Sortie à Petit Saut

SORTIE AU BARRAGE DE PETIT SAUT

1. Voyage en bus

Le 6 octobre dernier, deux classes de la SEGPA, les UPE2A et notre classe (les UPE2A-NSA) sommes  allés visiter un barrage hydraulique, afin d’en comprendre son fonctionnement: Petit-Saut.

Nous avions rendez-vous à l’école à 6 heures 45, puis, nous sommes partis vers 7 heures 45. Durant le voyage, les garçons ont écouté de la musique avec leur portable, ils ont discuté entre eux et ont observé le paysage pendant que les filles, elles, somnolaient.
Lorsque nous sommes passés sur le pont du Larivot, nous avons aperçu la mangrove et au loin, des bateaux.
Puis, nous sommes passés devant l’église de Tonate qui est située au milieu de la rue qui mène à Saint-Laurent du Maroni.

Après quelques kilomètres, nous avons rencontré des troupeaux de vaches et de cabris à la savane de Matiti.

Ensuite, nous sommes arrivés au pont de Kourou, il y avait des ouvriers qui le réparaient. Au rond-point de Kourou, on a pu admirer la maquette de la fusée.

Nous avons pris la direction de Saint-Laurent du Maroni et après quelques kilomètres, enfin, une pancarte du barrage est apparue sur notre gauche. Après une trentaine de minutes environ, nous sommes arrivés sur le site.

2. Pause goûter et port du casque

Lorsque nous sommes arrivés au barrage de Petit-Saut, les hôtesses et la Directrice de la communication de l’EDF, nous ont

souhaité la bienvenue. Elles nous ont accompagnés et remis nos casques de protection obligatoires pour accéder à l’intérieur des galeries.

Mais, avant de commencer la visite, nous avons pris nos goûters et avons été scindés en deux groupes pour la visite.

3. Visite de la galerie

Avant de pénétrer dans la galerie, l’animatrice a fait une petite expérience très convaincante avec nous :

Cette expérience visait à nous montrer la force de l’eau. En effet, la pression de celle-ci est plus forte lorsqu’elle provient du bas de la bouteille. C’est donc la même chose qui se produit au niveau du barrage. 

A l’intérieur de la galerie, qui se situe sous l’eau du fleuve « le Sinnamary », nous

avons pu comprendre que les agents de l’EDF ont des outils qui leur permettent de savoir si le barrage est en « bonne santé ».

4. Visite de la turbine

Nous avons fait la seconde partie de la visite avec l’autre animateur. Nous sommes rentrés voir la turbine par groupes de 5. Une chaleur insoutenable se dégageait de cet espace. Nous avons été tous impressionnés par cet engin qui tourne sans cesse. On ne pouvait rester plus de cinq minutes à côté d’elle à cause de la chaleur qu’elle dégage.

5. Visite en bus

Toutes les classes se sont regroupées dans le bus pour terminer la visite guidée. Les deux animateurs nous ont apporté des explications sur la faune ainsi que sur les arbres morts qui se trouvaient dans le fleuve. Ils nous ont aussi montré les laboratoires d’hydrobiologie et d’hydrochimie qui veillent au respect de l’environnement (la qualité de l’eau) sur le site. Nous avons pu également observer les pylônes par lesquels l’électricité accède aux différents foyers du littoral.

6. Au carbet

L’EDF nous a offert un pique-nique et différents jus locaux. C’était délicieux, nous nous sommes régalés.

Martine et Ruud-Jensen ont discuté avec les élèves des autres classes. Puis, nous sommes repartis.

7. Retour

Sur le chemin du retour, nous nous sommes arrêtés pour remercier et saluer l’équipe et une surprise nous attendait.
L’EDF nous a tous remis un sac contenant un bloc note, un stylo, une clé USB,
une mini lampe de poche et un livret d’information sur les 20 ans de Petit Saut.
Nous étions enchantés. Actuellement, nous utilisons nos sacs pour le sport.

8. Appréciations

« Nous avons apprécié notre sortie parce que nous avons appris beaucoup de choses… » 
a dit Huberson.
– Martine a renchéri en disant :
Surtout le passage auprès de la turbine. »
Djimy a été impressionné par la vitesse de rotation de la machine.

