Notre cours était consacré à la suite des oraux des élèves de Littérature et Société.
Une fois de plus, les élèves ont été performants, efficaces ; certains ont pris la peine de présenter leurs travaux avec un diaporama PowerPoint créé avec beaucoup de savoir-faire. Bravo à tous !
Oral de Nolwenn et Paula
Bon Oral ! Après un définition de la préhistoire et de la démarche préhistorique, notre binôme a présenté avec clarté les travaux de Henri Breuil et de André Leroi-Gourhan. Henri Breuil, le « pape de la préhistoire » classait les industries lithiques et interprétait les peintures pariétales comme une production religieuse et mystique. André Leroi-Gourhan retournait aux faits bruts avec un soucis constant d’objectivité, et travaillait selon un traitement statistique des données. Son interprétation des peintures pariétales s’en tenait à établir une distinction masculin / féminin des signes et des animaux représentés.
Deux petits conseils pour poursuivre ce bon travail : 1/ Par quelles méthode Leroi-Gourhan faisait-il ses statistiques ? 2/ qu’en est-il des sciences préhistoriques actuelles ?
Oral de Axelle et Juliette
Bon oral ! Notre binôme a présenté deux ouvrages consacré à la préhistoire : la série Les enfants de la Terre de Auel, et la bande dessinée Ticayou. Les élèves ont montré que même s’il s’agit d’histoires romancées, elles peuvent être documentées avec précisions : un véritable esprit scientifique peut se dégager de ces histoires inventées. Nous pensons que tout cela peut avoir un intérêt, même pour le savant : rendre vivant le passé de nos ancêtres, c’est aussi mieux se représenter dans l’imaginaire une vie concrète, qui a pu effectivement se produire. Si la science propose des théories abstraites, le romancier sait leur insuffler un peu de vie : et cela peut se faire sans trahir les faits. La fonction de ces ouvrages est évidemment pédagogique.
Deux conseils, toutefois :
1/faire référence à un autre support (par exemple, pour faire surgir une antithèse, évoquer Silex and the City… où tout est déformé, avec beaucoup d’anachronismes)
2/ Veiller à repérer dans l’oeuvre de Auel un passage représentatif (où se mêlent doctrines scientifiques et roman). La lecture d’un petit passage de ce livre permettrait de mieux illustrer l’exposé oral.
Oral de Bianca et Eva
Bon oral ! Après une description minutieuse des matériaux utilisés, et bien illustrée par des photos, notre binôme a su exposer avec clarté ce qu’il en est des mains positives et négatives que l’on trouve dans des grottes ou sur des roches partout dans le monde. Nous avons appris, notamment, que la science moderne est capable de dire si les mains positives représentées sont masculines ou féminines. Il y a des mains de femmes : l’intérieur des grottes n’était pas réservé aux hommes.
Un conseil pour nos deux élèves : bien préciser qu’on a peut-être ici affaire à une sorte de langage. Quelques audaces interprétatives seraient les bienvenues, même si dans ce domaine les certitudes sont évidemment impossibles…
Oral de Clémence et Marius
Bon oral ! C’est avec un tableau bien documenté que notre binôme a présenté une possible évolution des arts et des techniques. La scission activité artisanale / activité artistique (ou esthétique) a été bien dégagée. Le découpage en périodes paléolithiques a aussi été bien réalisé.
Conseils : 1/ Mieux expliquer comment la taille des pierres s’est affinée, précisée, perfectionnée. 2/ Et montrer aussi qu’en matière d’esthétique la notion de PROGRES est moins évidente… après tout certains préfèrent Mozart à justin Bieber (ou Justin Bieber à Mozart !…)… de la même manière et en vertu des évolutions des goûts et des styles, il n’est pas absurde de penser que les artistes de la grotte Chauvet étaient plus talentueux que ceux de Lascaux (13000 ans plus tard !)
