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Suite d’un extrait de L’Education sentimentale de Gustave Flaubert.

Posted by on 29 janvier 2011

…..Il s’agissait de respecter le cadre spatio-temporel et les éléments importants de l’histoire.

…..Jules Moreau s’est épris d’une femme mariée. Désireux de la revoir, et profitant de l’absence de son mari, il prend son courage à deux mains et se rend chez elle. Il est reçu par… son mari ! Cette situation, qui fait sourire le lecteur, plonge le personnage dans un abattement tel qu’il ne sait plus comment occuper ses journées. Voici à quoi se réduisent les « trois mois d’ennuis » qui suivent :

« Il passait des heures à regarder, du haut de son balcon, la rivière qui coulait entre les quais grisâtres, noircis, de place en place, par la bavure des égouts, avec un ponton de blanchisseuses amarré contre le bord, où des gamins quelquefois s’amusaient, dans la vase, à faire baigner un caniche. Ses yeux délaissant à gauche le pont de pierre de Notre-Dame et trois ponts suspendus, se dirigeaient toujours vers le quai aux Ormes, sur un massif de vieux arbres, pareils aux tilleuls du port de Montereau. La tour Saint-Jacques, l’Hôtel de Ville, Saint-Gervais, Saint-Louis, Saint-Paul se levaient en face, parmi les toits confondus, – et le génie de la colonne de Juillet resplendissait à l’orient comme une large étoile d’or, tandis qu’à l’autre extrémité le dôme des Tuileries arrondissait, sur le ciel, sa lourde masse bleue. C’était par-derrière, de ce côté-là, que devait être la maison de Mme Arnoux.
Il rentrait dans sa chambre ; puis, couché sur son divan, s’abandonnait à une méditation désordonnée : plans d’ouvrages, projets de conduite, élancements vers l’avenir. Enfin, pour se débarrasser de lui-même, il sortait. »

…..J’ai demandé aux élèves de changer les deux dernières phrases pour donner l’impression que les actions ne se produisent qu’une fois. Ils ont alors employé le passé simple :

« Il rentra dans sa chambre; puis, couché sur son divan, s’abandonna à une méditation désordonnée : plans d’ouvrages, projets de conduite, élancements vers l’avenir. Enfin, pour se débarrasser de lui-même, il sortit. »

Ces deux phrases devaient donner l’impulsion à la suite de texte demandée. Laissons les élèves se prendre au jeu de l’imitation.

…..Il se dirigea vers un bureau de poste, qui se trouvait à  l’angle de sa rue, et acheta ses deux journaux préférés : L’Equipe, pour l’actualité sportive, et Le Monde, pour s’instruire sur les faits importants.

…..Il marchait vers la Seine, d’un pas calme, tout en lisant L’Equipe, quand tout à coup il trébucha en montant sur un trottoir. Il cassa ses lunettes et en essayant de se rattraper, déchira son journal. Étrangement, il se releva, remit ses lunettes, bien qu’elles fussent cassées, et reprit sa marche vers le fleuve.

…..Il s’assit sur un banc, reprit son journal déchiré et se remit à lire. Les passants le regardaient étrangement mais cela ne le dérangeait pas. D’ailleurs il ne s’en préoccupait même pas. Dès qu’il eut fini sa lecture, il regarda les péniches et les bateaux mouches voguer sur la Seine, reprenant sa méditation.

Antoine.

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…..Il marcha quelques heures. Ils pensait à Mme Arnoux, il se demandait si elle reviendrait un jour. Si elle pensait à lui. Il se disait que M. Arnoux partirait peut-être et que, pendant son absence Mme Arnoux reviendrait à Paris. Mais ce n’était que son imagination. Puis, il continua à avancer, il se faisait tard et n’ayant plus le temps de rentrer chez lui, il s’assit sur un banc près de la Seine et s’endormit au murmure de l’eau.

