Derniers ateliers de maternelle

Ces derniers jours ayant connu une canicule exceptionnelle, 2 après-midi ont permis aux enfants de rester au frais.

L’air étant plus respirable, ce matin, la kermesse dont les stands ont été tenus par les élèves du CM2 a permis à tous de s’essayer aux jeux proposés.

MERCI aux parents des Grands pour les boissons et excellents gâteaux qui ont régalé même les futurs collégiens (CM2) !

Voici nos derniers ateliers de travail:

Cet hiver, nous avons largement abordé les châteaux forts.

J’avais promis d’écrire à la plume comme au moyen-âge.

Voilà donc (enfin) les Grands écrivains, à la plume de cigogne.

Il fallait écrire son prénom et écrire ou dessiner ce qu’on voulait. Tremper le bout de la plume dans l’encre…

Puis les écoliers ont fait un bond dans le temps et on saisi des porte-plumes munis de plumes en métal Sergent Major, comme il y a 100 ans.

Ils ont apprécié la finesse de l’écriture…

Et à la fin de leur atelier, ils ont écrit au stylo à bille noir, pas besoin de le tremper dans l’encre: même la maîtresse a eu un stylo bleu quand elle est allée au CP ! En 2019, il est toujours présent dans la trousse des enfants.

Pendant ce temps, Christine fabriquait des kazous avec son groupe. Peindre le tube troué  en blanc, découper du papier sulfurisé et l’appliquer au bout du tube, puis colorer le tube avec des peintures acryliques, couleurs et motifs au choix. Pour faire vibrer le kazou, il faut chanter dedans ! Attention les oreilles, car la voix est déformée par l’instrument. C’est ça qui est amusant !

Bonnes vacances à tous mes petits élèves et leur famille. N’oubliez pas de partager de bons moments ensemble cet été: piscine, jeux, chants, cuisine, lecture, dessin…C’est le meilleur moyen de préparer le CP.

anniversaire de juin

Il y a 6 ans, en juin 2013, Eden et Lucas ont fait la joie de leurs parents.

Les voilà tout début juillet, autour d’un moment festif.

Merci aux parents pour leur complicité gourmande !

Transformés en tortue ninja ou saupoudrés de sucre glace, les gâteaux ont toujours du succès dans les classes de Grands.

L’avantage de naître en juin c’est qu’on peut fêter en plein air !

En avant vers les 7 ans !

Naissances à l’école !

L’éclosion des oeufs a commencé mercredi 5 juin, tout doucement.

On entendait les poussins dire « Piou piou » dans leurs oeufs, avant même de les fendre !!!

Notre couveuse est devenue une couveuse parlante !

Sur la photo ci-dessous, on voit un oeuf en train d’être brisé par le diamant du bec du poussin.

On voit aussi des œufs déjà vide, et à droite un poussin encore tout mouillé.

Maîtresse Muriel a filmé quelques éclosions où on entend bien le « crac » final avant que le poussin puisse s’extraire de sa coquille.

Gilbert, notre aviculteur, nous a conseillé de laisser les poussins dans la couveuse jusqu’à ce qu’ils soient secs, puis de les mettre dans la poussinière.

Le 6 juin fut le jour du débarquement  😉  massif des…. poussins dans notre école: tous ont été posés, une fois secs, dans la poussinière.

Voici la couveuse quand on l’a ouverte: un vrai beau Kinder Surprise !

Un poussin encore mouillé voulait se réfugier dans sa coquille car il avait froid à cause de l’ouverture de la porte de la couveuse !

Mais les adultes ont bien fait attention à ne transférer dans la poussinière que les poussins bien secs.

Sur les 50 oeufs, 29 bébés sont nés. Gilbert en a repris un qui était picoré par les autres car il saignait un peu pour le faire guérir seul chez lui.

Les autres oeufs étaient des oeufs clairs, c’est à dire non fécondés par le coq.

La maîtresse a versé au fond de la poussinière un seau de paillage de chanvre, pour absorber le pipi et le caca des poussins.