Oral de Antoine et Julie
Bon oral ! L’exposé était suivi d’une vidéo de Bertrand David : désormais nous savons tout sur cette démarche technique que nous avons appelé « méthode des ombres chinoises ». Cette technique résout bien des mystères… mais est-elle scientifique ? Des critiques existent et notre binôme en a présenté certaines dans un oral vivant et dynamique. Dans tous les cas, les hypothèse de travail sont les bienvenues, et les élèves ont su montrer qu’un peu d’audace en science ne fait jamais de mal – il faut parfois savoir bouger les lignes, changer les paradigmes !
Conseils : 1/ Préciser quelles sont les étapes de la démarche scientifique et 2/Montrer que d’autres critiques peuvent être adressées à Bertrand David – la liste pourrait donc être un peu allongée.
Pascal Georget.
Vendredi 15 novembre, 6 binômes ont présenté leurs travaux, à l’oral. Les 5 autres groupes le feront le 22 novembre, en salle 401. L’objectif est double : 1/ partager à toute la classe l’étendu des recherches, afin que chacun sache ce que les autres font, et 2/ préparer le Grand Oral du 20 décembre devant un public plus large.
Merci à Pauline qui s’est faite photographe pour l’occasion..
Deux remarques techniques méritent d’être retenues du cours d’aujourd’hui :
1/ Le 20 décembre, nous devrons nous munir d’un pointeur laser – cela facilitera les exposés et 2/ en plus des photos, il serait bon d’illustrer les propos des élèves avec quelques vidéos (vidéo de l’usage du propulseur pour les techniques artisanales – groupe Arthur/Emma et vidéo d’un exorcisme chamanique -groupe Juliette/Lilian… le professeur fera des propositions de vidéos aux élèves le 22 novembre)
Oral de Arthur et Emma :
Bon oral, qui a su distinguer avec soin artisanat (savoir-faire technique) et beaux-arts (activité esthétique). Parler des arts préhistoriques, c’est parler à la fois des propulseurs, des silex, et des peintures ou sculptures.
Pourtant, notre binôme doit aussi élargir son travail aux arts préhistoriques dans le monde (Afrique, Australie, Amérique du sud, etc…).
Oral de Marina et Julie :
Bon oral, qui a présenté un bestiaire rigoureux, avec une classification (=une taxinomie) efficace. Le tout est bien documenté. Une photo d’un mégacéros est disponible sur ce blog, article « Séance du 8 novembre ».
Pourtant, notre binôme pourrait préciser comment tout cela s’organise (ou pas !) dans les grottes : y’a-t-il un ordre, une place pour chaque animal, ou sont-ils peints à tel ou tel endroit au hasard ?
Oral de Gaëtan et Anaïs :
Les efforts sont appréciés dans cet oral qui su présenter différentes représentations de l’homme et de la femme. Notre binôme pouvait pourtant préciser que ces peintures ou gravures ne sont pas seulement sexuelles : il y a comme de la religiosité à magnifier ainsi le corps de la femme (une femme hypertrophiée dans ses organes génitaux pour mieux célébrer la reproduction et donc la survie d’un groupe). La femme est idôlatrée, représentée comme une vénus, sans doute car c’est elle qui porte et transmet la vie. Ici il ne faut pas hésiter à souligner que les scènes proprement sexuelles sont rares (même lorsque des animaux sont représentés : ceux-ci ne copulent que très exceptionnellement, et le plus souvent on ne connaît même pas s’ils sont mâle ou femelle). Un petit clin d’oeil à Leroi-Gourhan aurait été judicieux : ce préhistorien célèbre a formulé l’hypothèse selon laquelle les signes et les symboles qui accompagnent les peintures pourraient avoir une connotation sexuelle.
Oral de Léna et Pauline :
Bon oral, qui a clarifié d’une part la distinction entre les psychogrammes, les idéogrammes et les pictogrammes, et d’autre part les relations entre les signifiants, les signifiés et les référents. Tout cela faisait dire à notre binôme que les premiers homo sapiens étaient doués de capacités intellectuelles solides et que leurs cultures étaient particulièrement marquées : c’est une bonne remarque !