…..Après une nuit pleine de rêves, il fut réveillé par un groupe d’enfants agités et pour éviter des questions de tout genre, il se leva et se faufila rapidement parmi la foule. C’était un jour de grand soleil. En ayant assez d’être désespéré, Frédéric décida soudainement d’aller chez Mme Arnoux voir si elle était revenue. Plein d’espoir, il courut pendant un bon quart d’heure et tout essoufflé, il sonna à la porte. Ce fut M. Arnoux qui répondit, et très étonné il demanda: « Qu’est-ce qui vous amène mon cher Frédéric? » Frédéric, déçu et ne sachant pas quoi dire  répondit: « Je venais pour vous inviter à dîner, vous et votre femme. » Ce à quoi M. Arnoux répondit contre toute attente: « Vous êtes bien tombé, Mme Arnoux rentre demain soir! » Fou de joie, Frédéric lui serra la main et repartit dans la direction de chez lui en pensant à sa bien aimée qu’il reverrait sans plus tarder…

Ambroisie

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…..Il alla se promener tout seul au bord d’une plage. Quelques heures plus tard, il retourna chez lui pour penser à ce qu’il ferait le lendemain. Il se coucha dans son lit et dormit faisant des rêves étranges. Le lendemain matin, il se réveilla grâce à une horloge qui faisait un bruit d’oiseau. Il prit son petit-déjeuner et alla chez son meilleur ami qui se nommait Pierre pour raconter ses rêves de la nuit dernière. Ils discutèrent pendant plusieurs heures et se dirent au revoir.

serge

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…..Il s’en alla vers les rives du fleuve errer sur les chemins qui le bordaient. Ce jour là, la Seine était calme et paisible, et l’homme pouvait entendre le bruit de l’eau sur les pierres. Il s’assît alors sur un banc à l’ombre d’un grand marronnier. Il contempla pendant de longues minutes cette nature avec laquelle il fut bercé pendant son enfance. L’homme se remémora ses souvenirs d’antan, des moments de sa jeunesse si doux, simples et heureux qui étaient à présent mort, comme jamais vécu.

…..Le soir allait bientôt tomber et l’ombre que lui procurait le marronnier avait installée une légère fraicheur. L’homme sortit alors sa pipe de sa veste, la remplit de tabac et l’alluma. Des nuages de fumée flottaient dans l’air, ils tournaient et dansaient autour de lui. Leurs formes changeaient et au moindre coup de vent, les nuages se dissipaient au loin.

…..Auprès de son arbre, la pipe au bec, ses paupières s’alourdirent. Il s’adossa alors au marronnier, fit tomber son brûle-gueule, et s’endormit.

Ilan

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…..Une fois dehors, il décida de se rendre chez un ami qui habitait à quelques coins de rue. Il l’avait connu lorsqu’il était plus jeune. Il pensa que cette visite lui changerait les idées. Mais, arrivant au pied de l’immeuble, il se souvint que ce dernier l’avait prévenu qu’il partait en vacances. Il avait complètement oublié ce détail !

…..De dépit, il continua son chemin sans réfléchir à la direction qu’il prenait.

…..Cependant, il arriva sur les quais de Seine, et trouva cet endroit fort agréable. De plus, il remarqua les bouquinistes, et l’envie d’acheter un livre lui était irrésistible, lui qui adorait la lecture. Il en acheta donc un, pas très long, et alla s’assoir sur un banc. L’endroit était paisible, et il appréciait ce calme. Néanmoins, l’image de Mme Arnoux lui revint à l’esprit : c’est alors qu’il commença à s’imaginer que Mme Arnoux l’avait peut-être oublié, et était partie. Il essaya de s’imaginer qu’elle allait peut-être revenir plus vite que prévu et qu’elle le trouverait là. Mais, tout cela n’était que son imagination et la triste réalité était toujours présente. De dépit, il se remit à sa lecture.

Yann T.

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…..Au loin , il vit un jeune couple main dans la main , il repensa à Mme.Arnoux , le mari de celle-ci , son sois disant voyage . Il fut tiré de ses pensées par un bruit étrange qui venait de la rue d’à coté. Après quelques minutes il vit que ce n’était qu’une bousculade , rien d’important.  Le jeune homme marcha sans but précis, il ne savait pas où il allait , il voulait juste oublier.

