A ne pas voir : exposition Sol LeWitt au Centre Pompidou-Metz !

Bien que le Centre Pompidou-Metz ne propose qu’une seule exposition en ce moment, et que celle-ci ne concerne qu’une seule galerie, elle vaut le coup d’oeil.

Comme pour pallier ce manque à voir de son lieu, le Centre propose des médiations intéressantes. En déambulant dans les couloirs j’ai pu apercevoir un groupe d’enfants particulièrement intéressés à l’exposition grâce à une médiatrice entraînante. Pour preuve, j’ai passé plus de temps à écouter cette dame qu’à visiter l’exposition ! Ayant refusé les audio-guides et ne comprenant pas complètement cette exposition, je me suis complètement désintéressée du sujet pour écouter cette femme. Au fur et à mesure de mes déambulations, je me suis aperçue qu’une autre jeune femme guidait un groupe de jeunes adultes étudiants en histoire de l’art.

En réalité, l’exposition en elle-même l’a déçue, tout comme le fait que le Centre ne la propose que seule, sans rien d’autre à voir. Par contre, j’y retournerai la prochaine fois en prenant rendez-vous pour une visite-guidée. Il semblerait donc que le Centre Pompidou-Metz ne donne rien à voir sans médiation.
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Les musées de Roumanie – 3 (Bucarest)

Bonjour !

Ce n’est pas possible de ne pas présenter les musées de la capitale de la Roumanie, Bucarest.

La ville de Bucarest se trouve au sud-est de la Roumanie, 44° 24 ‘ de latitude nord et 26° 05’ de longitude est.

La première attestation documentaire de Bucarest date de 20 septembre 1459. La ville a été l’une des capitales de l’ancienne province roumaine – la Valachie qui sera l’autre moitié du « cœur » de la Roumanie créée comme état national en 1859. L’histoire médiévale de la ville et du pays a été marquée par la lutte contre L’empire ottoman, mais l’époque moderne marquera une transformation profonde. Le village pillé est remplacé par une capitale élégante dont l’architecture est d’inspiration française. Elle arrive à être surnommée « le petit Paris ».

Bucarest abonde en musées, si on compare le nombre avec celui des autres villes roumaines, ils ont de riches collections, mais leurs activités n’envisagent pas la modernité. Sur les 32 musées et maisons commémoratives qui se trouvent à Bucarest, seuls deux musées, le  Musée du Paysan et le Musée National d’Art Contemporain, ont renouvelé leurs collections spécifiques et surtout la médiation de leurs expositions.

Tout de même, dans les préférences du grand public restent le Musée du Village Roumain, le Musée National d’Art et le Musée d’Histoire Naturelle « Grigore Antipa ». Le nombre des visiteurs par an, pour le premier d’entre eux, vous fera rire, peut-être, 207.000 visiteurs en 2007. (La Roumanie a une population de 22 millions d’habitants et la capitale – 2 millions.) Ce classement résulte d’une combinaison de critères liés à la richesse et l’intérêt des collections, les techniques de présentation et les discours, à la qualité des services du musée (catalogues, visites guidées), la promotion des événements, à d’autres activités telles les projets de recherche, les relations professionnelles et académiques avec les fondations et d’autres institutions, les activités éducatives, la participation à des festivals, etc.

Le Musée du Paysan est rouvert en 1990. Le nouveau directeur, Horia Bernea, réussit en seulement six ans d’obtenir une distinction avec laquelle aucun autre musée roumain ne peut pas se vanter: le Prix européen du musée de l’année. Le comité chargé d’accorder cette distinction a étudié la représentativité et l’intérêt des collections, les expositions et les services du musée, l’environnement, la gestion, le personnel, les publications, la sensibilisation et la communication.

Le Musée National d’Art possède l’une des collections les plus importantes et cohérentes d’art, unique au monde par son objet, les plus jeunes musées peuvent difficilement rivaliser, mais son discours est un peu vieilli. Non seulement les galeries d’art roumain ancien et moderne sont impressionnantes, mais aussi la galerie d’art européen contient des chefs-d’œuvre.

Le Musée National de la Géologie est l’un des musées moins connus de la ville, accueillant des expositions généralement intéressantes.

Le Musée National d’Histoire est un musée qui reste dans le passé au sens propre. Parfois c’est difficile même de trouver un médiateur. C’est dommage pour ces collections.

