Les galeries et les artistes développent leurs présences en ligne !

Avec un public présent sur internet de plus en plus important, il est nécessaire aussi pour les privées, de se rendre disponible sur internet.

Ainsi de nombreux artistes décident de choisir internet comme vitrine numérique.Les galeries tentent de survivre à travers le numérique et de ce fait se faire un nom dans l’univers des salons d’art en s’internationalisant.

Ainsi les artistes et galeristes ne sont plus « matériellement » localisable et existent virtuellement en choisissant de ne plus avoir d’atelier public ou de galerie visible faisant disparaître le caractère traditionnel du marché de l’art et efface encore plus le lien entre l’artiste, le médiateur qu’est le galeriste, et le public.

Seul exception : les tableaux de grande valeur et les galeristes déjà connus dans le milieu. L’identité numérique est alors nécessaire pour les petites structures qui peuvent retrouver des communautés et collectivité en ligne afin d’améliorer leur visibilité.

Pour en savoir plus vous pouvez consulter l’article entier à cette adresse: http://www.faconnable.com/fr/corporate/blogs/galeries-d%E2%80%99art-et-artistes-intensifient-leur-presence-en-ligne/

Récemment, le site ‘Artist Become’ a été lancé, qui est une collectivité en ligne créée et développée par la galerie d’art sur internet bien connue, ‘overstockArt.com’.

Ces deux entreprises offrent ressources et outils variés pour aider les artistes déjà établis et les artistes émergents à élargir leur présence et espérer de mieux vendre leur travail. David Sasson, le président de overstockArt.com, parlait de l’essence même d’Artist Become :

‘’Avec ArtistBe.com nous faisons plus que simplement créer un endroit pour que les artistes montants exposent leur art original en ligne, nous créons une nouvelle plate-forme sociale à la fois pour les artistes et pour les amoureux de l’art’’, déclarait Mr. Sasson.

 

Photographie : tableau des ingénieurs d’ASUSTEK

 

 
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Les musées de Roumanie – 2 (Iasi)

Bonjour de nouveau!

Aujourd’hui c’est la ville d’Iasi que je vous présenterai. Elle se trouve au nord-est de la Roumanie, 47° 17 ‘ de latitude nord et 27° 57’ de longitude est.

La première attestation documentaire d’Iasi date de 1408. La ville a été l’une des capitales de l’ancienne province roumaine – la Moldavie qui sera la moitié du « coeur » de la Roumanie créée comme état national en 1859.

J’aimerais vous présenter un complexe muséale qui est en restauration pour l’instant – Le Palais de la Culture. Son site est peut-être aussi en reconstruction parce qu’il n’offre pas trop d’informations.

Le Palais de la Culture est un bâtiment emblématique, construit entre 1906 – 1925 sur le domaine de l’ancienne Cour princière médiévale moldave (attesté dès 1434). Entre 1806 – 1812, le prince Alexandre Moruzi fait construire un palais en style néoclassique. Endommagé par une incendie, il sera reconstruit par Mihail Sturdza entre 1841 à 1843. Après l’Union de 1859 et le transfert de la capitale à Bucarest, il devient un bâtiment administratif. A la fin du XIXe siècle, plusieurs incendies ont continué à l’affecter et au début du XXe siècle, la décision de le démêler (1904) et de le reconstruire a été prise. Le nouveau bâtiment a été réalisé dans le style gothique flamboyant, par l’architecte Ion D. Berindei. Il a 298 chambres avec une superficie d’environ 36.000 m². Le bâtiment a également été équipées d’installations très modernes pour l’époque, tels que l’éclairage électrique, le chauffage pneumatique, le système de ventilation, les thermostats, les aspirateurs, qui étaient tous installés au sous-sol.

En 1955, la destination administrative de l’immeuble est changée, en devenant l’hôte d’importantes institutions culturelles.

Aujourd’hui, le Palais de la Culture est un complexe muséal qui comprend le Musée de l’Histoire, le Musée Ethnographique de la Moldavie, le Musée d’Art, le Musée des Sciences et de la Technologie « Stefan Procope, le Centre pour la conservation et la restauration du patrimoine culturel et la Bibliothèque « Gheorghe Asachi ». Le bâtiment est classé au titre de monument historique.