…..Il vit un bar , il décida d’y rentrer. Frédéric Moreau qui n’était pourtant pas homme à boire, commanda un, puis deux , puis trois verres. Au bout de la huitième commande le barman refusa de le servir. Il lui demanda de sortir , Frédéric devint alors agressif. Après les menaces du barman , le jeune homme décida de quitter le bar.
…..La nuit vint , Frédéric déambulait dans les rues de Paris. La fatigue lui vint , il s’endormit adossé aux barrières d’un parc publique .
Laura E.
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…..Il alla se promener sur les bords de Seine, s’abandonnant à ce merveilleux paysage : les cygnes blancs nageant sur les bords du fleuve ; les bateaux navigant sur le courant ; les peintres, sur le rivage, peignant ce magnifique paysage : tout cela lui donna un peu plus de goût à la vie.

…..Il se dirigea alors vers un somptueux bâtiment blanc, non loin des rivages de la Seine : le théâtre. On y donnait la représentation d’une des fabuleuses pièces de William Shakespeare : Roméo et Juliette. Frédéric Moreau, étant un passionné de théâtre, n’hésita pas une seule seconde : il entra…

…..En sortant de la salle, un sentiment de joie l’envahit : il était heureux… Heureux, non pas d’avoir vu la pièce ; mais heureux d’avoir put ressentir sa passion jusqu’au plus profond de lui-même !…

…..Il s’engagea alors dans une petite rue, où il entra dans l’un des magasins : une librairie. Ayant adoré la pièce qu’il venait tout juste de voir, il en acheta une des adaptations (qui, ma foies, fut fort plaisante à lire !).

…..Ayant les idées un peu plus claires, et comme il commençait à se faire tard, il rentra…

Lisa C.

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…..A quelques minutes de chez lui, il aperçut un petit bar à un croisement de rues. Ne sachant plus quoi faire de lui-même, il entra. L’intérieur du bar était éclairé par une lumière sombre. Celle du jour était bloquée par des volets, si bien que l’on ne pouvait pas savoir s’il faisait jour ou nuit à l’extérieur. Frédéric se trouva une petite table dans un coin, à l’abri du bruit des habitués du bar, et attendit que quelqu’un vienne prendre sa commande.

…..Après quelques minutes, durant lesquels Frédéric se lamenta sur son sort, le barman vint lui demander ce qu’il voulait boire. Le personnage était vêtu d’un tablier, autrefois blanc, maintenant couvert de taches, avait une barbe semblable à son tablier et était chauve. Son nez était gros et rouge à cause de son habitude de boire plus qu’il ne le faudrait.

…..Le barman dut reposer plusieurs fois la question, tant Frédéric s’était renfermé sur lui-même. Ne sachant pas quoi prendre, Frédéric demanda au barman de lui apporter n’importe quoi à condition que cela soit fort.

Sarah B.

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…..Il marcha, sans se soucier de sa destination finale. Il longea la Seine qui miroitait au soleil. Il s’arrêta un moment, les yeux vidés de tous sentiments: sa vie n’avait plus de sens sans Mme Arnoux. Frédéric passa sur l’autre rive en empruntant le pont Neuf. Soudain, le bruit dur et sec d’un marteau sur un mur le sorti de ses pensées profondes: des ouvriers terminaient leur longue et fatigante journée.  Il ne savait pas combien de temps il avait erré dans les ruelles de la rive droite de la Seine. Ces rues étroites devinrent progressivement sombres quand le soleil se rapprocha de l’horizon. Au fur et à mesure que les passants disparaissaient, les lumières à l’intérieur des maisons s’allumèrent. La nuit était tombée.

…..Frédéric se retrouva seul, dans une très sombre ruelle d’un quartier qu’il ne connaîtra que plus tard, le jour de son mariage. Il s’arrêta devant une première maison où il entendit la voix d’un homme en colère accompagnée d’un bruit de brisement de vaisselle puis les pleurs d’une femme accablée. Il pensa à Mme Arnoux, soupira et continua son chemin vers une maison où il entendit des rires de deux enfants; mais une bonne ferma les rideaux avant qu’il ne puisse voir l’heureuse scène. Frédéric se sentit exclu d’un monde plein de vivacité et conclu qu’il devait tout faire pour recommencer sa vie sans Mme Arnoux. Il se retourna et partit dans la direction inverse. Frédéric bouscula un clochard, qui était sorti de nulle part, sans s’en rendre compte. Il cogitait ses plans et rien ne pourrait arrêter sa volonté de changer de vie.