Voilà en quelques phrases ce que j’ai considéré que c’est important à voir en Roumanie si jamais vos pas y seront guidés.

http://www.pmb.ro/ ( le site officiel de la ville)

http://www.sibiu.ro/ro2/harta_ro.htm (une carte de la Roumanie, pour localiser la ville)

http://www.muzeultaranuluiroman.ro/ (Le Musée du Paysan)

http://www.mnar.arts.ro/ (Le Musée National d’Art)

http://www.antipa.ro/ (Le Musée d’Histoire Naturelle « Grigore Antipa »)

 

 
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Petite chronologie de l’usage du numérique dans les musées

La présence du numérique est assez ancienne dans les musées. On en retrouve l’utilisation dans les années 80, surtout dans les musées de sciences et technique où elle permettait d’expliquer des concepts abstraits.

Cependant, la banalisation de l’informatique dans les foyers a rendu obsolète l’utilisation de tels dispositifs, parfois de versions anciennes par rapport à ceux des visiteurs.

C’est pourquoi aujourd’hui le numérique dans les musées vise surtout à faire vivre une expérience inédite aux visiteurs en les faisant voyager dans l’espace et le temps. L’arrivée du Web 2.0 a permis de prolonger la visite, de la rendre différente dans son vécu.

Aujourd’hui  « le numérique ne se révèle plus comme un simple outil de médiation complémentaire aux outils plus classiques (exposition, médiation présencielle, édition etc.)  mais comme une nouvelle façon pour les musées de penser leurs missions, les publics et de s’organiser… »

 

Voir article : http://cblog.culture.fr/2011/06/17/petite-chronologie-de-l%E2%80%99usage-du-numerique-dans-les-musees

Mon musée sur les réseaux sociaux !

Aujourd’hui, tout le monde (ou presque) possède un compte en ligne sur un réseau social ou professionnel. C’est au tour des institutions, et notamment, des musées d’investir ces toiles. Ce cours article parle des raisons d’un musée à investir la toile et surtout à posséder son propre profil.

Voir article : http://cursus.edu/article/19747/planifier-presence-des-musees-sur-les/

Une offre légale des biens culturels numériques limitée

Le verdict est tombé en ce mois d’avril 2013 : l’offre légale des produits culturelles n’est globalement pas satisfaisante !

Le Département Recherche, Études et Veille (DREV) de la Haute Autorité pour la Diffusion des Œuvres et la Protection des droits sur Internet (HADOPI) a mis en ligne le premier baromètre de l’offre légale en France. Ce baromètre propose un ensemble d’indices reflétant l’attirance des consommateurs vis à vis de ces offres. Le jugement est sans appel : 6/10 en indice global.

D’une manière générale, les internautes français consomment des biens culturels sur internet. Oui mais quels biens culturels ? En première place, on retrouve la musique et les clips vidéos (48%), suivis des séries télévisées et des films (37% et 36%). Les jeux vidéos (22%) et les livres numériques (15%) sont quand à eux bien derrière.

Chose intéressante à noter, il semblerait que les hommes consomment plus de biens culturels numériques que les femmes, et la différence de consommation entre Paris et la province est quasiment nulle.

L’étude est plutôt intéressante mais il faut la prendre pour ce qu’elle est. Ces chiffres ne sont pas commenté par la DREV, et le lecteur peut facilement s’y perdre. Ne dis-t-on pas que l’on peut faire dire n’importe quoi à des statistiques?

Enfin, encore un autre chiffre important à retenir : 81%

Oui, 81% des internautes français connaissant l’offre légale trouve que celle-ci est trop chère.

Cette phrase se suffit à elle même, et devrait tout bonnement inciter les industries culturelles à changer de modèle économique…

 

Sources :

Clémence, Jost. Hadopi note l’attractivité de l’offre légale en ligne : 6/10. Archimag, mis à jour le 25/04/2013. Disponible sur http://www.archimag.com/article/hadopi-note-l%E2%80%99attractivit%C3%A9-de-l%E2%80%99offre-l%C3%A9gale-en-ligne-610 (consulté le 25/04/2013)

 

Département recherche, etudes et veille (DREV). Baromètre de l’offre légale, 1er baromètre-étude quantitative. HADOPI, avril 2013. Disponible sur http://www.hadopi.fr/sites/default/files/page/pdf/DREV-20130417-BOL-rapport.pdf(consulté le 25/04/2013)

De l'usage du numérique dans la culture

Les outils numériques offrent de nouvelles possibilités et, dans le cadre d’une visite patrimoniale, de nouvelles expériences de visites. D’après une récente enquête du Credoc, plus d’un tiers des personnes utilisent internet en lien avec la visite d’un musée, d’une exposition ou d’un monument.

Le 23 novembre 2012, France culture faisait le point sur ces nouveaux usages dans un dossier intitulé « Le patrimoine à l’ère du numérique ».

Musées virtuels, applications mobiles, réalisations en 3D et données libres à partager: le musée et le numérique ne sont pas antinomiques. Le Louvre, l’un des plus grands et des plus vieux musée, a intégré ces nouvelles technologies.

