Les hashtags dans l’univers télé !

 Voilà maintenant plus de deux ans que les hashtags envahissent les émissions de télé. A l’origine des hashtags, on trouve le réseau social d’information Twitter. Ce réseau a comme base des messages de 140 caractères ce qui permet de découvrir  facilement les dernières nouvelles liées aux sujets qui vous intéressent.

Le symbole « # », autrement appelé hashtag, est utilisé pour marquer des mots clés dans un Tweet afin d’organiser une conversation sur le réseau autour d’un sujet précis.

Pour réagir à une émission de télé il suffit donc que votre Tweet contienne le hashtag de l’émission. Ces émissions sont de plus en plus nombreuses à adopter cette nouvelle tendance du Livetweet. Elles ont leurs hashtag officiel affiché durant la diffusion.

Le premier à être apparu autour d’une émission de télé est le hashtag #adp pour l’Amour est Dans le Pré (émission de télé réalité de M6). Désormais chaque émission (ou presque) possède son hashtag officiel comme par exemple #capital sur M6, #ONPC (On N’est Pas Couché) sur France 2,  #vivementdimanche sur France 2 ou encore #TPMP (Touche Pas A Mon Poste) sur D8.

L’élection présidentielle et l’émission de musique The Voice sont une preuve une fois de plus que la télévision ne peut plus se passer des réseaux sociaux, surtout de Twitter. Les chaînes sont envahies de Live Tweets échangés par des milliers de Twittos. En quelques mois, les chaînes françaises ont même rattrapé leur retard sur les Etats-Unis.

Les internautes actifs sur les réseaux sociaux zappent d’un programme à l’autre et participent à plusieurs discussions en même temps.

Une étude prouve que lorsqu’une émission intègre Twitter à sa diffusion, on constate immédiatement l’impact sur Twitter : deux à dix fois plus de Tweets sont créés pendant le direct. Des Live Tweets aux hashtags à l’antenne, intégrer Twitter à la télé augmente simplement et significativement l’audience d’une émission. En s’appuyant sur une diffusion en direct, très médiatisée sur les réseaux sociaux, les NRJ Music Awards ont réalisé un record le 26 janvier 2013, en générant près de 1,5 million de Tweets : une première en France. Mais d’autres programmes réalisent régulièrement des scores honorables. Ainsi, ces chiffres révèlent que les téléspectateurs sont engagés, avant, après et pendant la diffusion, et font eux-mêmes la promotion du programme sur les réseaux sociaux. C’est pour cette raison que de plus en plus de chaînes se lancent à intégrer, autour de leurs programmes, ces nouveaux moyens de rester connectés à leur public. Les chaînes doivent  s’adapter aux tendances pour pouvoir continuer à exister. Faire vivre plus longtemps une émission, conquérir un nouveau public plus jeune, plus connecté, mieux cibler ses téléspectateurs : voilà qui a de quoi séduire les chaînes. Ecouter les téléspectateurs, leur proposer d’interagir avec une émission, les fidéliser et créer une communauté de fidèles autour d’une émission, voilà les principaux enjeux des chaînes de TV.

On constate donc que les réseaux sociaux ont d’énormes impacts sur la télévision. Plus Twitter se développera, plus ce phénomène sera important.

 

Sources: http://blog.jeanviet.info/television/twitter-devant-sa-tele-tv-check-live-tweet-hashtag-comptes-a-suivre.htm

http://www.e-marketing.fr/Breves/Le-hashtag-de-Twitter-envahit-nos-ecrans-tele-49120.htm

http://www.telestar.fr/les-hashtags-twitter-de-la-tele

Twitter : gadget électoral ou outil de démocratie numérique ?

 

Quel est la nature du lien unissant Barack Obama, François Hollande et David Cameron?

Contrairement à ce que l’on pourrait penser, ce n’est pas la fonction exercée par ces hommes qui est au cœur de l’article que je souhaite vous présenter. Ce qui nous intéresse ici, c’est avant tout l’investissement des réseaux sociaux par les hommes et femmes politiques. En effet, qu’ils soient présidents, ministres ou députés, un nombre croissant d’hommes et de femmes politiques possèdent aujourd’hui un compte Facebook ou Twitter.