Ce qu’il y avait à voir (avant les travaux): les fresques médiévales exécutées par Stefan Dimitrescu et ses élèves; les grandes portes de la « Salle de Voïvodes »; la salle « Henri Coanda » dont les panneaux ont été exécutés après un projet de ce grand scientifique (il a inventé une recette de ciment qui imite parfaitement la couleur du bois de chêne et qui a été utilisé à la décoration du palais); les meubles fabriqués par « Maple House» à Londres. Et bien d’autres chefs d’oeuvre!

http://www.orasul-iasi.ro/ (le site de la ville, uniquement en roumain)

http://www.sibiu.ro/ro2/harta_ro.htm (une carte de la Roumanie, pour localiser la ville)

http://www.palatulculturii.ro/ (le site du musée, version complète en anglais)
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Les musées de Roumanie – 1 (Sibiu)

Bonjour tout le monde !

Je pense qu’il n’y a aucune personne parmi nous, sauf moi bien sûr, qui connaisse les musées de Roumanie. C’est pourquoi j’ai décidé de vous faire une courte présentation, filtrée par mes connaissances.

La Roumanie, elle ne peut pas se vanté d’un Louvre ou d’un Orsay, d’un Versailles ou d’un Hôtel des Invalides, mais il y a quelques petits bijoux qui peuvent embellir vos vacances et en même temps changer votre avis peut-être sur les objets qui peuvent impressionner sans être imposants ou fastueux.

Pour moi, la ville la plus intéressante à voir, de point de vue culturelle, ce n’est pas la capitale, Bucharest, mais Sibiu. La ville de Sibiu se trouve au centre de la Roumanie, 45° 47 ‘de latitude nord et 24° 05’ de longitude est.

La première attestation documentaire de Sibiu date du 20 décembre 1191, lorsque le pape Célestin III a confirmé l’existence des Allemands en Transylvanie. Son histoire a été mouvementée comme celle de toutes les villes de la Transylvanie. Elle est aussi marquée de plusieurs événements d’une grande importance régionale, nationale ou mondiale – les soi-disant premières – comme: le premier hôpital ou la première école de Roumanie; le chimiste Franz Joseph Müller a découvert le tellure, un élément chimique; on y publie la première encyclopédie roumaine, la troisième de l’Europe, etc.

Moi, je veux vous présenter cette ville pour son musée d’art: le Musée National Brukenthal.

Le Baron Samuel von Brukenthal (1721-1803) a été le seul représentant de la communauté saxonne de Transylvanie, qui a occupé des postes importants au sein du gouvernement de l’État dirigé par l’impératrice Marie-Thérèse d’Autriche. Le temps passé à Vienne lui offre la possibilité de collectionner des œuvres d’art et sa collection devient l’une des plus précieuses collections que l’on peut admirer dans l’environnement culturel viennois de l’époque.

Nommé gouverneur de la grande principauté de Transylvanie, un poste qu’il a occupé entre 1777 et 1787, Brukenthal construit un palais à Sibiu, en style baroque tardif, sur le modèle des palais viennois. En 1817, le palais et ses collections (y inclut les livres anciens) deviennent musée. A présent, il comprend trois galléries: art européen, art roumain, art contemporain.

Quand j’ai visité le musée, il y a longtemps, c’est vrai, j’ai été impressionnée par les tableaux de Rubens et les originaux des peintres roumains que je voyais pour la première fois.

A Sibiu, vous pouvez aussi visiter le Musée d’histoire, Le Musée d’histoire naturelle, le Musée de la pharmacie, le Musée de la chasse.

A bientôt.

http://www.sibiu.ro/ro2/istorie.php (le site de la ville, uniquement en roumain)

http://www.sibiu.ro/ro2/harta_ro.htm (une carte de la Roumanie, pour localiser la ville)

http://www.brukenthalmuseum.ro/istoric_en/index.html (le site du musée, version complète en anglais)

 
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L'identité numérique post-mortem

Avec le développement du réseau internet, notre identité numérique devient essentielle et doit être préservée. Celle-ci doit être maîtrisée puisqu’elle constitue notre représentation virtuelle. D’ailleurs, cette identité numérique est encore d’actualité lorsqu’un décès survint. Que fait-on alors de nos informations ? Que devient notre identité numérique ? Qui détiendra la possibilité de gérer nos données post-mortem ?

 

Définition de Frédéric CAVAZZA : Qu’est-ce que l’identité numérique ?