Le plus grand musée virtuel au monde contient déjà 172000 toiles, notamment du Royaume-Uni, dont la plupart n’étaient pas accessibles au public. Le Google art project développe de plus en plus le web collaboratif pour échanger, partager autour d’oeuvres d’art.

La culture est ainsi ouverte au plus grand nombre, même si vous n’avez pas d’Iphone.

Retrouvez les articles complets sur le site de France Culture où les nombreuses initiatives sont mises en parallèles.

Source: http://www.franceculture.fr/emission-pixel-prochain-pixel-le-patrimoine-a-l-ere-numerique-2012-11-23
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Le Musée de la civilisation du Québec et le numérique

Le Musée de la civilisation du Québec a intégré le numérique. Les 8,9 et 10 novembre 2013 se déroulera l’évènement Muséomix au musée.

Divers réseaux de spécialistes sont contactés  en vue de l’organisation du projet: la muséologie, l’usage du numérique, l’histoire,… Le but est de réinventer le musée grâce aux dispositifs numériques dans les salles d’exposition du Musée de la civilisation, plusieurs équipes se sont fixées cet objectif. Le Musée accueillera alors les technologies numériques pour une autre forme de médiation.

Source:

http://cursus.edu/dossiers-articles/19758/rencontre-avec-laura-baz-musee/

 
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Le business de la mort en ligne

Après l’iPhone, l’iPad ou encore l’iPod, voici l’i-Postmortem!

Contrairement à ce que l’on pourrait penser, il ne s’agit pas d’un nouveau joujou du géant Apple, mais du nom d’une nouvelle start-up. Sa mission, offrir à ceux qui le désir, la possibilité d’établir leur propre tombe dans un cimetière virtuel. Pour cela, deux services d’immortalité sont proposés: l’i-tomb et l’i-mémorial.

La cyber -immortalité à néanmoins un coût. Ainsi, si vous souhaitez vivre éternellement sur la toile, il vous faudra débourser jusqu’à 120 dollars par an!

Si le concept peu choquer, la start-up, i-Postmortem n’est pourtant pas la seule à exploiter le filon funéraire. La question de l’e-reputation concerne aussi bien les vivants que les morts. Selon Jacques Mechelany, directeur de la start-up, les avantages d’un cyber-cimetière sont multiples: possibilité d’honorer les morts qu’importe la distance, gain de place grâce à l’absence du corps, pas d’entretien de la sépulture…

L’i-Postmortem apparaît donc comme un substitut numérique de la pierre philosophale…

Si certains sont prêts à tout pour survivre sur la toile après leur mort, ce n’est pas le cas de tout le monde. En effet, suite au décès d’un de leur proche, certaines familles aimeraient pouvoir leur garantir l’oubli numérique -suppression de leur compte Facebook ou Twitter-. Malheureusement pour ces familles, cela n’est pas toujours possible. Sans l’accord des sites en question ou en l’absence de possession des codes et identifiants du ou de la défunte, il est impossible de procéder à toute suppression de compte.

Pour en savoir plus : http://www.lesinrocks.com/2011/10/11/medias/internet/jusquou-ira-le-business-de-la-mort-en-ligne-118731/

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Célébrités et présence en ligne

« Érotise-moi, attise-moi,

fais briller la flamme

et crier la femme

qui sommeille en moi,

électrise-moi, érotise moi. »

Clotilde Moulin, Érotise-moi,
in « Le Mâle nécessaire », 2013.

Ces mots sont ceux de Clotilde Moulin. Auteure et interprète originaire de Besançon, elle chante depuis sa rencontre en 2002 avec Maurice Boguet, dit « Mégot », qui séduit par la finesse de son écriture décide de composer pour elle une grande partie de ses mélodies. Actuellement, Clotilde Moulin possède un répertoire d’une trentaine de chansons à l’écriture précise, mutine, féminine et porteuse de beaucoup de sens et d’émotion, car elle délivre à travers ces dernières un univers rempli d’émotions, d’humour, de tranches de vies diverses et de testostérone, un univers entre pop et folk, entre précision verbale et fantaisie.

Or si j’ai décidé de vous parler de cette artiste aujourd’hui, outre vous la faire découvrir, c’est à cause de son actualité. En effet, France Bleu Besançon a révélé le 3 avril dernier, à l’antenne, le nom du vainqueur de son concours permettant à un chanteur ou groupe régional de se produire en avant-première de Jacques Higelin le 27 avril prochain sur la scène du théâtre de Besançon. Après une première sélection parmi les candidats inscrits à cette « Bleuacadémie », les auditeurs et internautes de France Bleu Besançon étaient invités à voter. Sur un total de 3.800 votes et avec une petite avance de quatre voix de plus que le second, c’est Clotilde Moulin qui a remporté l’opportunité de se produire, avec sa harpe, avant Jacques Higelin.