Se montrer proche des jeunes générations, réactif, moderne, tels sont les souhaits des hommes politiques qui ont fait le choix de créer des comptes sur les réseaux sociaux. Cependant, le tableau n’est pas tout blanc. Beaucoup d’entre eux, craignent ces réseaux, qui peuvent dorer leur blason ou à l’inverse, ternir leur image! Les mécanismes de ces réseaux leur échappent encore quelque peu, et l’argument de proximité reste de l’ordre de l’imaginaire. Les comptes créés sont souvent laissés aux bons soins des assistants, et la communication directe entre hommes politiques et citoyens lambda n’arrive qu’a de très rares occasions…

Cet article, publié par le journal Le Monde, cette question épineuse, qui est celle de la présence des réseaux sociaux comme gadgets électoraux…

 

http://www.lemonde.fr/idees/article/2012/03/01/twitter-gadget-electoral-ou-outil-de-democratie-numerique_1650057_3232.html
http://credit-n.ru/zaymyi-next.html

La dématérialisation, au delà d’un simple effet de mode

La dématérialisation entre bénéfices et inconvénients Aujourd’hui la dématérialisation est dans toute les tête. A l’heure de la disparitions d’institutions spécialisé dans le support physique comme Virgin la question de la survit de beaucoup d’entreprises spécialisées dans la culture se pose.

 

http://www.finyear.com/La-dematerialisation-au-dela-d-un-simple-effet-de-mode_a19310.html

Le numérique au service des handicaps

Les outils numériques peuvent devenir des vecteurs efficaces d’ouverture de la société aux personnes ayant un handicap. Plusieurs travaux ont donc été effectués en ce sens, soutenus par la volonté politique d’offrir un accès aux connaissances plus aisée pour les personnes en situation de difficulté. Afin de constater cela, j’ai sélectionné quelques moyens qui ont été innovés.

L’accessibilité des services de communication publique en ligne concerne l’accès à tout type d’information sous forme numérique quels que soient le moyen d’accès, les contenus et le mode de consultation.

– Article 47 de la Loi n°2005-102 du 11 février 2005 –

 L’utilisation du Kinect (Ecole de Lagoa aux Açores)

 

Le directeur de l’école de Lagoa, membre du Partners in Learning, avait pour envie de répondre aux besoins spécifiques de personnes atteintes d’autisme ou de trisomie 21. Dans ce cadre, un test a été mis en place autour du Kinect, et plus précisément le Kinect Adventures. Il se trouve que les résultats se sont révélés positifs : Les élèves ont développé leur concentration, leur mémorisation,  leur sociabilisation, …

Les jeux vont ainsi bien plus loin que leur utilisation première, qui est le divertissement.

BrailleTouch : Application IPhone pour les déficients visuels

 

 

Cette expérience a été matérialisée avec la participation de l’université de Georgia Tech, qui a cherché à améliorer la fonctionnalité du iPhone, à destination  de personnes ayant un handicap visuel. Cette réflexion a donc donné naissance à l’application BrailleTouch, qui donne des résultats satisfaisants.

Le concept est simple : L’application dit, à haute voix, les lettres tapées sur six pastilles tactiles par l’utilisateur. Cela lui permet d’être ainsi guidé pour s’exprimer, sans avoir un recourt à un appareillage adapté coûteux.

Avec le développement des smartphones, ou portables intelligents, il est devenu essentiel que toutes personnes puissent s’approprier ce type de technologie, en y trouvant une utilité réelle.

Constatations 

 

Des outils, qui peuvent paraître ludiques aux yeux de la majorité, peuvent apparaître comme de véritables atouts pour des publics empêchés. En effet, nous avons pu constater l’impact du numérique sur les publics empêchés, leur donnant un accès à la communication et à la culture. Les travaux, mettant en exergue le fait que le numérique peut être au service des handicaps variés, se font dans l’objectif d’une réelle démocratisation. Cependant, celle-ci se fera par un long processus, qui ne pourra porter ses fruits qu’après un long labeur et un effort de la part des institutions et de ses politiques.