Face à la poussinière, les Grands ont trouvé les 5 besoins vitaux des oisillons:

-manger (ici, les petites céréales dans la boîte à oeufs)

-boire (l’assiette rouge)

-respirer (par les narines du bec ou le bec ouvert)

-dormir (les poussins font de nombreux dodos courts)

-avoir chaud (la chaleur est apportée par les 2 lampes au dessus des poussins)

Ces poussins sont des poussins de race de poule alsacienne, ils sont noirs ou gris foncé.

Le 7 juin, nos poussins étaient un peu plus costauds pour être portés dans nos mains, après avoir calmement récapitulé leurs 5 besoins vitaux.

Surveillez les DNA, il y aura certainement un article sur ces naissances.

Certains avaient peur de faire mal, de laisser tomber le petit être vivant…

Demandez à votre enfant comment c’était de porter délicatement (mais fermement) ce petit oiseau.

Certains fondaient de bonheur au contact du duvet chaud…

En attendant, les adultes de l’école continuent de passer à la bibliothèque les jours de repos pour changer l’eau des petits picoreurs.

 

 

Miam, les radis !

Lundi 3 juin, au retour du long week-end, nous avons constitué 4 équipes pour s’occuper des radis semés en avril.

Une équipe d’arracheurs.

Une équipe de laveurs.

Je n’ai pas pu les prendre en photo puisqu’ils étaient accompagnés de Christine, hors de la classe.

Mais voici la 3ème équipe, celle des tartineurs.

Beurre salé sur pain de campagne…

Puis voici l’équipe des coupeurs: il fallait enlever les feuilles et le petit bout de racine au bout du radis.

Les 4 équipes ont été richement récompensées avec 3 radis par enfants !

Même si à la maison certains n’aiment pas les radis, ceux que nous avons semés, arrosés et observés étaient meilleurs, car CHACUN a croqué ses radis.

Le pain de campagne tartiné de beurre salé a eu un énorme succès, surtout à 11h du matin, quand on a bien faim après la récréation !

6 ans en mai 2019

Il y a 6 ans, le mois de mai a été porteur de 4 enfants actuellement en GS: Maëron, Alicia S, Milla et Ambre.

Les voici tous les 4 en cette fin mai, ils ont bien grandi depuis le jour de leur naissance !

Et ce n’est pas fini …

Pour qu’on voit les magnifiques gâteaux faits maison, j’ai fait une photo sans flash, juste à la lumière des bougies.

Et comme toujours: 5 + 1 = 6.

A présent, il faut sortir 2 mains pour montrer son âge sur ses doigts !

Merci aux mamans de Milla et Maëron pour ce régal des yeux et des papilles !

Toute la classe s’est régalée, les gâteaux embaumaient tout le bureau de Christine.

Bon WE de l’ascension à tous.

Les petits poussins devraient éclore mercredi et jeudi, 3 semaines sont déjà presque passées.

(Voir article précédent)

Lundi, les Grands, en 4 équipes, arracheront les radis devenus magnifiquement grands, les laveront, les couperont tandis que d’autres feront des tartines de beurre salé afin de les déguster. Miam ! (voir article sur les semis et plantation)

Merci pour vos commentaires !   😀

une couveuse à l’école

Jeudi 16 mai, Gilbert Schaffhauser, habitant du village et aviculteur passionné a apporté une couveuse avec 50 oeufs à l’école.

Les oeufs ont été pondus par des poules qui ont pu s’accoupler avec un coq.

Les Grands ont cru que la couveuse était une ruche…

Gilbert a expliqué que les oeufs étaient couvés par la poule pendant 21 jours à partir du moment où elle commence à les COUVER.

Avec une puissante lampe appelée mire-oeuf, il a montré à chacun que les oeufs ne contenaient pas encore un petit poussin, car la lumière les traversait.

Vers le 18ème jour, nous verrons les poussins bouger dans leur oeuf grâce à la lumière du mire-oeuf !

Chacun est venu tracer une croix sur un côté de l’oeuf et un trait sur l’autre coté.

Pourquoi ?

Parce que la poule retourne ses oeufs 2 fois par jour pour que les poussins ne collent pas à la coquille !

Et comme il n’y a pas de maman poule dans l’école, c’est nous qui allons retourner les oeufs chaque jours: matin et soir.