Clara

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…..Une fois sorti, il marcha pendant un long moment, rêvassant de son impossible avenir avec Mme Arnoux. Quand tout à coup une voiture grise arriva à toute vitesse, grilla un feu rouge et percuta un homme sur une moto, qui lui, pourtant, avait respecté le code de la route. Un témoin du spectaculaire accident appela une ambulance tandis que le jeune étudiant resta paralysé. L’ambulance ne put rien faire, le motard mourut sur le coup. A ce moment là, Frédéric se dit que la vie était trop précieuse pour être gâchée à passer des journées entières à rêvasser.

…..Et il décida d’aller voir Mme Arnoux pour lui exprimer son amour car la veille il l’eut vu marchant sur le trottoir de la rue en face de chez lui et sut donc qu’elle était rentrée de vacances. Aussitôt, le jeune homme fit demi-tour, prit la première rue à droite et se rendit chez madame Arnoux le sourire aux lèvres. Et plein d’espoir l’étudiant frappa à la porte…

Bruno

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…..Il sortit sans même savoir où il allait. Aucune idée, aucune destination. Que du vide dans sa tête. Peut-être pouvait-il aller au parc? Au lac? Au marché ? Il chercha en vain, une idée. Mais toujours rien. Il marcha dans la ville, dans son quartier, dans les rues. Celles-ci lui semblaient inconnues. Passant devant des centaines de boutiques, mais rien ne le tentait, tout le dégoûtait. L’épicerie du coin de la rue piétonne avec toutes les friandises au chocolat ne lui mettaient même pas l’eau à la bouche. Puis, au beau milieu d’une foule, il reconnut un visage. Par contre, le corps n’était pas celui qu’il se rappelait. C’était une femme, dans la cinquantaine. Qui pouvait-ce-être ? Un visage quelconque, mais un air ressemblant à quelqu’un de très proche. Mais qui ? Alors, il reconnut la personne dont ce visage lui évoquait de si bons souvenirs ; les mêmes lèvres, le même regard, le même nez. Exactement les mêmes que Madame Arnoux.

Diane V.

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…..Il arriva alors dans une grande rue marchande : il était bousculé à chaque pas qu’il faisait. Puis, pour pouvoir fuir cette rue encombrée, Frédéric tourna à gauche plus tôt que prévu dans une rue beaucoup plus paisible. Il ne faisait ni chaud, ni froid : juste assez pour se sentir à l’aise. Il leva la tête et fut tout d’abord éblouit par le soleil puis vit le ciel bleu. Il se rendait en fait chez Mme Arnoux espérant qu’elle serait rentrée. Il avait mis toutes les chances de son côté et son cœur était rempli d’espoir avec la belle journée annoncée aujourd’hui.
…..Le jeune homme arriva alors devant l’immeuble des Arnoux. Il sonna. Frédéric sentit son cœur battre et eut en mémoire tous les souvenirs joyeux de Mme Arnoux. Il attendait le son de la voix de son aimée. Mais à sa grande déception ce fut une voix masculine qui lui répondit, celle de M. Arnoux lui annonçant que sa femme se trouvait encore à Chartres.
…..Frédéric repartit alors et erra dans les rues de Paris. Un épais nuage gris se forma au-dessus de la ville et le jeune homme replongea alors dans l’attente du retour de son aimée.

clarisse
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…..Il entra dans sa chambre ; puis se coucha sur son divan, s’abandonna à une méditation désordonnée : plans d’ouvrages, projets de conduite, élancements vers l’avenir. Enfin pour se débarrasser de lui-même, il sortit.

