L’entreprise :
Le nom de l’entreprise est Apple. Apple Computer Inc. est créée en 1976 en Californie, à Cupertino par Steve Jobs alors âgé de 21 ans, Steve Wozniak âgé de 26 ans et Ron Wayne qui travaillent alors dans le garage de la famille Jobs. Cette équipe désire créer un ordinateur facile à utiliser.
Son développement et innovation :
Apple est une entreprise multinationale américaine qui conçoit et commercialise des produits électronique grand public (secteur secondaire), des ordinateurs personnels et des logiciels informatique.
Parmi les produits les plus connus :
- iTunes,
- la suite bureautique iWork
- la suite multimédia iLife
- des logiciels à destination des professionnels tels que Final cut Pro et Logic Pro.
En 2017, l’entreprise emploie 116 000 employés et exploite 499 Apple Store répartis dans 22 pays et une boutique en ligne où sont vendus les appareils et logiciels d’Apple mais aussi de tiers. Son bénéfice annuel pour l’année 2017 est de 45,2 milliards de dollars.
En 1977, ils sortent l’Apple II, le premier ordinateur personnel au monde, sorti en grande série.
C’est à ce moment qu’Apple crée son premier logo, inspiré de Newton sous un pommier, très vite remplacé par la fameuse pomme aux couleurs de l’arc-en-ciel.
L’entreprise se développe et c’est le 12 décembre 1980 qu’intervient l’entrée en bourse d’Apple, chaque action coûtant 22 $. Apple n’avait jusqu’alors donné d’actions ou de parts qu’à ses employés. Les 4,6 millions d’actions sont vendues en quelques minutes ! L’entrée en bourse, faisant augmenter le capital total d’Apple de 100 millions de dollars, transforme, du jour au lendemain, des douzaines d’employés d’Apple (la plupart âgés de moins de 30 ans) en millionnaires.
Apple sort alors l’Apple III, premier échec commercial de l’entreprise. Ce modèle est sans ventilateur, car selon Steve Jobs le bruit des ventilateurs fatigue le consommateur. C’est la raison de l’échec. Résultat, c’est une catastrophe, l’Apple III ne plait pas.
Trois ans plus tard, Steve Jobs embauche John Sculley qui dirigeait alors l’entreprise Pepsi-Cola et lui dit cette phrase connue « Vous comptez vendre de l’eau sucrée toute votre vie ou vous voulez changer le monde avec moi ? ». Cette même année Apple sort le Lisa, le premier ordinateur avec interface graphique et souris dont les brevets ont été achetés à Xerox.
Un nouveau projet est alors en cours chez Apple et, le 24 janvier 1984, le Macintosh débarque. Il possède les mêmes caractéristiques que le Lisa, mais connait un succès commercial sans égal. Il devient alors le principal produit de la firme avant de devenir une série entière qui existe encore de nos jours : les MAC.
Deux ans plus tard, suite à une forte baisse des ventes d’Apple, Sculley retire tout rôle opérationnel à Steve Jobs, provoquant le départ de ce dernier de la compagnie, peu après. L’économie d’Apple stagne.
Devant son échec à faire progresser Apple, Sculley quitte la compagnie en 1993. En 1997, Steve Jobs est rappelé et c’est une nouvelle naissance pour Apple. Sous l’impulsion de Jobs, de nouveaux produits, les iMac, font leur apparition, avec des designs nouveaux et colorés.
La société va alors remonter la pente plus haut que jamais en ciblant de nouveaux marchés et en diversifiant sa production avec des produits électroniques « grand public » comme l’iPod, l’iPhone, l’iPad et le lecteur multimédia iTunes.
En 2007, pour refléter cette diversification, Apple Computer Inc. devient tout simplement Apple Inc. Un nouveau logo fait son apparition.
Aujourd’hui les principaux concurrents d’Apple sont Samsung et Huawei
Succès de l’entreprise
Dominer un marché
-Il y a de cela quelques années déjà, Apple dominait le marché des lecteurs MP3 avec l’Ipod. Un marketing mettant l’accent sur le côté “cool” et la viralité d’un objet que l’on voit dans toutes les oreilles de ses voisins de métro a fait le reste. Grace à l’Ipod, Apple a pris un envol et des marque comme Samsung ne pouvait réaliser face à ce bijou technologique.