 

Contrairement à l’identité que nous possédons dans le « monde réel », notre identité numérique n’est pas prédéfinie par un état civil, un nom, … Nous devons donc la construire par nous-même, sans l’intervention d’une tierce personne. Nous sommes donc libres de choisir les attributs de cette identité, sans quasiment aucune limite. Bien évidemment, certains attributs ne sont pas tolérés ou sont davantage contrôlés sur internet. Par exemple, sur le réseau social Facebook, il est impossible de s’inscrire automatiquement sous le nom de « Führer »  – pouvant faire référence à Hitler – à moins de faire appel à une autorisation auprès de Facebook. Qui plus est, un individu peut posséder plusieurs identités numériques, ce qui complexifie la question de notre présence dans le « monde virtuel ». L’identité numérique n’est pas qu’une « carte d’identité virtuelle ». C’est également l’ensemble des traces que nous avons laissé comme notre adresse IP, notre e-mail, nos consultations, …

Au vue de l’importance de cette identité, il devient donc vital de la gérer, afin de nous protéger de possibles atteintes à notre personne, qui peuvent nous toucher dans le « monde réel ».

Notre identité numérique en cas de décès

 

Du vivant de l’utilisateur, toutes ses données personnelles doivent lui être accessibles afin d’être en mesure soit de les modifier, soit de les supprimer. Internet touche plusieurs droits, à savoir :

  • Droit à la protection de la vie privée ;
  • Droit d’auteur ;
  • Droit à l’image ;
  • Droit à la protection des données personnelles.

Lorsqu’une personne décède, son identité numérique lui survit, ce qui rend la mort virtuelle impossible. Ce fait touche un droit, le droit à l’oubli, qui existe depuis une directive européenne datée du 24 octobre 1995. Ce droit impose une limite de temps dans le stockage d’informations personnelles. Or, une fois que des informations sont publiées sur le net, il est difficile de savoir ce qu’il en advient, d’autant plus que la mémoire d’internet est conséquente. En outre, une fois la personne décédée, les données errent sans propriétaire sur la toile. Il faut donc se reporter aux articles 226-1 à 226-8 du Code civil.

Or ces articles sont outrepassés par les réseaux sociaux. D’après la directive 95/46/CE, les réseaux sociaux et moteurs de recherche ne devraient pas collecter de données sans le consentement de la personne concernée. Néanmoins, ces volontés, correspondant à la législation européenne, ne sont pas automatiquement pris en compte et ne percent que difficilement, surtout lorsque celle-ci se confronte aux conditions d’utilisation d’un réseau social comme Facebook. Ces conditions d’utilisation stipulent que toutes données publiées sur Facebook sont conservées et appartiennent dès lors à Facebook, qui est libre de le commercialiser. Ceci n’épargne pas les comptes de personnes décédées et nous montre également que nos données virtuelles ne peuvent faire pleinement partie de notre patrimoine personnel, dont nous pouvons avoir le contrôle. Les moteurs de recherche, eux, suppriment les données personnelles après une durée de 6 mois.

Dans un article de Murielle Cahen, des articles juridiques ont été mis en confrontation avec la limite de leur utilisation. Nous remarquons alors que peu de moyens sont fournis pour défendre les données des personnes décédées. Par exemple, si nous prenons l’article 226-15 du code pénal, la vie privée d’un individu est défendue, ainsi que les données qui relèvent de la correspondance par mail. Néanmoins, à la mort du destinataire, la privatisation des correspondances n’est plus considérée comme étant nécessaire donc cet article devient caduque.

Les héritiers n’ont aucun droit sur l’identité numérique de la personne défunte étant donné que celle-ci pouvait créer de multiples identités numériques, plus ou moins fantaisistes. C’est également lié au fait que le droit n’explicite pas ce qu’est l’identité numérique et quelles en sont les limites. Les solutions sont donc les suivantes : Lire les conditions d’utilisation des sites et réseaux sociaux, ainsi qu’effacer ou de faire effacer ses données avant le décès, dans les limites du possible.

 

Nous pouvons donc constater que la question de l’identité numérique n’est pas encore formalisée d’un point de vue juridique et, par extension, cela nuit à la protection de nos données. Une fois des informations publiées, il est difficile de faire un retour en arrière. Ceci est d’autant plus remarquable lorsqu’un individu décède car il n’est plus en mesure de gérer ses données. Cela pose un véritable problème éthique sur notre présence numérique post-mortem et sur l’impossibilité que nous avons de nous effacer du monde virtuel.