Mais notre groupe doit encore montrer où tout cela se retrouve dans l’art pariétal, et préciser ce qui est culturel dans la construction de tels ou tels signes (le blason est culturel car on ne le trouve qu’en Europe de l’ouest, tandis que le point est universel, même si son signifié pouvait varier d’une ethnie à une autre). Un clin d’oeil à la plaquette de Cosnac est impératif : de la part d’un hominidé, c’est le premier signe graphique que nous connaissons :
Oral de Flavie et Lorraine :
Bon oral, qui a présenté avec beaucoup de soin cette « scène du puits ». Notre binôme a même su élargir l’exposé avec un petit cours sur l’usage du propulseur (une photo avait déjà été déposée sur ce blog dans l’article « cours du 8 novembre »). Nous en savons désormais un peu plus sur cette peinture originale, qui représente notamment un homme à tête d’oiseau, blessé par un bison, et qui semble d’élancer à 45° vers un monde parallèle (un royaume des morts ?).
Ne pas hésiter à rappeler, toutefois, que ce ne sont là que des interprétations… difficile de savoir ce qu’a voulu dire l’auteur de cette peinture !… mais dans le fond tout le monde semble s’accorder à dire que ça paraît être un hommage funéraire à un chasseur blessé par un bison… comme quoi un dessin c’est toujours parlant !
Oral de Juliette et Lilian :
Un oral brillant de la part de Juliette et de Lilian. Cette présentation des significations et des interprétations de l’art pariétal était assez complète. Pourquoi des telles créations artistiques dans le fond des grottes? Peut-être sont-elles des oeuvres de chaman, de magiciens, qui cherchaient à insuffler de la puissance aux chasseurs ? En transe, peut-être avons nous affaire ici à des sortes d’expériences mystiques ? Dans tous les cas, des références à Lévi-Strauss et à Bourdieu ont donné de la profondeur à l’oral de notre binôme, avec une explication solide du structuralisme ! Il serait bon d’illustrer tout cela le 20 décembre avec une petite vidéo d’un « exorcisme » chamanique : les élèves pourront la consulter la semaine prochaine en salle 401 !
Bravo aux élèves : tout cela forme un bon et beau travail !
Pascal Georget.
Le vendredi 8 Novembre, les élèves ont terminé la préparation de leur exposé de la séance du 15 Novembre.
Chaque binôme devra présenter l’état de ses recherches à la classe, en salle polyvalente.
La photo d’un Mégacéros (=immense cerf des temps préhistoriques) sera peut-être utilise à Marina et Julie.
Clémence et Marius auront peut-être besoin de ces techniques artistiques que se sont transmis les premiers homo sapiens :
Sur l’usage du propulseur, voici un graphique utile à Loraine et Flavie :
Pascal Georget.
De façon dynamique et studieuse les binômes travaillent efficacement : c’est bien. Leur objectif, pour le moment, consiste bien sûr à récolter des données, mais aussi à préparer leurs exposés du 15 Novembre. Ils pourront faire leurs oraux en illustrant leurs propos de photos, de diaporamas, de petites vidéos (temps limite : moins de 10 minutes par groupe). Les binômes sont aussi invités à échanger leurs documents : ceux qui leur ont été prêtés en début d’année peuvent être photocopiés et échangés. Les livres doivent circuler !
Flavie et Loraine restent coincées au fond du puits (de Lascaux) :
Julie et Marina comptent les espèces (1 mouton / 2 moutons / 3 moutons / 4 moutons…)
La Star du Web : le Antoine Show, plus rapide que son ombre :
Juliette et Lilian concentrés, captivés, émerveillés, absorbés, bref : en transe… :
Une petite vidéo pour vous :
Pascal Georget.
Cette nouvelle séance a laissé les élèves en autonomie au CDI du lycée : chacun devait faire des recherches sur la thématique choisie. Quelques découvertes ont marqué ce travail, dont voici quelques exemples (désolé si les 11 groupes ne sont pas mentionnés…) :
– Léna et Pauline ont clarifié la distinction pictogramme / idéogramme / psychogramme et sont parvenues à saisir les différences entre signifiant / signifié et référent. Si certains signes des arts pariétaux sont difficiles à interpréter, c’est parce que le lien entre le signe et ce qu’il représente est arbitraire ou conventionnel.