Aujourd’hui, c’est encore le cas avec deux autres produits clés : le smartphone cool et branché est un iPhone, et la montre connectée hype est une iWatch.
On soulignera également qu’Apple s’impose sur un marché en s’imposant d’abord dans le vocabulaire. Un propriétaire d’iPhone pourra vous demander si vous avez vu son « téléphone » mais plus probablement, il vous demandera si vous avez vu son « iPhone ». Il ne vous demandera jamais si vous avez vu son « smartphone ». Idem pour un détenteur de montre connectée qui possède une iWatch.
Profiter de l’effets « Halo »
La deuxième stratégie gagnante : profiter de l’effet de « halo » de ces produits phares pour vendre ses autres produits. On parle d’effet de “halo” lorsqu’un produit d’une entreprise bénéficie à un second. L’image “cool” et de “simplicité d’utilisation” de l’iPod puis de l’iPhone surtout a ainsi contaminé la gamme d’ordinateurs et autres produits d’Apple.
Et avec de bonnes campagnes de marketing en renfort, de plus en plus de consommateurs sont persuadés que les ordinateurs d’Apple sont, eux aussi, cools et faciles à utiliser.
L’iPhone a également profité de l’effet de halo de l’iPod. On peut même dire que c’est un iPod qui téléphone.
On notera que cet effet halo est possible car le produit phare (l’iPod d’abord, l’iPhone maintenant) est « très utile pour le consommateur » selon les termes de Warren Buffett et présente un design original, une facilité d’utilisation extraordinaire, etc. Autant de raisons qui explique que la firme a « une forte capacité à retenir ses clients », toujours selon le célèbre investisseur.
Sources:
Wikipédia
Café de la bourse
Lelievre Tom Moreau Alexis
Qu’est ce que le commerce équitable :
Le commerce équitable est un système d’échange dont l’objectif est de parvenir à une meilleure égalité dans le commerce conventionnel. Sa démarche consiste à utiliser le commerce comme un levier de développement et de réduction des inégalités, en veillant à la juste rétribution des producteurs. Josiah Warren est l’un des premiers utilisateurs de ce terme, voir le précurseur.
En 2009, les ventes de produits certifiés équitables étaient estimées à plus 3,4 milliards d’euros. On estime – ces chiffres ne sont pas vérifiés et sont pratiquement invérifiables – que près de 1,5 million de producteurs bénéficient directement du commerce équitable, ce qui reste relativement faible.
L’historique du commerce équitable :
La toute première forme de commerce équitable se développe aux États-Unis dans les années 40, lorsque des associations de citoyens commencent à faire du commerce avec des communautés pauvres des pays du Sud. Il se développera en Europe une dizaine d’années plus tard, sous l’impulsion d’organisations telles que OXFAM, ainsi que, petit à petit, dans plusieurs autres pays. Ce terme, utilisé dès 1827, a ensuite été utilisé à plusieurs reprises comme dans la communauté des Equitables Pionners de Rochedales en 1844.
Le commerce équitable prend véritablement forme dans les années 1960, avec l’essor des boutiques spécialisées dans la vente de productions artisanales et alimentaires. En France, le premier magasin Artisans du Monde naît en 1974 avec l’impulsion de l’Abbé Pierre. Le terme « commerce équitable » apparaît dans la sphère publique en 1989, lorsque les dirigeants de la coopérative Andines l’enregistrèrent comme marque auprès de l’institut national de la propreté industrielle (INPI), mais sans usage exclusif. Sous le nom de commerce alternatif ou solidaire, l’idée émerge après la Seconde Guerre Mondiale, par les initiatives d’organisations caritatives chrétiennes anglo-saxonnes important l’artisanat de pays pauvres.
La charte :
La Charte réaffirme les valeurs fondamentales qui unissent le large éventail d’organisations et de réseaux qui forment le mouvement mondial du commerce équitable. Elle définit une vision commune pour atteindre les Objectifs de Développement Durable (ODD).
Face aux défis à relever, aux inégalités croissantes, que ce soit dans la répartition de la valeur ou dans le poids du changement climatique, la Charte Internationale de commerce équitable expose une vision différente : un monde où la justice, l’équité et le développement durable sont au cœur des modèles économiques et des pratiques du commerce, afin que chacun puisse vivre dignement de son travail.
Les principaux labels du commerce équitable :
Certains s’appliquent uniquement aux produits dont les ingrédients sont issus des pays en voie de développement (les filières dites « Nord-Sud ») : c’est le cas du label Fairtrade/Max Havelaar et du label SPP- Symbole des producteurs paysans.