 

 Sources :

 
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"Mémoire Vive" – Patrimoine numérisé de Besançon

Depuis le mois de janvier 2012, les Bisontins ont accès à un nouveau site Internet memoirevivre.besancon.fr. Celui-ci rassemble les ressources numérisées de la bibliothèque, des archives municipales et de cinq musées (musée des beaux-arts et d’archéologie, musée du Temps, musée comtois, muséum d’histoire naturelle et musée de la Résistance et de la Déportation).

L’objectif de ce site fédératif étant d’abord de répondre à la demande pressante des chercheurs qui souhaitent avoir accès à ces collections, mais également de s’adresser à un public local, en mettant à sa disposition des éléments du patrimoine qu’il peut apprécier et qui était jusqu’ici en accès restreint.
C’est pourquoi, le site s’organise autour de deux rubriques principales, « Collections » et « Découverte ». Cette double navigation permet à l’internaute de s’orienter sur le site, en fonction de son profil et de ce qu’il recherche.
La première rubrique présente un ensemble de ressources numérisées par thème ou par type : anciennes photographies prises à Besançon, livres publiés sous la Révolution, état-civil de 1543 à 1902, peintures, montres et masques…
La seconde rubrique permet une approche plus libre, au fil des commentaires d’ouvrages et des expositions virtuelles proposées sur le site.
Depuis son ouverture, « Mémoire vive » comprend plus d’un millions d’images numérisées et connaît un remarquable succès.

Or outre cette présentation succincte pour vous faire découvrir « Mémoire vive », je voudrais ici mettre ce site en regard avec l’article de Silvère Mercier, « Quelle identité numérique institutionnelle pour les bibliothèques et les centres de documentation », paru dans la revue Documentaliste – Sciences de l’information en 2010. Dans ce dernier, Silvère Mercier développe l’idée selon laquelle les bibliothécaires et les documentalistes doivent apprendre à cultiver des identités numériques dans le cadre des institutions où ils exercent. C’est pourquoi il examine plusieurs démarches adoptées par des bibliothèques et des centre documentaires pour afficher leur identité sur le Web et y affirmer leur présence.

De ces exemples, Silvère Mercier dégage trois types d’identité :

  • l’identité institutionnelle, qu’il considère comme le degré zéro de l’usage d’un réseau social avec beaucoup d’inconvénients (problème de subjectivité, communication globale, nombreux conflits) pour peu d’avantages (canal de diffusion, référencement) ;
  • l’identité de service trouve plus intéressante car elle permet une très grande lisibilité du service, de l’utilité sociale des bibliothécaires et documentalistes et permet en outre la coopération entre plusieurs institutions ;
  • l’identité média-thématique (blog thématique),
  • et l’identité de personnes-ressources qui selon l’auteur est le positionnement le plus intéressant.

 Ainsi au regard de cette typologie, le site « Mémoire vive » de Besançon paraît donc cultiver une identité média-thématique en allant toutefois beaucoup plus loin qu’un simple blog. De ce fait, « Mémoire vive » permet d’affirmer sur le Web la présence de la bibliothèque municipale, du centre d’archives communales de la ville et des cinq musées, ce qui semble un pari réussit.
Cependant, il est a regretter l’impossibilité pour l’internaute de faire des retours d’utilisation, ce qui à mon avis, semble la seule faiblesse de « Mémoire-Vive ».

Sources :

Site Mémoire-Vive

Mercier, Silvère. Quelle identité numérique institutionnelle pour les bibliothèques et les centres documentaires ?
Documentaliste – Sciences de l’information. 2010, vol. 47, n°1, p. 40-41.

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Le Louvre-DNP Museum Lab

L’ère numérique entraîne de nouvelles façons de vivre, mais aussi d’acquérir des connaissances. Il paraît donc important que les institutions culturelles s’approprient ces nouveaux outils que la technologie offre. C’est dans ce contexte que le Louvre met en exergue sa volonté d’utiliser les outils numériques afin d’observer la façon dont ceux-ci peuvent aider à la visite et à la compréhension des oeuvres exposées (Henri LOYRETTE, Président-Directeur du Louvre).

Qu’est-ce que le Louvre-DNP Museum Lab ?

 

Le LDML, soit le Louvre-DNP Museum Lab, a été fondé en 2006 par le Dai Nippon Printing (DNP) ainsi que le musée du Louvre.