Le week-end et les mercredis, ce seront les maîtresses qui viendront exprès faire ce travail de poule 😀

Et voici les oeufs tournés du coté croix prêts à être mis en couveuse.

La couveuse est à environ 38 degrés. Nous avons placé des bacs remplis d’eau sous les oeufs, car sous le ventre des mamans poules, il fait chaud ET humide.

Demain lundi, nous compterons 21 jours sur le calendrier à partir du jeudi 16 mai pour voir quand les poussins vont éclore.

La majorité viennent de poules  de race alsacienne…

Les enfants se réjouissent d’accueillir ces petits oiseaux tout doux et fragiles.

Mais….patience !

anniversaires d’avril

Ce dernier vendredi 30 avril, nous avons célébré la naissance de 3 enfants de la classe.

On aurait pu fêter aussi celle de la Maîtresse 😉

Thiago est né le 14 avril, Alicia le 25 et Elena le 26, le jour de notre sortie à la ferme.

Merci aux parents d’avoir joué le jeu des gâteaux jolis et fondants !

La dernière photo est un peu floue, mais je n’ai pas résister à vous poster ces beaux sourires !

 

Petit cadeau en lien avec la ferme: une chanson en Libérian (Afrique) qui parle d’un coq qui chante à une maman qui doit se réveiller.

Les enfants aiment chanter cet air africain:

A la ferme pédagogique

Arrivés à 10h30 après 1h30 de bus à la ferme du Luppachhof (Bouxwiller), nous avons été accueillis par des tartines de fromage frais aux herbes de la ferme, et un chocolat chaud fait avec le lait de la traite du matin. Un régal !

Passage aux toilettes sèches (on fait pipi dans la sciure et on recouvre son pipi avec de la sciure) et aux rustiques savons…

Les activités ne commençant qu’à 11h, nous avons visité librement le poulailler.

Le dindon et sa femelle la dinde glougloutaient, c’était très amusant.

Les oies râleuses et impressionnantes nous ont (mal) accueillis !

Les enfants ont eu peur de leurs forts cris !

Le coq, roi de la basse cour, nous a démontré qu’il était fort par de beaux cocoricos.

Sur sa tête: la crête, sous son bec: le barbillon.

Derrière lui, on voit sa femelle, la poule.

Le coq a 2 pattes et 2 ailes, comme ses bébés les poussins.

Amélie l’animatrice porte sur ses épaules la chatte de la ferme pour la mettre un peu à l’abri des centaines de mains d’enfants qui pourraient la caresser trop fort.

Elle explique comment nourrir les mamans moutons qu’on appelle les brebis. On va leur donner des céréales.

Elle montre qu’il faut garder la main bien plate pour que les brebis lèchent et saisissent les grains avec leurs lèvres .

Quelle joie de pouvoir sentir la bouche chaude et velue des brebis dans nos mains !

Les bébés des brebis s’appellent les agneaux. Ils ont aussi de la laine sur leur dos.

Mais dans la ferme du Luppachhof, on fait surtout du fromage avec le lait des brebis.

Pour avoir du lait, la brebis doit avoir un bébé.

Comme les mamans: elles ont du lait qui montent dans leurs seins quand elles accouchent de leur bébé.

Dans l’étable, Amélie a cherché une chèvre et lui a coincé le coup pour la bloquer.

Pendant ce temps, la chèvre se régalait de céréales dans le seau vert.

Le fils du fermier s’est joint à nous, il était encore en vacances car il va à l’école en Suisse.

Les enfants ont cru que les mamelles roses et impressionnantes de la chèvre étaient ses fesses…

Amélie a montré comment traire la chèvre. 

Chacun est venu essayer.

Pour que la chèvre ait du lait, il faut aussi qu’elle ait un bébé.

Le lait sorti du pis était chaud, sucré, crémeux. Un régal.

La chèvre est un mammifère: 4 pattes, des poils et des mamelles, comme la brebis.

Son mâle était tout seul à l’extérieur de l’étable. Il s’appelle le bouc.

On voit sous son ventre non pas des mamelles, mais les sacs qui contiennent les graines pour faire les bébés chevreaux à la chèvre.