D’autres peuvent s’appliquer pour toutes sortes de produits quels que soit leur provenance géographique : WFTO, BioPartenaire, Fair for Life, ATES pour le tourisme.
Enfin un label qui n’a un champ d’application que sur la France : Agriéthique.
Chiffres clés du commerce équitable dans le monde :
En 2017 le commerce équitable a généré 1,04 milliards d’euros.
Dans le monde 1,6 million de producteurs et travailleurs.
Les pays les plus concernés par le commerce équitable en Amérique latines et au Caraïbes.
Les produits les plus concernés par le commerce équitable sont : Café, Thé, Jus d’orange, Chocolat, Fruits divers, Fleurs, Vêtements, Meubles, Objets de décoration, Produits de beauté, Bijoux.
Lelievre Tom & Moreau Alexis
Identification de l’entreprise :
Le Groupe LB est une entreprise de la Manche, basée à Granville. Adresse : 737, rue de la Parfonterie 50400 Granville.
Il est spécialisé dans le bâtiment, plusieurs entreprises ont rejoint ce groupe. D’abord Lepionnier en 2004, puis Tisin en 2008, Palazzini-Filippucci et Prevosto en 2011 et Foisnet en 2018.
Il a été créé en 2002 par Nicolas Le Bris actuel président.
Il intervient principalement en Normandie et en Bretagne, ainsi qu’en Île-de-France. Il a notamment construit le nouveau cinéma de Coutances, la Cité des sports et l’école de musique à Granville et le parc des expositions de Caen (Calvados).
C’est une société par actions simplifiée.
Activités de l’entreprise:
Son secteur d’activité est le secondaire. Elle construit des produits finis (logement, habitat, immeuble) et utilise des matières premières (matériaux).
Actuellement l’entreprise est de 240 salariés. C’est donc une PME ( petites et moyennes entreprises).
Son implantation:
Le groupe LB est une entreprise régionale implantée à Granville, il existe 6 agences.
Chiffres clés :
Son fonctionnement, ses caractéristiques, son organisation :
Leur but était de réunir plusieurs entreprises sous une seule entreprise Le Groupe LB.
Le groupe regroupe plusieurs métiers comme : gros œuvre, génie civil, bâtiments industrialisés, désamiantage, …
Tom Lelièvre, Alexis Moreau
Tout d’abord qu’est ce que le surendettement :
Le surendettement est une situation de détresse financière de particuliers pouvant recouper plusieurs définitions différentes.
En droit français, la situation de surendettement d’une personne physique « est caractérisée par l’impossibilité manifeste pour le débiteur de bonne foi de faire face à l’ensemble de ses dettes non professionnelles exigibles ou à échoir »
D’après la définition du Conseil d’Europe, le surendettement est la « situation où l’obligation débitrice d’une personne ou d’une famille excède manifestement et/ou sur une longue période ses capacités de remboursement ».
Les causes et raisons de surendettement :
Tout d’abord il y a deux types de surendettement :
– Le surendettement passif : les causes du surendettement passif sont dites objectives. Elles ne proviennent pas directement de la personne surendettée. Celle-ci est victime d’un fait extérieur et sont difficiles à résoudre.
Il peut s’agir:
- d’un changement général dans la situation actuelle comme une augmentation du coût de la vie, une crise économique soudaine et la baisse du pouvoir d’achat ;
- d’une maladie invalidante ;
- de la perte de l’emploi survenue suite à la faillite de l’entreprise avec un licenciement économique ;
- de problèmes familiaux comme des frais élevés de santé d’un proche, un prêt d’argent à un ami de confiance qui ne peut pourtant pas rembourser, un divorce, le décès du conjoint.
– Le surendettement actif : elles se distinguent du surendettement passif. Les causes du surendettement actif représentent :
- une mauvaise gestion du budget familial ;
- la contraction de nombreux crédits à consommation suite à des dépenses superflues, même lorsque le budget ne le permet pas ;
- une addiction aux jeux d’argent ;
- une dépendance à l’alcool ou à la drogue.
Le profil des personnes concernées et chiffres et données :
En 2016, 194 194 dossiers de surendettement ont été déposés (dont 174 894 déclarés recevables). Le nombre de dossiers déposés est en baisse de 10,6 % par rapport à 2015. Mais l’encours moyen des dettes s’établit à 42 334 €, un niveau plus élevé que celui de 2015 (41 254 €).