Apprécier l’art ne signifie pas simplement porter son regard sur une œuvre, mais enrichir ce regard pour comprendre l’œuvre et l’interpréter selon sa propre sensibilité.

– Site du Louvre-DNP Museum Lab –

 

L’objectif de cette collaboration est de donner au visiteur la possibilité de voir les oeuvres autrement, par des outils multimédias variés. Le parcours de visite permet donc d’observer les oeuvres sous plusieurs angles et ainsi de créer un nouveau lien entre l’art et le public.

Le développement de cette expérimentation se fait autour de trois axes, qui sont : regarder, comprendre et rencontrer. Ces trois points permettent de découvrir les oeuvres sous plusieurs angles, à travers plusieurs clés de lecture. Ils permettent aussi de transmettre des connaissances autour des oeuvres d’art (technique utilisée par exemple), et ont également pour but de faire resurgir des émotions afin de donner l’envie de renouveler l’expérience et de l’étendre à d’autres oeuvres. Il y a donc une idée de fidélisation aux institutions culturelles – des musées dans ce cas – d’où la volonté d’étendre ce système à d’autres musées.

Le Louvre-DNP Museum a donc pour ambition de réfléchir sur l’utilisation des outils numériques dans le cadre d’une médiation auprès des publics, afin de développer la relation entre le visiteur et l’oeuvre exposée.

 Le cas de La Vierge au lapin de Titien

 

L’expérience multimédia de ce tableau a été mis en place dans le cadre d’une exposition temporaire, intitulée Rivalités à Venise – Titien, Tintoret, Véronèse, qui a eu lieu du 17 septembre 2009 au 4 janvier 2010.

Trois dispositifs numériques ont été mis en oeuvre afin de comprendre ce tableau. Le premier était composé de deux écrans tactiles, disposant d’une loupe intégrée (cf. première photo), afin de constater des détails particulier. Le deuxième dispositif était une sorte de cabine de projection ouverte, permettant au visiteur de voir un film digital. Enfin, le troisième dispositif, permettait d’entrer dans l’oeuvre de Titien, par une reconstitution en trois dimensions de l’oeuvre.

Cette expérimentation nous permet de constater la large palette de choix d’outils numériques, qui pourraient aider à la médiation culturelle. Cependant, nous ne sommes qu’au début de ce progrès technique et ces outils restent particulièrement coûteux et ne sont donc pas encore à la portée de toutes les institutions culturelles.

Sources :

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Museomix : quand les enfants du web collaboratif tissent leur toile au musée

La troisième édition du projet Muséomix aura lieu cette année du 8 au 10 novembre 2013, dans plusieurs musées et dans plusieurs pays !

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=Wu2ZJ8uYXoU[/youtube]

En France  c’est le musée Dauphinois de Grenoble qui sera museomixé : durant ces trois jours des professionnels de musées, des acteurs de l’innovation et du monde numérique, des amateurs d’art et de sciences, des passionnés d’éducation et de culture, des gens comme vous et moi investissent un musée, collaborent et créent leur exposition. Cette nouvelle expérience muséale se veut :

  • plus ouverte : chacun peut trouver “sa” place
  • en réseau et connectée avec diverses communautés de visiteurs en ligne et sur place
  • un laboratoire vivant qui évolue avec ses utilisateurs

Inspirée par le web collaboratif, l’expérience Muséomix a fait émerger un nouveau type de musée : le musée-légo, un endroit où tout un chacun peut prendre part à la création et laisser l’empreinte de sa collaboration. Le musée n’est plus un objet fixe, tel une vitrine, mais  un espace en éternelle construction, qui se crée indéfiniment.

  • Le concept et les enjeux du Musée-Légo sont entièrement expliqués ici

Enraciné dans une démarche participative, la création se déroule aussi bien sur place que sur les réseaux numériques : elle est partout. Le musée est au centre d’une gigantesque toile inter-relationnelle tissée entre les professionnels des musées, les artistes, les amateurs, les internautes …

 

  • Si vous voulez participer à l’expérience Muséomix cette année, vous trouverez tous les renseignements nécessaires ici
  • Mixeum.net est le blog des muséomixeurs et présente les articles qui m’ont inspiré cette page.

