D’où vient Adidas ?
Adidas est une entreprise allemande qui a été fondée en 1944 par Adolf Dassler. Les produits étaient, initialement, des articles de sport.
– Nike, Puma, Asics,..
La direction d’adidas Group a présenté ses résultats financiers pour l’année 2016. Au total, le groupe a enregistré un chiffre d’affaires de 19,291 milliards d’euros.
En 2016, adidas Group a donc augmenté ses ventes de 14% vs 2015 en Euros. Dans le détails, le chiffre d’affaires 2016 de la marque adidas s’élève à 16,334 milliards d’euros. Reebok a pesé pour 1,770 milliard d’euros, TaylorMade – adidas Golf pour 892M€ et CCM Hockey pour 271M€.
Alors que le groupe a gagné 0,3 point de marge, le bénéfice d’exploitation s’élève à 1,491 milliard d’euros et le revenu net à 1,020 milliard €, « une première dans l’histoire de la marque » a précisé Kasper Rorsted, CEO d’adidas Group.
Adidas Group a prévu de verser un dividende de 2 euros par actions à ses actionnaires.
Lors de sa présentation, le CEO d’adidas Group a également précisé que le business en ligne avait augmenté de 59%.
D’abord un constat : les 15-24 ans sont aujourd’hui des clients créateurs («creator consumers») par le fait qu’ils apprécient le changement, constamment,aiment être connectés 24h/24 et 7 jours/7, sont réalistes sur eux-mêmes et le monde qui les entoure,
aiment bouger dans la vie et en pratiquant un sport, explorent, apprennent… et grandissent ainsi, sont hyper-concentrés sur certaines tâches, apprécient de créer et de collaborer au quotidien.
Derrière cette tendance, le mobile transforme totalement depuis quelques années l’approche client et l’acte de vente. Les 18-24 ans sont encore plus marqués par cette lame de fond car ils passent 70% de leur temps en ligne sur un smartphone.
A l’horizon 2020, le mobile représentera pour Adidas jusqu’à 85% des connexions Internet sur ses espaces en ligne et jusqu’à 60% du revenu généré en ligne. Une massification implacable des usages mobiles est en route.
theo darius luca lecolley
Qu’est-ce que le commerce équitable ?
– Le commerce équitable est une forme de commerce qui a pour principe de rémunérer de façon juste les producteurs, mais qui fait également attention aux problèmes sociaux, environnementaux et éthiques. L’objectif est d’aider au développement des pays défavorisés en limitant les inégalités.
Historique :
– Depuis sa création dans les années 40, le commerce équitable a connu un développement exponentiel. Sa structuration progressive l’a aidé à se transformer peu à peu en un mouvement international. Aujourd’hui, le commerce équitable n’est plus cantonné, comme à ses origines, aux seules relations Nord-Sud, mais s’est élargi également aux échanges locaux. L’année 1964 marquera la première reconnaissance internationale de ce que l’on appellera le “commerce équitable”. Les années 80 marquent un tournant pour le commerce équitable. Le nombre d’associations Artisans du Monde triple en quelques années. A l’heure actuelle, la notoriété du commerce équitable ne cesse d’augmenter : en 2014, le chiffre d’affaires du commerce équitable a progressé de 16% pour atteindre 499 millions d’euros.
La charte
– La Charte Internationale de commerce équitable expose une vision différente : un monde où la justice, l’équité et le développement durable sont au cœur des structures commerciales, des modèles économiques et des pratiques, afin que chacun, par son travail, puisse conserver des moyens de subsistance décents et dignes et développer pleinement son potentiel. Plus de 250 organisations à travers le monde s’unissent pour lancer la Charte Internationale du Commerce Equitable qui établit les valeurs fondamentales du commerce équitable et définit une vision commune pour atteindre les Objectifs de Développement Durable (ODD).
Les principaux labels du commerce équitable
Les chiffres clés du commerce équitable
Dans le monde : Les ventes de produits issus du commerce équitable ont représenté 6 milliards d’euros en 2012, contre 1 milliard en 2003.
Plus de 2 millions de producteurs (10 millions de personnes avec leurs familles) ont bénéficié du commerce équitable, rassemblés au sein d’environ 1 400 organisations professionnelles dans 75 pays d’Afrique, d’Asie ou d’Amérique latine.
En France : Le marché pèse aujourd’hui près de 1 milliard d’euros, dont 275 millions pour les produits issus des filières françaises. Près de 400 entreprises (la plupart d’entre elles étant des PME) travaillent dans ce secteur qui emploie environ 10 000 personnes. La consommation des Français se développe : de 3,30 € par habitant et par an en 2006, le panier moyen est passé à 14,15 € en 2016.
Expérience d’un producteur
Notre exemple: L’histoire de Dalter est celle du parmesan râpé frais et d’un long processus d’innovation pour faire connaître dans le monde la tradition fromagère italienne.
DARIUS Théo / LECOLLEY Luca
L’écume des falaises est une société à responsabilité limitée créée en 2014 à Champeaux.
Suite à une demande grandissante des bières artisanales, ils ont du s’agrandir en s’installant près de la mer à Jullouville les Pins (50610) dans un ancien garage automobile, en avril 2016.
Le premier dirigeant fut Clément Bourgeais qui laissa l’entreprise en 2016 à sa sœur, Adèle Bourgeais et Martial Peck. Ils ont créée leur propre site officiel où l’on peut voir les différentes bières mais aussi les évènements à venir, et plein d’autres choses encore…
Son secteur d’activité est secondaire, cette entreprise fabrique des bières artisanales. C’est une micro-entreprise de deux personnes. Leur capital social s’élève à 2 300 €. C’est une société locale détenant seulement un local à Jullouville.
De chimiste en Belgique à brasseuse autodidacte en Normandie, voici l’histoire d’Adèle Bourgeais qui a tout lâché pour transformer le rêve de son père en réalité. Avec son associé, Martial, c’est une expérience humaine et gustative qu’ils proposent aux visiteurs de leur brasserie installée au cœur d’une station balnéaire bas-normande, à quelques dizaines de mètres de la plage.
« Pour l’instant, on ne sait pas de quoi l’avenir sera fait, on n’a pas réalisé d’études de marché, on n’a pas de plan de carrière, on s’adapte. On vise nos 400 hl par an, on se dit que dans 10 ans, on sera peut-être à 1 000 hl. Mais on n’a pas forcément envie de grossir beaucoup. Le truc avec la bière artisanale, c’est que jusqu’à 10 000 hl de production, on est considéré comme artisanal. En vérité, quand on en arrive là, c’est plus artisanal du tout. Parce que pour pouvoir produire 10 000 hl de bière, il faut forcément mettre en place des process industriels ! »
Une perspective qui ne les tente pas vraiment car ils préfèrent de loin la liberté à la croissance. Ils sont indépendants, n’ont pas d’investisseurs à qui rendre des comptes et sont prêts à s’adapter à toutes les situations qu’ils rencontreront à l’avenir. « On verra », résume Adèle…
Ce dont ils sont sûrs, c’est qu’ils veulent continuer à fabriquer de la bière artisanale au bord de la mer…
Lecolley Luca et Le Brun De Surville Arthur
