schweitzer. On descend à l’arrêt Verdun-Préfecture.

3- On marche jusqu’à la grande place de Verdun. Nous regardons la bibliothèque, de vieux immeubles, et l’ancienne université.

4- On marche dans les rues piétonnes du centre ville. On voit un morceau de l’ancien rempart de Grenoble. Grenoble s’appelait Cularo.

5- On arrive jusqu’à la statue du chevalier Bayard à la place Saint André. On voit une jolie et vieille église, et le théâtre.la statue du chevalier Bayard

6- On prend les bulles !la gare du téléphérique

7- On est dans les bulles, on traverse l’Isère.Dans la bulle

vue du musée dauphinoisdes nuages sur Grenoble8-On arrive à la Bastille, on voit les paysages de Grenoble, mais il pleut, il y a des nuages. On fait des exercices.OLYMPUS DIGITAL CAMERA

9- On redescend à pied.

10- On mange et on joue au foot.Le lion et le serpent

11- On fait la course dans les escaliers et on visite le musée Dauphinois pour savoir comment les gens vivaient avant dans la montagne.entrée du musée dauphinoisLes gens de l'Alpe 3Les gens de l'Alpe 1

12- On rentre au collège.

 LPPR

Poésie sur la ville …

L’ÉCOLE

Dans notre ville, il y a

Des tours, des maisons par milliers,

Du béton, des blocs, des quartiers,

Et puis mon coeur, mon coeur qui bat

Tout bas.

 

Dans mon quartier, il y a

Des boulevards, des avenues,

Des places, des ronds-points, des rues

Et puis mon coeur, mon coeur qui bat

Tout bas.

 

Dans notre rue, il y a

Des autos, des gens qui s’affolent,

Un grand magasin, une école,

Et puis mon coeur, mon coeur qui bat

Tout bas.

 

Dans cette école, il y a

Des oiseaux chantant tout le jour

Dans les marronniers de la cour.

Mon coeur, mon coeur, mon coeur qui bat

Est là.

Jacques CHARPENTREAU