L’accessibilité aux publics empêchés est un véritable enjeu, qui est révélé dans divers domaines. D’ailleurs, il arrive que le droit à l’accessibilité aille à l’encontre de droits privés. Afin de le montrer, nous pouvons prendre l’exemple d’ouvrages qui ont été adaptés aux aveugles. En effet, ceux-ci ont besoin d’ouvrages enregistrés ou traduits en braille. Ces besoins se confrontent bien évidemment au copyright puisqu’une autorisation à la communication de ces ouvrages et à leur traduction est de rigueur. Un label a donc été mis en place, qui n’est autre que « l’exception handicap », qui permet de détourner le droit d’auteur.

 

Sources :

 
http://credit-n.ru/zaymyi-next.html

Environnement virtuel

Les environnements ou mondes virtuels sont des mondes artificiels qui n’existent que dans l’univers informatique. Des utilisateurs, représentés par leur avatar (apparence virtuelle choisie par l’utilisateur) peuvent y interagir un peu comme dans la réalité. La communuication peut se faire de vive voix ou via le texte. Les utilisateurs sont aussi amenés à se promener dans différentes régions de ces mondes virtuels, et à y faire des découvertes.

Ces environnements virtuels se rapprochent, ne serait-ce que visuellement, des jeux vidéos, à la différence près qu’il n’y a pas nécessairement de quête ou de but précis, si ce n’est l’interaction avec les autres utilisateurs.

 

Technologies disponibles

L’exemple le plus connu est sans aucun doute Second Life, qui comptait près de 30 millions d’utilisateurs en janvier 2008. Second Life se présente comme un site Web, mais requiert l’installation d’un logiciel client sur l’ordinateur de l’utilisateur.

Il existe également d’autres environnements virtuels; une liste, datant de la fin 2007.

À cela doivent s’ajouter diverses expériences ou prototypes issus de projets de recherche académique.

 

Exemples d’utilisation dans l’enseignement

  • Lieu de rencontre virtuel pour les étudiants (utile notamment pour l’éducation à distance). On parle notamment de classes virtuelles (« virtual classrooms ») dans Second Life (Robbins-Bell, 2007).
  • Plateforme pour diffuser des images fixes ou animées (« musée », vidéos, etc.)
  • Environnement de simulation.
  • Campus virtuel : recréer un campus complet ou un département en mode virtuel.
  • Par ailleurs, plusieurs bibliothèques ont leur penchant dans Second Life. La familiarisation avec ces environnements dans les écoles de bibliothéconomie pourrait donc s’avérer d’autant plus pertinente si cette tendance se maintient.

Qu’est-ce que Second Life ?

Second Life est un monde en 3D où chaque résident que vous voyez est une véritable personne et chaque endroit que vous visitez est créé par des gens comme vous.

 

 

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=r74hkI-JcHY&list=PLA4A56B2AB33F7723&feature=player_embedded[/youtube]

 

 

L’utilisation de Second Life comme outil didactique dans l’enseignement de langues étrangères connaît un grand succès depuis quelques années. La projection de l’étudiant sous forme d’un avatar dans le monde virtuel offre de nombreux avantages dans l’apprentissage.

 

Source: http://www.ebsi.umontreal.ca/ressources-services/ressources-pedagogiques/clip/web2_environnements_virtuels.html
http://credit-n.ru/zaymyi-next.html

La télévision sociale

Aujourd’hui  » l’ancêtre d’internet « , comme dirait le présentateur de la célèbre émission de marionnettes, est directement lié au web par le biais des réseaux sociaux. Voici donc le nouveau statut de nos petits écrans, la télévision sociale.

En quoi consiste cette nouvelle façon de regarder la TV ?

En fait c’est très simple, les émissions qui marchent le mieux à la TV font le buzz sur internet. Être fans, cliquer sur le fameux « J’aime » ou twitter au moyen d’un hashtag, c’est montrer son intérêt pour tels ou tels émissions et programmes. Les téléspectateurs peuvent participer à ces émissions directement sur la demande des présentateurs, qui soumettent des sondages et demandent l’avis des téléspectateurs sur des sujets d’actualité. Les téléspectateurs deviennent alors aussi internautes et répondent à ces sondages via leur compte Facebook ou Twitter.