– Clémence et Marius travaillent sur l’évolution des arts préhistoriques. Aujourd’hui, ils ont distingué les grandes périodes du paléolithique que sont le Moustérien, le Châtelperronien, l’Aurignacien, etc… Ils ont appris, notamment, que ces moments de l’art font référence à des lieux où ont été trouvés des gisements d’arts caractéristiques.
Antoine et Julie ont établi un plan de leur travail sur la fameuse hypothèse des ombres projetées. 1ère partie : les problématiques soulevées par Bertrand David. 2ème partie : comment l’hypothèse des ombres résout ces problématiques et comment fonctionne l’activité scientifique (la méthode épistémologique). 3ème partie : les critiques adressées à Bertrand David : sa démarche est-elle véritablement scientifique et corroborée par l’expérience ?
Axelle et Juliette étudient les romans préhistoriques et ont eu l’idée d’élargir leur recherche : ne pas travailler exclusivement sur les romans pour adultes (AUEL) mais aussi sur la littérature de jeunesse. Les aventures de Ticayou offrent une base solide pour commencer. Elles pourront notamment se demander en quoi ces ouvrages aident à mieux comprendre la vie de nos ancêtres.
Et pendant ce temps, Flavie plonge dans la scène du puits !
A noter qu’un site peut aider de nombreux binômes :
http://www.lieux-insolites.fr/annexe/rupestre.htm
Pascal Georget
Le cours du 4 octobre a fait l’objet de 4 moments :
1/ Découvrir le blog Littér’Andaines (beaucoup d’élèves n’en connaissaient manifestement pas l’existence).
2/ Découvrir les anciens numéros de Littér’Andaines (ils peuvent être consultés ici, dans l’historique de l’onglet « accueil » : il suffit de cliquer sur les liens de téléchargement).
3/ Visiter virtuellement et sur le web une grotte préhistorique : le site de Lascaux offre la possibilité de voir en vidéo quelques endroits de ses célèbres fresques).
4/ Commencer le travail de recherche sur les thématiques choisies par les binômes.
5/ … et bien sûr faire quelques photos, dont les meilleurs clichés sont visibles ci-dessous (désolé pour ceux qui n’apparaissent pas… ce sera pour plus tard !)
Les nomades de Littér’Andaines se sont regroupés pour l’occasion dans une salle informatique. La semaine prochaine nous continuerons notre transhumance vers la salle 401 puis vers le CDI.
Antoine avant sa conversion à l’enseignement « Littérature et Société » :
et après sa conversion :
Arthur et Emma ont parfaitement intériorisé la thématique préhistorique :
Pauline et Léna dans les profondeurs de la linguistique :
Julie, intriguée par la conception qu’Antoine se fait des ombres chinoises :
En parcourant la grotte de Lascaux sur internet,
Julie et Marina plongent au cœur du bestiaire :
Juliette, ou l’art de la dissimulation :
Clémence et Marius ont commencé leur recherches
sur l’évolution de l’art préhistorique…
Juliette, notre interprète :
Sous la pression, le professeur s’exécute
(merci à Antoine pour l’arrière plan qui apporte toute sa dynamique à l’œuvre
et à Léna, notre photographe) :
Pascal Georget
Depuis notre cours du 27 septembre, le site a encore évolué :
En haut à droite, l’onglet « #6 – l’art préhisto » a été actualisé : vous pouvez y trouver la répartition des groupes d’élèves et tout savoir sur le travail qui a été confié à chacun.
La page « Documentation » est en construction : elle sera actualisée tout au long de l’année.
Deux vidéos méritent d’être connues :
1/ La première concerne Lascaux. Pour se faire une idée de ce qu’est une fresque pariétale, vous pouvez consulter sur le site de la grotte de nombreuses peintures et gravures : http://www.lascaux.culture.fr/#/fr/00.xml
[Une fois sur la page d’accueil du site, cliquez sur « visite de la grotte »]
Nous en reparlerons vendredi 4 octobre en salle E04.