…..Le jeune homme se promena dans les rues grises et tristes de Paris, puis entra dans un bureau de poste où il acheta un timbre et une enveloppe. Plongé dans ses réflexions, le pauvre revint chez lui et ne salua même pas le concierge en passant devant lui dans le hall de l’immeuble. Il introduisit péniblement la clé dans la serrure de la porte et, sans prendre la peine de la refermer convenablement derrière lui, se dirigea tout droit vers la salle à manger où il alluma un feu dans la cheminée et s’installa sur une chaise. Depuis que Mme Arnoux était rentrée à Paris, il y avait quelques jours, l’idée le tracassait de lui raconter sa mésaventure. Moreau commença à rédiger sa lettre sur un beau papier coûteux qu’il conservait pour écrire à son amante. Mais, indécis, il se ravisa : et si à la suite de cet événement, sa dulcinée  décidait
de ne plus le revoir ? Alors l’homme froissa son courrier et le jeta au feu. Il se cala confortablement sur sa chaise et l’observa se consumer, se noircir, et se laissa emporter par le sommeil, là où les rêves sont doux et agréables.

Clarisseds

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…..Une fois dehors, il alla au restaurant. Le restaurant en question allait par le nom de « Bon Mangeur ». Frédéric s’y était rendu parce qu’il avait faim, très faim. Il mangea des crevettes et une pomme de terre. Rassasié, il fit demi-tour et retraça ses pas jusqu’au seuil de sa porte, l’ouvrit et pénètra dans sa demeure. Quand il alla s’installer sur son divan il remarqua une lettre posée dessus. L’objet en question était en un papier qui paraissait très onéreux. Frédéric ouvrit l’enveloppe avec beaucoup de soin (ce n’est pas tous les jours que l’on nous envoie du papier comme cela). Dans la lettre Frédéric trouva un dessin représentant un banc qu’il connaissait très bien….

Eric

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…..Il alla se promener aux bords de Seine. Il avait trois mois eu perdre et il ne savait pas quoi faire. Il monta sur le pont. Il s’arrêta au milieu et regarda l’eau qui s’écoulait en dessous. Il vit quelques poissons suivis d’une dizaine d’autres. C’était une jolie famille. Il se demanda s’il allait avoir, lui aussi, une famille un jour. En regardant la Seine magnifique faire des tours de Paris, il s’imagina une scène sur ce pont :

…..Mme Arnoux était à sa place, juste sur ce pont-la, habillée en noir. Lui, il était juste derrière, habillé aussi en noir, mais avec un pantalon gris-clair et une rose rouge dans la poche de son manteau. Il la remarqua et pensa que quelque chose de mauvais s’était passé car ce n’était pas la mode pour les femmes de s’habiller comme cela. Il s’approcha et la demanda si elle allait bien.

– Mon mari… mon mari…il est…
Un silence profond suivit ces mots tristes.
– Je comprends – répondit M. Moreau. Encore du silence. Il décida de faire quelque chose. – Voulez-vous…voulez-vous…un mouchoir?!?
– Oui! Oui ! Je veux bien un mouchoir!
Elle l’embrassa. Les deux se marièrent après, ajoutèrent à la population cinq enfants et eurent une vie merveilleuse.
Soudain, il remarqua qu’il rêvait. Les poissons disparurent. Il resta encore quinze minutes comme cela et décida de rentrer. Il se retourna et vit… Mme Arnoux habillée en noir! Elle regardait la Seine, pleurant…Il se piqua la main mais ne se réveilla pas. C’était vrai! A cause du piquage, il se fit mal et cria. Cela fut très fort et tous les gens se retournèrent, même Mme Arnoux. Il se rapprocha et lui demanda si elle allait bien. – Non! Non! – répondit-elle en pleurant – J’ai quitte la ville pour aider ma mère malade, mais elle…elle…j’ai fait tout ce que j’ai pu mais…- Je comprends. – répondit-il…encore du silence. Il du faire quelque chose. – Voulez-vous…voulez-vous…un mouchoir ?!?
– Oui. Merci. – on entendit un bruit similaire de celui d’une trompette. – vous êtes très gentil. Pas comme mon mari…Quand je fus rentrée, il ne me même pas aperçu, il continuait de lire son journal. Lorsque je lui ai dit les mauvaises nouvelles, il a juste dit qu’au moins on pourrait épargner de l’argent pour les voyages fréquents que j’ai fait pour la visiter!
– Oh, no!
– C’est vrai. Mais vous…
…..Ils se regardèrent et tombèrent amoureux. M. Arnoux divorça d’avec sa femme qui devint Mme Moreau, mère de cinq merveilleux enfants.