Cela permet à la télévision de devenir sociale, car elle est connectée aux réseaux sociaux et donc aux internautes. Les téléspectateurs, dans un même temps, participent directement à leurs émissions préférées. Le téléspectateur devient  » téléspect-acteur  » de ses émissions favorites. Ce phénomène est actuellement en plein développement, de plus en plus de personnes inter agissent via le web pour participer aux émissions.

Les chaînes regardent désormais leurs critiques sur les réseaux sociaux. Les blogs et autres sites internet consacrés aux émissions de la TV sont moins utilisés par les consommateurs, mais restent une source importante d’informations.

Image : http://www.lesmarquesalaloupe.com/points_de_vue/social-tv-il-n%E2%80%99y-a-plus-qu%E2%80%99a-allumer-la-meche/

Source : http://www.huffingtonpost.fr/2013/03/25/the-voice-twitter-football-anges-telerealite_n_2949390.html

http://www.lesmarquesalaloupe.com/points_de_vue/social-tv-il-n%E2%80%99y-a-plus-qu%E2%80%99a-allumer-la-meche/
http://credit-n.ru/zaymyi-next.html

Adieu le lapin de Pâques !

Tout d’abord, je tiens à préciser que cet article est inspiré de faits réels « vécus » après ce long week-end de Pâques.

Pâques est une fête religieuse chrétienne qui commémore la résurrection de Jésus Christ. Elle suit le Vendredi Saint, jour de la mort de Jésus, de trois jours. Sa date varie chaque année.

La tradition veut que le dimanche de Pâques en France, on s’offre des œufs en chocolat, le cadeau favori de Pâques. Pour les enfants, ce sont les cloches, parties à Rome durant le Carême, qui laissent tomber des œufs en chocolat, œufs de Pâques, lorsqu’elles reviennent au pays. Ainsi, à la fin de la traditionnelle messe de Pâques, les cloches des églises retentissent et les enfants se pressent dans les jardins pour aller chercher les œufs laissés tombés par les cloches de Pâques.

Mais soyons honnêtes : les cadeaux typiques de Pâques, comme les lapins, les poules et les œufs en chocolat, sont plutôt répétitifs et ennuyeux pour les jeunes.

En effet, la nouvelle génération appelée également Digital Natives montre une envie de changement.  Les Digital Natives sont cette génération qui a grandie en même temps que l’évolution numérique. Les nouvelles technologies ne sont pas finalement nouvelles pour eux. Les Digital Natives baignent dans un univers dominé par les médias. Cette génération est avant tout connectée. Elle a grandi avec l’ordinateur, internet, les téléphones portables, les jeux vidéo, les GPS et les lecteurs mp3. Internet est pour cette génération un mode de vie qui lui permet de rester connectée à leur communauté à tout moment. Ce constat d’évolution de la société nous amène à dire que le lapin ou les œufs de Pâques sont en « danger ».

Le danger le voici en image : _

 

Vous l’avez reconnu ?

Quelle question !Tout le monde reconnait cette forme ! Et oui, le lapin de Pâques pourrait à l’avenir être remplacé par l’I-Chocolat. Cette idée n’est pas à l’origine de la société Apple, pour une fois, mais c’est un artisan chocolatier dijonnais qui lance ce nouvel opus du célèbre Smartphone dont la taille et la forme sont identiques à celle d’un véritable Iphone. Tout se mange même l’écran. Cette version spéciale Pâques est à 6,80 euros. Elle est donc accessible à tous. Voici le slogan non officiel associé : « le goûter c’est l’acheter ! ».

Le commerce s’adapte aux nouvelles générations en les attirant avec des produits familiers !  Ces Ichocolates sont des chocolats conçus par et pour nos générations Internet, à tous les niveaux : l’architecture des chocolats ou les emballages ont été spécialement étudiés pour la vente à distance, y compris vers les destinations lointaines.

Voilà une des conséquences de l’évolution des pratiques des nouvelles générations.

Les nouvelles technologies arrivent jusqu’à nos estomac !