Qui dit lait de chèvre dit obligatoirement chevreaux.

Avec une joie énorme, les enfants ont pu les caresser à loisir…

Ils étaient ravis de constater que les petites cornes poussaient…

Thiago qui a des animaux de ferme à la maison a carrément pris dans ses bras un chevreau !

Bisous et chaude intimité…

Tant de chèvres servent à gagner de l’argent en vendant des fromages faits avec leur lait !

Ici Laura explique comment le lait se transforme en fromage.

Si on laisse du lait sur la table de la cuisine, de gentils microbes vont le transformer en fromage en 6 jours.

Mais si on y met des gouttes de présure (une enzyme qu’on trouve dans l’estomac du veau ou… dans nos estomacs), le lait se transforme en fromage en 1 jour seulement !

Nous avons goûté des miettes de fromages frais puis affinés et nous avons dû dire si c’était du fromage le chèvre, brebis ou vache.

Ici, le frais c’était de la chèvre et l’affiné était de la brebis.

Nous avons terminé le cycle « de la traite au fromage  » en nous rendant à la fromagerie après un lavage de main attentif.

Nous avons mis des tabliers de fromagers.

Et coulé à la louche du fromage frais dans de petites faisselles (moules troués) laissant s’égoutter le petit lait.

Les petits fromages ont égoutté toute la journée.

Nous les avons ramenés dans des glacières pour que de méchants microbes ne s’y développent pas.

J’espère de tout coeur que vous les avez consommés avec sucre, miel, confiture ou herbes salées,

car les enfants ont mis tout leur coeur à les fabriquer.

On s’évade de la fromagerie pour remettre nos vestes…

Et pour aller donner des biberons aux chevreaux qui sont séparés de leurs mères puisque les fermières exploitent leur lait.

Je profite de cette jolie photo pour remercier chaleureusement Mélanie, maman d’Eva qui a donné plein d’énergie à son groupe de 6 enfants dans cette journée.

La mamie de Florian a fait de même, au pied levé en plus, puisqu’elle a remplacé le matin même la maman de Lyne restée à soigner la grosse angine de sa fille  à la maison.

Merci Françoise, cette jolie photo est pour vous !

Gros bisou à Lyne  et Aurélie qui doivent regarder les photos.

Il y aura 135 photos que nous verrons lundi avec elle si elle revient ou plus tard  si elle n’est pas encore en forme.

La puissance de succion des chevreaux était impressionnante.

La maîtresse a eu un grand plaisir à prendre un chevreau dans ses bras…comme Françoise !

Un dernier câlin au bébé chèvre avant qu’il retourne au chaud, et hop, 23 biberons pour les Grands. Heu…non ! 23 sandwiches !

Un voleur de chips rôdait pendant le déjeuner. Demandez à vos enfants qui c’était !

La pause a duré 1h, nous avons joué au fermier dans son pré, au petit lapin qui a du chagrin…

Nous avons visité le clapier des lapins.

Cueilli des herbes pour la donner aux cailles et aux oies. (conseil de la fermière)

Puis nous sommes allés dans la poussinière. Amélie nous a expliqué comment naissent les poussins.

Nous en reparlerons en classe.

Je ne détaille pas ici.

Avec un mire-oeuf, nous avons vu que quand la lumière traversait l’oeuf, c’est qu’il n’y avait pas de poussin dedans ou un poussin encore très petit.

Et quand la lumière ne traverse pas l’oeuf, c’est que le poussin a bien grandi et qu’il va bientôt naître.

Chacun a pu porter un tout petit poussin dans ses mains.

Et même l’embrasser !

Puis on a remis le poussin dans sa couveuse (sous lampes rouges).

Le tout petit poussin a du duvet sur sa peau.

Mais ses plumes (comme celui-ci) poussent rapidement.

Un petit tour au jardin pour voir l’épouvantable épouvantail

Et Elisa nous a emmenés nourrir les lapins. Ici, chacun a donné une belle poignée de foin (herbe séchée).

Puis du pain dur, des carottes et des céréales.

On a pu caresser des lapereaux dans un « lapinodrôme ».

