Séance du 31 janvier

Quartier d’Empalot, décembre 2017. L’architecture écrasante, photo NJ

Lorsque la politique de la table rase sévit dans la ville rose, c’est davantage du côté des quartiers pauvres que du centre-ville. Ici, l’exemple d’Empalot qui voit se dessiner un nouvel urbanisme afin d’endiguer la délinquance et de redonner une image plus « positive » du quartier. Dans ce nouveau bâtiment, les gardes-corps sont dorés. Nous sommes en présence d’un phénomène de gentrification classique dont l’heure de vérité sera sa confrontation avec la carte scolaire.

Nous avons consacré la journée d’hier au retour du terrain. Mais tout d’abord, nous avons pu finaliser notre premier semestre avec une présentation du travail en cours de Benjamin, puis de Rosemarie.

Nous avons également accueilli Mathilde qui nous vient tout droit des Pays-Bas après un semestre en Erasmus, et l’après-midi deux autres étudiantes ont souhaité se rapprocher du séminaire Voir la Ville. Mathilde s’intéresse au vélo en ville et elle souhaite réaliser une enquête comparative sur les villes de Eindhoven et Toulouse. Cette idée nous met en joie car l’idée même d’une comparaison entre deux villes aussi opposées (deux cultures aussi opposées) promet d’être amusant.

L’équipe au travail (montage), décembre 2017, photo NJ

En fin d’après-midi, j’ai croisé Candida qui faisait visiter la ville à ses parents. La petite famille brésilienne comptait se rendre à Paris aujourd’hui, pour repartir au Brésil dans la foulée. Nous conserverons de son passage à Toulouse un excellent souvenir.

Affiche officielle de la venue de Patrick Gaboriau

Enfin, nous devons préparer la venue de Patrick Gaboriau la semaine prochaine. Un repas partagé sera organisée à cette occasion pour rendre la journée plus conviviale et transformer cette journée « séminaire ouvert » en un événement culturel, scientifique et festif.

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