Diagramme des profils de personnes concernées :
En 2016, la tranche d’âge 45-54 ans demeure la plus représentée parmi les personnes surendettées, à 26,8 %. 26,1 % des surendettés sont dans celle des 35-44 ans. Il y a un vieillissement de la population des personnes surendettées et le nombre des plus de 55 ans passe à 24,8 % (contre 23,5% en 2015).
76,3 % des surendettés sont locataires (contre 78,6 % en 2011). La part des propriétaires accédants (8,3 %) est en progression (6,1 % en 2011) et la part des propriétaires reste stable (3,1 %).
28,7 % des surendettés sont au chômage en 2016, en hausse de 3,1 % par rapport à 2011 (25,6 %). 12,4 % des surendettés n’ont pas de profession (contre 11,7 % en 2011) et 10,1 % sont sans activité professionnelle (invalidité, congé maladie de longue durée ou congé parental notamment).
51,1 % de la population étudiée disposent de ressources inférieures ou égales au SMIC (contre 48,6 % en 2011) et 75,7 % ont des ressources inférieures ou égales à 2 000 euros (contre 78,5 % en 2011). Le niveau de ressources des personnes surendettées demeure faible, ce qui affecte les capacités de remboursement : plus d’un dossier sur 2 (52,1 %) demeure caractérisé par une absence de capacité de remboursement, à un niveau quasi stable par rapport à 2011 (52,5 %). 28,7 % des personnes surendettées ont une capacité de remboursement inférieure à 450 euros.
La nature du surendettement
En moyenne, les surendettés ont 8,8 dettes et un niveau moyen d’endettement de 42 334 € en 2016, en augmentation de près de 15 % par rapport à 2011. Si on exclut les dettes immobilières, le montant moyen baisse à 27 481 €, en diminution de 1 024 € depuis 2011.
L’endettement est toujours de nature mixte, composé de crédits à la consommation (présents dans 80,7 % des dossiers) et d’impayés de charges courantes (dans 82,1 % des dossiers).
Les dettes immobilières (crédits immobiliers, arriérés) représentent 35,3 % de l’endettement global. Elles sont présentes dans 13,8 % des dossiers, pour un montant moyen de 107 987 euros.
Les dettes à la consommation (crédit renouvelables, prêts personnels et crédits affectés / location avec option d’achat) représentent 39,3 % de l’endettement global. Elles sont présentes dans 80,7 % des dossiers, pour un montant moyen de 20 619 euros.
Les dettes de charges courantes (logement, dettes fiscales, énergie et communication…) représentent 11,9 % de la valeur des dettes, pour un montant moyen de 6 158 € en 2016 (en hausse de 1 712 € depuis 2011).
Enfin, les autres dettes (non précisées) représentent 11,7 % de l’ensemble, pour un montant moyen de 8 754 €, en hausse de 51 % par rapport à 2011.
Dès lors que vous avez déposé votre dossier à la commission de surendettement, la procédure est lancée.
Sachez que même avant la réponse de la recevabilité de votre dossier, cette procédure a des conséquences. Nous faisons le point.
La commission dispose alors d’un délai de 3 mois pour étudier votre situation personnelle et juger de sa recevabilité en tant que surendettement.
Pendant ce délai, vous devez vous contraindre à respecter certaines obligations :
- Payer vos dettes : le dépôt d’un dossier de surendettement ne vous exonère pas de vos engagements financiers. Il est recommandé de payer tout ce qui est possible de payer selon votre situation personnelle.
- Ne pas contracter de nouveaux emprunts.
- Conserver tous les courriers que vous recevez de la commission de surendettement pendant toute la procédure.
- Répondre aux convocations de la commissions de surendettement.
- Informer la commission de surendettement de tout changement de votre situation financière, quelle que soit la nature de ce changement (une amélioration de vos revenus fixes, l’obtention d’une prime particulière, la dégradation d’une dette, etc.).
Les conséquences du surendettement:
Suspension de la saisie immobilière
Dans le cas où la vente forcée d’un bien immobilier vous appartenant a été ordonnée, la commission peut saisir le juge de l’exécution chargé de la saisie, aux fins de remise de l’adjudication pour causes graves et justifiées.