2/ La seconde vidéo concerne plus particulièrement le binôme Antoine / Julie : elle explique comment Cro-Magnon aurait pu reproduire quelques œuvres pariétales – notre binôme devra évidemment critiquer cette vidéo :
http://www.youtube.com/watch?v=f8kvxDdgDQI
Pascal Georget.
Les Homo Sapiens de Litter’Andaines sont arrivés ! En voici un specimen… :
…et toute une tribu d’élèves de Seconde, armés de silex…. :
Ci-dessous un petit résumé des séances du 13 et du 20 septembre :
« Les deux premiers cours n’ont été qu’une introduction à la préhistoire. Le vif du sujet reste à venir.
Tout d’abord, nous avons fait rapidement le point sur l’écrit et sur la littérature. On considère traditionnellement que l’écrit est apparu en 8000 av. JC , sous forme d’empreintes ossécailles en Chine. Ce sont des pictogrammes qui peuvent être définis comme des sortes d’ancêtres des hiéroglyphes de l’Egypte ancienne.
D’où notre problématique : n’y a-t-il pas déjà de tels signes dans l’art préhistorique ? Les hommes préhistoriques ont-ils connu l’écriture ? Mais alors, comment penser en même temps qu’il y ait de l’écrit au paléolithique, et que l’écrit sépare l’histoire de la préhistoire ? N’y-a-t-il pas là contradiction ? Ou alors les signes peints au fond des grottes ou gravés sur la pierre ne seraient-ils pas encore tout à fait de l’écriture ? La question sera longuement étudiée dans les prochaines séances.
Pour l’heure, rappelons juste que la préhistoire est découpée en trois périodes : le paléolithique, le mésolithique et le néolithique. Pour étudier la question de l’écrit, nous nous concentrerons plus particulièrement sur le paléolithique : c’est là que l’art apparaît déjà, sous la forme d’art mobilier, rupestre et pariétal (cette définition de l’art sera complétée dans de prochains cours). Des signes sont visibles partout : comment les comprendre ?
Pour mieux poser le problème, nous avons fait un topo rapide sur l’évolution de l’homme. L’hominisation s’est déroulée sous des formes souvent méconnues : Orrorin, Toumaï, les australopithèques, homo habilis, Ergaster, Erectus, l’homme de Néanderthal, Homo Sapiens (Appelé aussi Cro-Magnon à ses origines). Ces espèces ne se suivent pas linéairement dans le temps, mais le plus souvent co-existent avant de s’éteindre. Ainsi, Néanderthal a disparu il y a environ 30000 ans, après avoir vécu sa fin de vie avec les Homo Sapiens. De nos jours, seul Sapiens existe (nous ne formons tous qu’une seule espèce, sans aucune distinction de race possible) et une étude récente montre que des gènes de Néanderthal sont encore présents dans quelques populations : cela n’enlève rien à l’idée que nous ne formons qu’une seule et même espèce.
Notons que les peintures pariétales que nous étudierons sont faites par Sapiens, mais Néanderthal connaissait déjà la création artistique (sous forme de parures…). Néanderthal est loin d’être un idiot : son cerveau plus volumineux donne même à penser qu’il pouvait être plus intelligent que nous. Sa disparition reste un mystère, et à ce sujet il y a autant d’hypothèses qu’il y a de préhistoriens…
Le prochain cours sera une présentation plus détaillée des signes qui nous sont parvenus. Aussi, nous aurons peut-être le temps de constituer des binômes : un travail d’investigation sera attribué à chaque groupe.
A bientôt
[Pour nous écrire : litterandaines@laposte.net]
Pascal Georget. »
Bienvenue sur le blog de Littér’Andaines !
Bonne nouvelle : un nouvel onglet vient d’apparaître sur le blog. Son nom est évocateur puisqu’il désigne la thématique sur laquelle nous allons travailler en vue de la publication de Littér’Andaines #6 : L’ART PREHISTORIQUE
Cro-Magnon gare à toi : voilà un groupe de 22 élèves-investigateurs-acharnés qui va te scruter dans les moindres détails, jusqu’aux profondeurs de ta conscience naissante !
