Usage des réseaux sociaux d'entreprise en communication interne : la solution qui solutionne ?

La communication est une science difficile. Ce n’est pas une science exacte. Ça s’apprend et ça se cultive

Jean-Luc Lagardère

L’évolution quotidienne des outils numériques révolutionne la communication interne des entreprises.
Il est temps de dire adieu au journal interne, à la boite à idées ou encore au panneau d’affichage et d’accueillir (les bras grands ouverts) les réseaux sociaux d’entreprise !

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Ecrans numériques : nouveau "doudou" des enfants ?

Télévisions, ordinateurs, tablettes tactiles, téléphones, consoles de jeux : les écrans sont omniprésents dans la société actuelle ! Les enfants y sont exposés en permanence.
Comment gérer au mieux ce développement numérique avec les enfants ? Ces nouveaux usages sont-ils sans danger et peuvent-ils vraiment contribuer à leur éveil ?

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Protéger sa réputation sur Internet intéresse aussi les particuliers

Maîtrisons notre web réputation…

Qui ne sait jamais inquiété de sa réputation? Protéger notre réputation est un enjeu de taille, aussi bien dans la vie réelle que sur la toile. Cet article publié par le journal Le Monde en août 2012, à pour sujet la maîtrise l’e-reputation. Depuis plusieurs années, en effet, les entreprises tentent de protéger leur e-réputation en supprimant, par l’intermédiaire de sociétés spécialisées, leurs traces sur la toile. Cette volonté dépasse aujourd’hui la sphère des entreprises. Les particuliers, eux aussi sont soucieux de l’image qu’ils dégagent, et sont prêts à payer cher pour « sauver » leur réputation. Cela se fait au profit d’agences de nettoyages spécialisées, ou de compagnies d’assurances, telle que la compagnie AXA, qui s’occupent de procéder au « grand nettoyage ». Les enjeux commerciaux sont élevés pour les compagnies d’assurance et les agences de nettoyages, qui n’hésitent pas à promettre monts et merveilles à des particuliers en détresse.

Bonne lecture et libre à vous de donner un prix à votre réputation…

Consulter l’article
http://credit-n.ru/zaymyi-next.html

L'hypermnésie du web !

Un article très intéressant concernant la présence numérique :

http://www.culturedel.info/cactusacide/?p=5625

Dès lors que l’on se connecte sur le web, des données sont sauvegardées. Le web possède une mémoire, une très bonne mémoire. Les données sont conservées perpétuellement. Ne plus exister sur internet serait de l’ordre de l’impossible ?! Constituer son identité sur le web signifie alors prendre des précautions et ne pas dévoiler toutes sortes d’informations.

Selon les activités pratiquées sur internet, le degré de traçabilité est plus ou moins élevé. La présence numérique constitue le degré le plus élevé de traçabilité. D’une identité sur le web, on passe à une présence numérique.

Le schéma proposé par cet article sur les différents degrés de traçabilité nous permet, par exemple, de savoir ce que certaines actions impliquent sur les réseaux sociaux.
http://credit-n.ru/zaymyi-next.html

Vers une neutralité d’internet

        Il était grand temps que le législateur s’empare du sujet. L’épisode du trois janvier dernier lors duquel Free s’est permis de censurer les publicités à destination de ses abonnés n’est que la partie visible de l’iceberg. Dans ce cas, la censure visait la publicité mais qu’aurions nous dis si ce même blocage aurait concerné notre boite de messagerie ? Ou tout bonnement notre accès à internet ?

C’est pour faire face à ces perspectives qu’il faut dès maintenant prendre des précautions pour prévenir une futur censure.

Le rapport du Conseil National du Numérique sur la neutralité d’internet va dans ce sens, et devrait aboutir à un projet de loi dès le début de l’année 2014.

Source :http://www.archimag.com/article/vers-un-principe-de-la-neutralit%C3%A9-du-net-consacr%C3%A9-par-la-loi

Je suis à la recherche d’un emploi … et le web le sait !

Viadeo, Doyoubuzz, LinkedIn….

 

Sans doute que Facebook a modifié nos comportements sur le Net.
Nous avons des dizaines, voire des centaines d’amis, nous « likons » des dizaines de pages sur des thèmes de tous genres, nous sommes « fans » de dizaines d’artistes, de films ou de personnalités connues, etc.etc.

Vie privée devient rapidement vie publique et pourquoi ne pas s’en servir pour se montrer sur le devant de la scène, montrer ses atouts, ses ambitions et ses motivations pour obtenir le job de ses rêves ?

Alors, changeons notre profil Facebook, mettons une photo « pro », laissons libre d’accès les informations sur notre parcours professionnel et voici un premier pas vers le CV en ligne.

