Ma citation de Krumm

« Sa langue étrangère ne sera jamais la langue étrangère. » : une toute petite citation, mais qui en dit beaucoup et qui pour moi, pourrait résumer tout le long de cet article. En effet, il existe différents types de langages dans le monde et l’on ne peut imposer à quelqu’un de parler une langue qui diffère de sa langue maternelle, sous prétexte qu’elle n’est pas reconnue comme étant une « bonne » langue. La langue représente tout d’abord l’identité de chaque individu, lui permettant l’intégration dans un groupe à travers la communication, ainsi lui procure un sentiment d’appartenance à un groupe et l’épanouissement dans une communauté. Que serions-nous donc, si on nous enlève notre identité dans un pays qui nous ai totalement inconnu ?  La privation d’une langue, favorise-t-elle réellement la réussite scolaire ou est-elle plutôt à l’origine des inégalités de réussite ? La langue n’est-elle pas l’un des facteurs primordiaux permettant de décrocher la clé de la réussite, pourquoi donc privée aux élèves de parler leurs langues « étrangère » … cette citation est tous ce que j’ai retenu de cet article, car elle est liée directement à ma thématique de mémoire à savoir l’intégration culturelle et linguistique auprès des élèves allophone.

Une réflexion sur « Ma citation de Krumm »

  1. Cette citation peut en effet se rattacher à de nombreuses problématiques linguistiques et culturelles. Il me semble aussi intéressant de questionner vraiment le mot « étranger ». qu’est-ce qu’une langue étrangère ? Etre étranger ? Etranger à quoi ? Et à qui ? L’inclusion des élèves allophones est en fait travaillée par toutes les représentations construites autour du mot « étranger ». Ce serait intéressant à creuser.

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