Ana

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…..Dehors, la pluie tombait et le vent soufflait. Etant habillé légèrement et ne sachant plus où se mettre, il courut, le plus vite qu’il put, avec pour objectif d’oublier l’histoire qui venait de se produire.
La pluie et le vent continuaient de tomber. Des frissons lui venaient, il chercha alors à s’abriter et entra dans la librairie du quartier. C’était la première fois qu’il y mettait les pieds.

…..Ce fut comme un choc, la première et seule chose qu’il vit en entrant dans la pièce. Cette silhouette assise sur la chaise du fond. Cette magnifique femme aux cheveux longs, blonds et bouclés. Elle se leva et vint vers lui :

– « Bonjour, que puis-je faire pour vous ? Vous êtes trempé, venez ! » s’exclama-t-elle.

…..Il la suivit et ils discutèrent devant un feu de bois de l’histoire qu’il venait de vivre. Elle alla même fermer sa boutique pour ne pas être dérangée. le sourire lui revenait peu à peu et ils échangèrent des paroles toute la nuit jusqu’au petit matin.

Pierre S.

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…..Il alla se promener en forêt pour faire passer ses petits soucis et marcha pendant plus d’une heure. Un passant se promenant lui aussi, lui demanda pourquoi il était aussi triste te abattu. Fréderic lui répondit qu’il ne voulait pas en parler. Le passant curieux ne pût s’empêcher de lui demander  pourquoi il ne voulut pas en parler. Il lui répondit que ce n’était pas son affaire. La discussion close Frédéric partit marcher un moment en direction de la Seine. Il trouva un peu plus loin un petit café et s’y arrêta pour manger. Il rentra chez lui sans pensées ni mots et se coucha tranquillement.

Jean.

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…..Il alla sur l’avenue des champs Elysées pour se distraire en regardant les nombreux touristes. Ils parlaient toutes les langues du monde : l’anglais, le chinois, le japonais, l’arabe et même l’espagnol. Il y en avait de tous les continents et de toutes les couleurs : des noirs, des jaunes, des rouges, des blancs. Tous se mélangeaient sur cette magnifique avenue.

…..Puis pour voir un peu de verdure, et écouter le silence de la nature, il se dirigea vers le square le plus proche. En y allant, il s’arrêta cinq minutes dans une boulangerie. Là, il commanda un pain au chocolat et une petite bouteille d’eau gazeuse. Arrivé au square il mangea son pain au chocolat et se désaltéra avec son eau gazeuse ; Après s’être bien rassasié, il se leva et repartit. En chemin, il salua deux ou trois personnes qu’il connaissait bien et s’arrêta chez son marchand de journaux avant de rentre chez lui, pour attendre sa bien aimée qui devait rentrer de voyage

Charles

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…..Il se promena au bord de la Seine et arriva au fameux pont Henri IV. Il se mit à regarder autour de lui et aperçu un café qu’il n’avait jamais vu auparavant. Il se dirigea vers ce même café et entra. Il prit une tasse de thé et un pain au chocolat. Et s’abandonna à ce paysage magnifique. Le serveur lui apporta ce qu’il avait demandé. Sans se rendre compte il renversa la tasse de thé sur lui même ! Sur le coup il ne sut pas quoi faire, il rentra chez lui et s’abandonna au sommeil.

Jessica

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…..Il était huit heures quand il referma la porte imposante du bâtiment derrière lui. Le soleil était déjà couché depuis un quart d’heure et plus aucune péniche ne circulait sur la rivière maintenant calme, dont l’eau reflétait majestueusement la lumière des lampadaires.
Le regard vidé de toute émotion, il s’engagea sur la place du marché déserte. Le silence régnait. Tous les clients des restaurants qui entouraient l’église monotone étaient rentrés chez eux, tandis que les hommes dans les bars seraient là pour quelques bonnes heures de plus. Quelques jours avant, Moreau aurait trouvé cette solitude et ce silence déprimant, mais ce jour là, il était reconnaissant pour cette tranquillité. …..Marchant lentement, pas à pas, il s’assit sur un des bancs, dont la peinture verte s’écaillait à cause du temps.
…..C’est là qu’il entendit les pas.
…..Surpris par le bruit, il se retourna brusquement.
…..« Oh ! Tiens, bonjour m. Moreau ! »dit Mme. Arnoux, traînant ses valises par terre. Elle avait l’air aussi surprise que lui. Et Moreau retrouva une émotion qu’il n’avait pas ressenti depuis longtemps : la joie.