La deuxième étape : le CV Doyoubuzz (ou toute autre site du même type… vous trouverez par vous même celui qui vous conviendra le mieux). Des cases à remplir, des compétences à rajouter, une petite présentation, et voici un CV déposé sur la toile à la vue de milliers d’internautes… Avouez que ça va plus vite que d’envoyer des courriers.

Pour compléter cette démarche, Viadeo et LinkedIn sont nos amis.
Leur but : « booster notre carrière » !

Après avoir rempli tout un formulaire, voici votre CV tout beau, tout propre, en ligne. Mais pas que ! Alors que DoYouBuzz s’arrête à cette fonctionnalité, Viadeo et LinkedIn vous mettent directement en contact avec des personnes ayant un parcours proche du vôtre ! Vous pouvez également demander vos connaissances, ou anciens collègues, en « contact professionnel ».
Le principe caché… le piston.

N’oubliez pas que les recruteurs ont tendance ces dernières années à vous « googler », alors montrez vous !… mais faites attention à ce que vous montrer…

 

Plus d’infos :

http://www.epicureweb.fr/comment-preserver-son-e-reputation-pour-sassurer-que-donnees-sur-internet-ne-vous-nuisent-pas-mieux-vaut-respecter-quelques-regles-simples-908/

 

 

La bibliothèque dans le film

Hier soir j’ai vu le film « Cadena perpetua (Frank Darabont,1944) , Je suis surpris par le sens qui a été donné à la bibliothèque, le protagoniste du film, est accusé d’avoir tué à sa femme et à son amant, par conséquent, est condamné à la prison. Pendant son séjour en prison va commencer à fréquenter la bibliothèque et a décidé de participer activement à son amélioration (l’expansion de fonds, la fourniture d’équipements). Ça va créer une nouvelle bibliothèque avec des meubles, du matériel audiovisuel … obtenir la bibliothèque pour devenir un « programme de travail social à la bibliothèque» et un centre d’alphabétisation. L’importance du film réside dans l’image donnée de la bibliothèque comme centre communautaire, en d’autres mots, la bibliothèque dans le film est considéré comme une évasion habitude de se sentir un peu plus libre. 

Quant à l’image donnée à la bibliothèque dans le film, on peut dire que cela est très variable en fonction du temps le film se déroule, ou le temps qu’il a été enregistré.

Si nous parlons de l’utilisation de la bibliothèque, est l’utilisation généralisée de l’archive à résoudre un mystère. Nous avons tous l’image du protagoniste qui envisage le lecteur de microfiches, les journaux de la date à laquelle l’assassiner arrivé à trouver les motivations cachées de l’assassin.

Une autre image récurrente est celle de l’ancienne bibliothèque, pleine de secrets qui gardent la connaissance dont l’accès est limité aux privilégiés. Cette situation est aggravée par des livres sobres et gris, plein de entassés, empilés sous une couche de poussière et de toiles d’araignée. Un endroit inaccessible gardée par un vieux bibliothécaire qui considère toute visite comme une intrusion dans leur vie privée.

Les films américains est l’endroit où les bibliothèques apparaissent plusieurs fois, et c’est tout à fait normal, parce que dans cette société leutilisation de cette institution est très répandue. Ils sont utilisés de la même manière que d’autres services communautaires.

Autres titres de films qui traitent de la question des bibliothèques:

Indiana Jones et la Dernière Croisade (Steven Spielberg, 1989)

La momie (Stephen Sommers, 1999)

Le nom de la Rose (Jean-Jacques Annaud, 1986)

Harry Potter

Petit déjeuner à Tiffany (Blake Edwards, 1961)

Fahrenheit 451 (François Truffaut, 1966)
http://credit-n.ru/zaymyi-next.html

Le numérique dans les musées de France : une nouveauté?

« France : plus de 15 ans de numérique pour les musées »

 

Omer Pesquer,  Consultant Numérique Freelance et Initiateur et coordinateur de MuzeoNum, groupe de réflexion sur le numérique au musée, montre que le numérique n’est pas une pratique si nouvelle qu’on pourrait le croire dans les musées en proposant une chronologie des usages du numérique en France depuis 15 ans.

Il explique cette sensation de nouveauté du numérique dans les établissements muséaux par l’intensification de ces usages qui peut faire croire qu’ils sont récents, ce qui n’est pas le cas.

Sa chronologie commence en 1986 avec par exemple des postes de consultation numérique au musée d’Orsay ou encore des premières bornes interactives à la Cité des Sciences et de l’Industrie. Le DVD-ROM est utilisé au Louvre en 1999, le blog « Les Musées Virtuels »  est ouvert en octobre 2005.

Cette chronologie montre que les pratiques numériques dans le champs muséal sont progressives.

Voci le lien vers cette chronologie de Omer Pesquer :  http://omer.mobi/notes/france-numerique-pour-les-musees-reperes

Bonne lecture!
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