Les lapins ont aussi 4 pattes, des poils et la lapine a des petites mamelles pour nourrir ses lapereaux.

Ce sont donc aussi des mammifères.

Notre classe a été fréquemment divisée en 2 groupes, c’est pour ça que vous ne voyez pas souvent les groupes bleus et rouges.

La maîtresse n’a pas pu être partout…

Nous voilà enfin tous rassemblés à 15h15, devant 2 seaux. Dans le blanc: le petit lait qui sort des fromages qui égouttent dans la fromagerie.

Dans le bleu du son de blé (l’enveloppe ou la peau autour des grains de blés).

Qui allons nous nourrir ?

Nous avons mélangé dans le seau vert le petit lait et le son.

Elisa a touillé le mélange.

Et l’a versé dans l’auge des cochons ! Quels gloutons ces porcelets !

Elisa a expliqué que l’endroit où dorment les cochons est toujours propre. Ils n’y font jamais caca.

Si les cochons se roulent dans la boue, c’est pour enlever les parasites de leur peau, se rafraîchir et se protéger du soleil.

La maman cochon s’appelle la truie et ses bébés (comme ces 2) les porcelets. Ce sont aussi des mammifères.

 

Merci de regarder et commenter ces photos avec votre enfant.

Nous allons exploiter cette riche sortie à la ferme en espérant que nos élèves en sortent plus savants.

Les mots à reprendre avec lui ou à lui expliquer sont en caractère gras dans l’article.

Plantations et semis

Par ce beau mardi ensoleillé suivant le WE de Pâques, nous avons découvert 3 grandes jardinières remplies de terreau dans la cour de l’école.

Une d’entre elle est pour notre classe.

Une jardinerie nous a donné des toutes petites plantes que nous y avons installées, les racines dans la terre.

D’abord nous avons retourné la terre avec un rateau.

Ali-Arslan montre une petite salade, Lina un chou, Alicia un fraisier et Lucas les fleurs de pensée…

Puis nous avons semé des graines de radis. Ils seront bons à manger dans 18 jours.

On mange leurs racines crues. Mais si les feuilles sont belles, on pourra faire une petite soupe (avec feuilles + pomme de terre, sel et crème fraîche).

Les enfants ont dit que les graines de radis étaient rondes, ovales, comme des petits pois, comme des petits cailloux…

Avec patience et minutie, ils les ont espacées pour que les racines aient de la place pour pousser.

Le mari de la Maîtresse, qui est jardinier, a été admiratif de tant de graines si bien espacées ! Les radis vont bien pousser.

Nous avons recouvert un peu les graines pour les protéger et nous les avons arrosées pour les réveiller.

Vos enfants connaissent les besoins d’une plante pour vivre: terre, eau, soleil (qui apporte lumière et chaleur).

Il va falloir arroser souvent les graines de radis pour qu’elles poussent bien.

De beaux arrosoirs (des vrais, adaptés aux forces de nos petits jardiniers) vont arriver par colis livrés à l’école.

Suite dans 3 semaines…. après la visite à la ferme de vendredi 26/04.

 

Lapins de Pâques

Ce mardi suivant juste le week-end de Pâques, nous sommes tous revenus à l’école pour la période 5 (la dernière avant le CP).

Nos sacs de Pâques avaient disparu…pour réapparaître peu avant 16h, éparpillés dans la classe par le Lapin de Pâques.

Et…garnis de surprises en chocolat en plus !

Excusez la qualité des photos, mais mon reflex numérique a une batterie de 11 ans qui se vide de plus en plus vite.

Ce sont donc des photos faite avec mon viel Iphone 4S.

Avant Pâques, nous avons largement travaillé sur le livre « Max et la poule en chocolat  » de Rosemary Wells.

En théâtre particulièrement. Ce fut un régal partagé par tous.

Voici une vidéo cadeau.

La soeur de Max ne s’appelle pas Marie mais Ruby dans le film.

Et Max ne se cache pas dans un trou d’arbre mais dans la cabane du jardin.

Sinon, tout y est… les enfants connaissent certains dialogues par coeur !

Bon visionnage, c’est très frais et candide.