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Numérisation de documents, un défi pour l'avenir

Les hôtels qui appartiennent à de grandes chaînes multinationales, mais aussi des hôtels de charme, ont la nécessité d’intégrer les dernières technologies

Internet est devenu un outil essentiel pour la commercialisation de nos services, la communication avec les fournisseurs et le dialogue avec les clients. Cela signifie que nous avons à gérer une énorme quantité de documents au format numérique. C’est le signe des temps. Il est révolu le temps où n’importe quel document était une feuille de papier.
Les jeunes générations parlent un document Word ou un document Excel ou un document PDF. N’ont que rarement l’envie de l’imprimer et d’obtenir que le papier.

En fait, de plus en plus de personnes utilisent les signatures électroniques, qui plus envoyés par e-mail une fois scanné nous permet d’éviter les envois de courrier et économiser beaucoup d’argent. Bienvenue document numérique

Mais que faire avec les documents papier qui sont stockés dans nos sociétés et nous ne voulons pas perdre?. La solution idéale consiste à numériser les documents.

Dans certaines entreprises, la seule utilité de conserver certains fichiers résident en ce que la loi l’exige. Mais il n’ya aucune raison d’affaires pour stocker tous les documents stockés.

Il est donc important de faire une étude préliminaire des besoins. Pas de la même façon de préserver un inventaire des documents stockés dans un format qui nous permet de modifier et utiliser les données.

Avantages de l’archivage électronique: d’abord économiser de l’espace. Actuellement, un disque dur externe de la taille d’un livre de poche peut stocker des millions de tonnes de documents qui seraient autrement occupent des dizaines de mètres carrés.

Ensuite, il ya la possibilité de gérer les informations contenues dans ces documents.
Tri des fichiers peut sembler un processus long et fastidieux, mais il est important de bien réfléchir à ce que les avantages qu’ils trouvent sur la route, l’optimisation de nos processus de conservation et de récupération des documents.

 

http://www.casadefederico.com/casa-alojamiento/la-digitalizacion-de-documentos-un-reto-de-futuro.html
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Les sites internet reliant culture et tourisme…

Aujourd’hui, les institutions culturelles importantes ou non travaillent sur leur image au niveau national ou au-delà par l’intermédiaire du web.  Les différents outils de communication disponibles sur internet sont assez divers, de l’inscription aux réseaux sociaux jusqu’aux différentes formes de publications sur un site web particulier au musée ou au monument, chaque lieu peut se particulariser à travers cette activité.

Cependant, constat particulièrement important dans ce domaine, on assiste au développement en ligne de sites web réuniant les lieux culturels d’une même unité territoriale ou d’un même type avec les possibilités de logement et de restauration à proximité. Le site web devient un réel outil touristique du territoire …Les régions à patrimoine touristique important présentent assez facilement ce phénomène.

Si on prend l’exemple des pays de la Loire proposant de multiples supports construits avec une hiérarchie différente entre histoire, architecture et patrimoine de façon plus large, chaque site peut alors se faire une place en cette organisation particulière.

Cette configuration peut être relativement libre ou au contraire proposer des circuits plutôt précis. D’ailleurs , une telle organisation n’est pas sans rappeler les fameuses « box » s’achetant en ligne ou en magasins proposant entre autres les programmes de week-end en fonction de la thématique recherchée…La diversité thématique que ces organisations proposent donne d’ailleurs au client/public la sensation d’une personnalisation et d’une adaptation du programme à ses propres goûts et ses propres choix comme une évolution même de la vente d’autant plus qu’elle propose souvent, du moins en apparence, une économie. L’accès actuel à la culture comme à l’ensemble des domaines, notamment crée par le web, est aussi à l’origine d’une évolution des vœux de découvertes, de connaissances et donc d’acquisition dans une construction de plus en plus personnelle…

La question n’est donc pas de juger la qualité des regroupements de produits proposés par les différents sites web, ou directement vendus ensembles, mais seulement de constater l’évolution de ces phénomènes comme une remarquable adaptation à la société de consommation actuelle alors que leur objet est un lieu patrimonial…A partir de là, la frontière est-elle toujours présente entre les notions de public et de client???

Sources:

http://www.visaloire.com/Decouvrez/La-destination-Chateaux/Terre-des-rois.html?gclid=CIHVo_a0pbYCFc3HtAod_zgARw

http://www.chateauxtourisme.com/

http://www.parisinfo.com/musees-monuments-paris/

 

 

 
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