Adèle

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…..Il se promena le long des galeries « La Fayette », mais n’acheta rien.
Il quitta les rues bondées de personnes où l’on entendait les bruits des calèches.
Dans une ruelle il aperçut un nouveau café qui venait d’ouvrir et il alla y boire quelques verres.

…..Pour finir il s’endormit sur le comptoir et fit  tomber les nombreuses bières qu’il avait empilées.
Il venait enfin de trouver le sommeil. Il en profita pour penser à Mme Arnoux,  si belle, si intelligente.
Bien qu’il avait les idées troubles et qui se mélangeaient dans sa tête, il n’oublia pas la première fois
où il l’avait rencontrée. C’ était le coup de foudre, c’était le premier et  le dernier.

Aymeric

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…..Enfin pour se débarrasser de lui-même, il sortit. Dehors il faisait un temps merveilleux, mais avec cette humeur noire qui l’envahissait, il ne put en profiter.

…..Il se passa des heures avant qu’il ne s’en remette, mais heureusement, tout a une fin. Après tout, ce n’était qu’une femme! Mais même après, il n’eut toujours que des pensées pour son éternel amour. Des jours passèrent et puis des mois. Le jeune homme devint de plus en plus dépressif. Mais malheureusement pour lui, tout a une fin.
…..Le jeune homme dépressif  se suicida et son âme fut libérée de ses tristes pensées. Son corps ne fut trouvé que trois jours plus tard par un brave policier qui remarqua l’odeur d’un jeune homme tout à fait mort.

Daniel

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…..Alors, il se dirigea au bord de la Seine pour une courte promenade. A cet instant, il repensa tranquillement à la mélancolie dont il était victime depuis déjà trois mois et qui progressait de jour en jour. Brusquement, le jeune homme décida de courir. Peut-être est-ce une sorte de remède pour oublier ce découragement? Il se dépensa énormément pour combattre sa tristesse. Sous cette confuse tempête, il s’arrêta calmement. En effet, cet effort physique eut un certain réconfort pour lui. Paisiblement, il s’assit sur le rebord du trottoir face au fleuve. Souriant, le jeune homme regarda son reflet sur l’eau puis se convainquit que cette mélancolie devait cesser. Depuis ce jour, l’étudiant sourit et profita entièrement de sa vie.

Elsa

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…..Il alla se promener au bord de la Seine, et s’assit sur un banc.
…..Il continua encore et encore à penser à madame Arnoux. Incapable de controler ses pensées. Il ne cessait de penser à elle, après un long moment d’égarement, il se ressaisit et poursuivit son chemin. Puis fatigué d’avoir tant marché, il s’arrêta dans un bar café. Et là, devant lui, le sosie de madame Arnoux lui apparut. Il déshabilla du regard cette jeune femme pendant un moment qui lui sembla infini. Elle avait la même allure, la même chevelure radieuse et un visage d’ange identique à madame Arnoux. Il crut rêver, il resta un long moment à admirer discrètement cette jeune femme.
…..Pris par la fatigue de toutes ces méditations incessantes, il décida de rentrer chez lui. Epuisé par tant de soucis, il se coucha sur son divan et s’endormit.

Camille

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…Il se promena  longtemps dans les rues, et repensa à sa mésaventure qui se déroula le matin et eut une petite pensée pour Madame Arnoux. Quant il revint à la réalité, il était devant le restaurant d’un de ses vieux amis de Nogent-sur-Seine qui vint, lui aussi, s’installer à Paris. Le jeune homme le reconnut immédiatement et ne s’attendait pas à le revoir. Fréderic entra dans le restaurent. Quelques minutes plus tard, il s’assit à une table. De suite, son ami vint le rejoindre, les deux hommes prirent un bon repas, parlèrent et Moreau lui raconta sa mésaventure. Ils parlèrent de leur vie à Paris et quant ils eurent fini, les rues de la capitale étaient vides.

…..Plus un seul passant. Le jeune étudiant rentra chez lui, très tard, juste après que son ami eut fermé son restaurant.