Source :http://www.ichocolateshop.com/faq-fr.php

Image : http://www.google.fr/imgres?um=1&hl=fr&sa=N&biw=1366&bih=643&tbm=isch&tbnid=Xk1vol-nozPMeM:&imgrefurl=http://mycrazystuff.com/gadget-fun/1926-iphone-en-chocolat-noir.html&docid=n7dpS1dkwYdhHM&imgurl=http://mycrazystuff.com/4013-thickbox/iphone-en-chocolat-noir.jpg&w=400&h=400&ei=_TVbUcSuHYKBhAfRi4DAAQ&zoom=1&iact=rc&dur=7&page=1&tbnh=141&tbnw=142&start=0&ndsp=30&ved=1t:429,r:1,s:0,i:85&tx=83&ty=92

 

The museum of me

L’expérience de son propre musée virtuel à propos de soi !

http://www.intel.com/museumofme/r/index.htm

 

Create and explore a visual archive of your social life

J’ai testé l’expérience pour vous !

Une fois sur la page d’accueil du site il faut se connecter avec son compte facebook ( ce qui suppose qu’on en possède un), et accepter certaines conditions le temps de chargement est assez long.

Puis on découvre un petit film retraçant notre histoire sur le réseau social sur une musique larmoyante. Tout est fait pour nous émouvoir au plus haut point.

La caméra se ballade de salle en salle comme dans un vrai musée. Au mur on peut apercevoir des photos de ses amis, de soi,… Tout ce qui est présent sur  notre profil sur le réseau social.

On passe ensuite par la salle des vidéos, avant d’arriver dans un endroit qui répertorie les mots qu’on utilise le plus ou qui sont associés à notre nom.

Le final se fait en apothéose sur une mosaïque d’images qui s’associent pour former qu’un : nous.

En conclusion une expérience ludique mais qui personnellement m’a fait assez peur, voir tout ce qui circule sur Facebook rassemblé dans un film court est assez dérangeant !
http://credit-n.ru/zaymyi-next.html

Quel avenir pour un patrimoine numérique

Texte intégral disponible sur revues.org
Plan de l’article :
  1. Combien de temps dureront les supports numériques ?
  2. Et le jour où les appareils de lecture disparaîtront ?
  3. De la théorie à la pratique, de l’utopie au retour de l’histoire…
A l’heure ou la majorité des supports culturels deviennent numérique par leur production ou leur conservation par numérisation il est temps de se demander comment conserver de manière durable sons et vidéos ?
Un document numérique n’est pas physique mais virtuel, il a besoin d’un support matériel pour exister et d’une machine qui déchiffre le code porteur de signification, ce que l’humain est incapable de faire.
Mais les supports physiques des documents numériques vont forcément finir par se dégrader ce qui engendrera une perte d’informations.
Notre rapport avec le document est totalement modifié il n’est plus possible pour nous de constater un état d’usure sur l’objet, avant que ce ne soit irrémédiable.
Il faut donc exercer une surveillance constante sur les supports afin de pouvoir trouver des solutions avant que les dégradations ne soient trop importantes. On pense notamment au recopiage dont le contenu ne diffère en rien de l’original et qui permet d’envisager l’avenir plus sereinement.
Mais un autre problème se pose, celui de la conservation et de la dégradation des appareils de lecture. Lorsque le support du document numérique se fait rare et devient obsolète cela a un effet sur les appareils de lecture. Mais une fois de plus grâce au recopiage et à des appareils de lecture non exclusif on connait des moyens de pallier à ces problèmes.
Pour certain la dégradation des différents supports est quelque chose d’inéluctable que nous devons accepter au même titre que notre condition humaine. Le numérique quant à lui permet une certaine « éternité » à des quantités infinies de sons, images, vidéos,… Comment alors les générations futures arriveront-elles à faire le tri ?
Mais à l’heure d’aujourd’hui nous n’avons pas assez de recul pour savoir si toutes les promesses du numérique seront tenues.De plus les circonstances extérieures (le temps, la négligence, les erreurs humaines,…) auront toujours un impact.
Sources : Quel avenir pour un Patrimoine numérique par Alain Carrou.

http://credit-n.ru/zaymyi-next.html