Ce que je trouve ici intéressant à souligner est le lien de plus en plus accru entre des célébrités, qu’elles soient locales, nationales ou internationales, et Internet ou les réseaux sociaux.
En effet comme le souligne l’article de Jean-Samuel Beuscart, Internet et les réseaux sociaux peuvent être d’incroyables tremplins pour des artistes anonymes. Il y examine en effet les ressorts de la construction de la notoriété en ligne, et le taux de conversion de cette notoriété virtuelle en bénéfices réels pour la carrière artistique. Si le dispositif MySpace place les utilisateurs dans une position d’entrepreneur de leur propre notoriété, chaque utilisateur reconstruisant la frontière entre sociabilité acceptable et pollution publicitaire. Sous réserve de s’engager intensivement dans l’usage de MySpace, et d’en appliquer les recettes, les artistes parviennent à accumuler un capital de notoriété virtuelle qui leur donne accès à des opportunités professionnelles sur une multiplicité de scènes locales, sans pour autant parvenir à contourner les obstacles sur la voie de l’accès au cœur des industries culturelles.
Mais les anonymes ne sont pas les seuls à recourir à Internet et aux réseaux sociaux, puisqu’en effet de plus en plus de célébrités, tout domaine confondus, investissent massivement les réseaux sociaux et Internet (Cf. « Pourquoi les stars devraient passer plus de temps sur Internet que sur scène »).

 

Sources :

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Les attaques cybercriminelles

Il existe deux façons distinctes de s’emparer frauduleusement d’informations sur une personne. La première est l’intrusion informatique qui consiste à s’introduire dans le matériel informatique de la victime pour avoir accès à la totalité des informations présentes sur le matériel. La deuxième manière est plus vicieuse, il s’agit de la fraude. Dans ce cas-là le pirate va obtenir de sa victime qu’elle lui fournisse les informations qu’il désire. Cela peut être sous la menace ou sans que la victime ne se rende compte de la supercherie.

Les pirates s’attaquent aux biens ou à l’intégrité des victimes, ils s’attaquent à l’identité numérique d’internautes en leur volant des données personnelles.

Après une cyber-attaque, il est difficile de connaître la méthode utilisée. Le seul moyen de le savoir est de pouvoir définir les objectifs du pirate et alors de pouvoir estimer la technique qu’il a utilisée.

« L’ordinateur ou le matériel peuvent être l’agent de l’acte criminel, son facilitateur, ou sa cible ».(Norton)

Quelques exemples d’attaques :

  • Les virus : c’est un logiciel qui permet soit d’espionner l’activité de l’ordinateur de la victime soit de perturber ses activités. Un tel logiciel se répand d’un ordinateur à l’autre par des réseaux mais aussi par mail ou par supports de stockage comme une clé USB par exemple. Les virus se cachent dans des dossiers présents sur l’ordinateur de la victime et sont très difficiles à détecter. Ils peuvent complètement paralyser votre ordinateur.
  • Le mail bombing : Ce procédé est utilisé par les pirates uniquement pour nuire à leurs victimes. Ce n’est en aucun cas un procédé lucratif. Il consiste en le simple fait de bombarder une messagerie d’une multitude de mails de sorte que lorsque la victime ouvrira sa boîte mail, celle-ci ne pouvant pas synchroniser une telle quantité de mails, va se bloquer et saturer, elle deviendra alors inutilisable.
  • Les SPAM : aussi appelé pourriels, sont des messages électroniques envoyés en masse à des fins marketing ou publicitaires. Ce procédé n’est pas réellement une atteinte à l’identité numérique d’une personne. Ce qui l’est par contre est le fait que si vous recevez des spams, cela signifie que votre adresse mail est présente dans une liste de diffusion et qu’elle a peut-être été récupérée et revendue frauduleusement par des sites.
  • Les troyens : ce sont des programmes qui s’installent lors du téléchargement de fichiers provenant généralement de sites malveillants. Les troyens ont un peu le même rôle que les virus. Ils permettent aux pirates de s’introduire dans l’ordinateur de la victime et d’en prendre le contrôle à distance. Une fois dans l’ordinateur de sa victime, le pirate a un accès total à toutes les données présentes sur le disque dur, notamment aux sauvegardes internet. Il peut donc trouver les identifiants et mots de passe des comptes en ligne de la victime.
  • Les spyware : ou mouchard, est un logiciel qui permet au pirate d’avoir accès aux informations présentes sur le matériel infecté mais aussi d’afficher des pages publicitaires indésirables ainsi que d’espionner les sites web visités par la victime. Cela permet au pirate de connaître les actions de sa victime sur internet et aussi de connaître ses identifiants et mots de passe.

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