Tania

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…..Il était huit heures quand il referma la porte imposante du bâtiment derrière lui. Le soleil était déjà couché depuis un quart d’heure et plus aucune péniche ne circulait sur la rivière maintenant calme, dont l’eau reflétait majestueusement la lumière des lampadaires.

…..Le regard vidé de toute émotion, il s’engagea sur la place du marché déserte. Le silence régnait. Tous les clients des restaurants qui entouraient l’église monotone étaient rentrés chez eux, tandis que les hommes dans les bars seraient là pour quelques bonnes heures de plus. Quelques jours avant, Moreau aurait trouvé cette solitude et ce silence déprimant, mais ce jour là, il était reconnaissant pour cette tranquillité. Marchant lentement, pas à pas, il s’assit sur un des bancs, dont la peinture verte s’écaillait à cause du temps.

C’est là qu’il entendit les pas.

Surpris par le bruit, il se retourna brusquement.

« Oh ! Tiens, bonjour m. Moreau ! »dit Mme. Arnoux, trainant ses valises par terre. Elle avait l’air aussi surprise que lui. Et Moreau retrouva une émotion qu’il n’avait pas ressentie depuis longtemps : la joie.

Adèle

…..Frédéric alla rejoindre un ami pour prendre un verre dans un bar près de la Seine. Il resta dans ses pensée en fixant son verre .
…..Il retourna à Nogent sur-seine pour se remémorer sa première rencontre avec Madame Arnoux. Il resta un long moment sur le quai, il avait l’air pensif  désespéré et le regard vide. Il regarda à gauche,  à droite puis une idée lui vient a l’esprit .
…..Il alla rendre visite à sa mère. Puis il retourna à Paris,  sur un coup de tête il décida de rechercher Madame Arnoux, au bout du monde s’il le fallait.

Fanny V.

…..Il se retrouva dans la rue et marcha en direction de la Seine, il commençait à faire nuit. De l’autre côté de la rivière il aperçut un petit café, les lumières étaient allumées et la porte ouverte. Il traversa le pont Henri IV et entra dans le bistrot. Une fois à l’intérieur il se mit à une table et commanda une tasse de café pour se réchauffer. Le bar était rempli de gens, il discutaient, plaisantaient et avaient l’air de s’amuser. Frédéric était tranquille dans son coin, il regardait la joie autour de lui et se demandait si lui aussi pouvait être si heureux que ces jeunes gens. Puis une jeune fille entra, il n’y avait plus de tables libres. Donc elle s’assit en face de lui. Elle était très belle, avec des cheveux qui entouraient parfaitement son visage. Mais, après quelques minutes de conversation il décida qu’elle était peu intéressante, malgré sa beauté. Il inventa une excuse et rentra chez lui. Une fois arrivé ,il s’installa dans son fauteuil préféré pour lire son journal.

Eleanor

…..Enfin, pour se débarrasser de lui-même, il sortit. Il marcha, marcha sans savoir où il allait. Il s’arrêta et vit un café qui se trouvait non loin de chez lui; entra et s’assit. Il prit un jus d’orange et un croissant, lut un journal qui se trouva sur la table. Quand il eut enfin fini, il sortit, se promena dans les environs, tout en réfléchissant à la vie qu’il menait. Puis il rentra chez lui,les idées claires, se coucha sur son divan et s’abandonna à un sommeil profond.

Sarah E.

…..Il alla au café du coin pour prendre une bière. Il pensa à Madame Arnoux. Il eut un petit chagrin. Il sortit et retourna chez lui. Il rentra, se dirigea vers son lit et se coucha, vaincu par l’alcool, il s’endormit. Il eut un rêve où il voyait Madame Arnoux arriver en criant: »Où êtes-vous Frédéric ? Ou êtes-vous ? – Je suis ici, Madame ». Le rêve s’arrêta ce qui n’eut rien de bon sur le moral déjà très bas. Il se leva et se changea.
…..Il en avait assez d’attendre, c’était devenu beaucoup trop long. Pour aller se changer les idées il alla au parc. Il s’asseya sur un banc et resta là pendant une heure, à regarder les gens passer.

Armand

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