Les élèves d’UPE2A-NSA du collège A. DÉDÉ

… les élèves d’UPE2A-NSA & M. Scholastique

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LES CHIENS

     Les chiens sont considérés comme étant les meilleurs amis de l’homme, parce qu’ils sont fidèles, agréables et parce qu’ils aiment beaucoup jouer, pour certains d’entre eux.

Parmi mes chiens préférés il y’a :

Les chiens de garde

Cane Corso
Cane Corso

Ce chien est un Cane Corso. Il y’en a pas beaucoup en Guyane, j’en avais un. Le mien jouait au foot ! Ils sont très fidèles par contre, ils aboient fort.

Dogue Argentin
Dogue Argentin

Celui-ci est un Dogue Argentin, il est très fidèle envers son maître et très protecteur. Il peut être utilisé comme chien de garde. Attention ! Il faut un permis pour avoir ce chien. Sur la photo, le chien a les oreilles coupées, mais il est interdit dans certains pays, comme la Guyane, de faire ça.

Les chiens impressionnants

Massif du Tibet
Massif du Tibet

Ce chien est un Massif du Tibet, surnommé chien lion : c’est un chien utilisé par les bergers de l’Himalaya. Il est très grand, très poilu et il peut peser jusqu’à 80 kilos. Pour moi, il est massif ! Il a un beau pelage, et une belle crinière, « le roi de la savane n’a qu’à se rhabiller, parce que j’ai la plus belle crinière ! « 

Shar-pei
Shar-pei

Celui-ci est un Shar-pei : il est d’origine chinoise, il mesure de 44 à 51cm pour un poids de 20 à 25 kg. Shar-pei en chinois veut dire « peau de sable », parce que ce chien a un pelage sec et dur et presque urticant. Pour moi personnellement, je le trouve beau mais sans plus ! Je trouve qu’il a beaucoup trop de plis.

 VICKASH & SAULO

N’OUBLIEZ PAS DE LAISSER VOS COMMENTAIRES. À BIENTÔT !

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Brève introduction à la faune guyanaise

LA MATOUTOU

La matoutou, nom scientifique Avicularia metallica fait de 6 à 7 cm, cet animal n’est pas un insecte, il s’agit en réalité d’un invertébré. Elle se repère grâce à l’extrémité de ses pattes qui sont orange et fait partie de la famille «Theraphosidae».

Dans la langue Kalina, «matoutou» veut dire «petite table basse».

Malgré ses huit yeux, la matoutou n’a pas une très bonne vue.

Elle vit dans la forêt et se nourrit de grillons, de blattes et parfois de souriceaux.

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LE BOA EMERAUDE ou BOA CANIN

Le boa canin, nom scientifique Corallus caninus peut mesurer jusqu’à 1,5 mètre, ce serpent est arboricole et nocturne, sa coloration verte émeraude lui permet de se camouflé et il est très difficile de le repérer. Il vit dans la forêt et a une queue préhensile qui le fait se lever de manière assez particulière autour des branches des arbres. C’est une espèce protégé, il est interdit de le vendre et de le chasser. Il peut rester des semaines et des semaines au même endroit et se nourrit principalement de petits mammifères, de batraciens et d’oiseaux. Il tient son nom «boa canin» de par la forme de sa tête qui peut rappeler celle d’un chien.

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L’ANOLIS

L’Anolis, nom scientifique Anolis Nitens, vit dans la forêt même si on peut des fois en apercevoir dans les maisons. Il est chassable mais non commercialisable, il ne peut être capturé afin d’en faire un objet de souvenir. Il fait de 6 à 7 cm et les individus peuvent être de différentes couleurs: marron, gris…

Pour les différencier des autres espèces, l’anolis chrysolépide a une langue orange.

L’Anolis se nourrit de petits insectes, d’araignées ou de larves. L’Anolis chrysolépide est la seule espèce de la famille des Pilychrotidés à vivre sur le sol car les autres sont arboricoles.

… Loïal

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