Suspension des mesures d’expulsion
Si une procédure d’expulsion du logement est en cours, elle pourra également faire l’objet d’une suspension. Mais celle-ci n’est pas automatique. La commission doit alors saisir le juge du tribunal d’instance aux fins de suspension des mesures d’expulsion de votre logement.
Rétablissement de l’aide personnalisée au logement (APL)
Dans le cas où vous avez fait l’objet d’une suspension du versement de l’APL, la décision déclarant la recevabilité de la demande emporte rétablissement de vos droits au versement de l’aide. L’aide peut être versée directement au bailleur.
Lelièvre Tom, Moreau Alexis
- Les grands changements depuis 1970 : Cinquante ans d’évolution des conditions de vie des Français
L’augmentation de la surface habitable des logements :
- La surface par logements passe de 70 m² en 1970 à 91 m² en 2013.
- Le nombre d’occupants d’un logement passe de 3,1 en 1970 à 2,3 en 2013.
- La surface par personne passe de 23 m² en 1970 à 40 m² en 2013, en 43 ans ils ont gagné 17 m².
L’augmentation des propriétaires de logements:
- Aujourd’hui 58% des Français sont propriétaires de leur logements, contre moins de 42% il y a 50 ans.
- En 1970, 12.6% des Français étaient logés par des proches contre seulement 2.6% actuellement.
Disparition de l’inconfort des logements:
- En 1970, 9% des Français n’avaient pas l’eau courante, aujourd’hui tous les Français ont actuellement l’eau courante.
- Aujourd’hui seulement 1% des Français n’ont pas de WC contre 48% en 1970.
- Plus de la majorité des Français munis d’une salle de bain dispose d’une baignoire ou d’une douche contre 52% en 1970.
- Il y a 50 ans les trois quarts des Français ne possédaient pas le chauffage contre seulement 7% en 2013.
Frigo, télé, portable, l’ère de la consommation:
- En cinquante ans, la quasi-totalité des Français s’est dotée d’un réfrigérateur, d’un lave-linge ou d’une télévision. Et depuis les années 2000, de nouveaux équipements technologiques sont apparus et se sont généralisés : téléphone mobile, ordinateur au fur et à mesure du temps.
Le budget d’alimentation :
- Les dépenses du logement, de l’ eau et du gaz ont augmenté de 5.10% entre 1960 jusqu’à 2010.
- L’achat de produits alimentaires et boissons non alcoolisées a baissé de 8.06% de 1960 à 2010.
- En ce qui concerne les dépenses pour le tabac et l’alcool la baisse est de 6.24% entre 1960 et 2010.
- L’achat de vêtements et chaussures a baissé de 5.05% entre 1960 et 2010.
- Pour terminer, les dépenses pour la communication ont augmenté de 4.15% entre 1960 et 2010.
La démocratisation de l’éducation :
- En 1968, le baccalauréat était encore un diplôme rare et précieux : cette année-là, seuls 19 % des jeunes Français l’ont obtenu – et encore, ce chiffre est plus élevé que les années précédentes, car l’examen ne s’est déroulé qu’à l’oral, en raison des grèves et des « événements » du printemps.
- En 1969 apparaît le baccalauréat technologique, qui doit orienter vers les Instituts universitaires et technologiques ou les sections de techniciens supérieurs. Mais ce n’est qu’en 1985 qu’apparaissent les baccalauréats professionnels. Désormais, toutes filières confondues, près de 80 % d’étudiants décrochent le bac.
Post-Bac :
- Longtemps réservé à une élite, l’accès aux études supérieures s’est ouvert rapidement dans les années 1960 : le nombre d’étudiants passent de 227 000 en 1958 à 695 000 à la rentrée 1968, notamment à la faveur de la création des IUT, qui ont rassemblé 110 000 élèves dès leur première année, selon des données du ministère de l’éducation nationale. Depuis, le nombre d’étudiants n’a cessé d’augmenter en France. Ils étaient plus de 2,5 millions à la rentrée 2017-2018.
Lelievre Tom / Cantrelle Maxime
Bonjour, je me présente , je m’appelle Tom Lelièvre, j’ai actuellement 14 ans.
J habite à Beslon en Normandie et je suis lycéen au lycée Julliot de la Morandière à Granville . Dans la vie j’aime les jeux vidéos et la musique.
Plus tard je voudrais travailler dans le domaine de l’informatique dans le développement ou la programmation.