LE MOT D’ABEL de Véronique Petit

Abel a 13 ans… Et quelques mois… Et quelques jours… C’est important parce que dans son monde, assez proche du notre à une exception près, chaque adolescent d’environ 12 ans se voit assigner un mot. Il se révèle à eux un matin, leur empli la tête, le corps, les sens…

Mais Abel n’a toujours pas le sien. Abel vit dans l’angoisse d’hériter d’un mot dérisoire ou ridicule, ou pire, d’un mot noir… Et c’est l’angoisse totale ! Parce que ce mot façonne leur vie, agrandit ou anéantit leur rêve. Et puis ce mot est intime et ne peut être révélé qu’au moment de leur mort. Mais il est parfois si voyant, si fort, qu’on le devine…

Un matin, il découvre le mot de Clara, la fille dont il est secrètement amoureux, tagué en lettres rouges sur le mur du collège ! Qui a pu commettre un tel crime ?

 

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