Retour sur la journée du 13/09

Ils s’appellent Benjamin, Camille, Candida, Daniel, Guillaume, Juliette, Laury, Luisa, Romane, Rosemarie, Vincent, Yvanna, et ont rejoint le séminaire.

 

Au cours de la matinée, sont abordés les thèmes du retournement, de la transversalité, de l’articulation aux pratiques hybrides, ou encore la question de l’héritage. Nous commençons tranquillement, sans saturer de lectures ou d’auteurs, laissons venir…

 

Chacun des étudiants est animé par une sensibilité, un attrait, une idée qui reste encore assez vague. Par trio, ils ont commencé à discuter de leur perception des limites, des marges et des frontières et commencent à entrevoir des sujets possibles.

 

Parmi les nombreux questionnements, nous retrouvons celui du rapport entre riches et pauvres au Brésil, ou bien celui de la zone et de la perception (perçu/vécu), celui des seuils entre privé et public, un autre sur « l’entrée de ville », ou encore celui sur la ségrégation dans les mobilités et les déplacements et jusqu’à « l’entre-ville ». Ces questionnements doivent être enrichis, développés, discutés, pour être adaptés à la faisabilité d’un mémoire de Master 1. Il y a du bon là-dedans.

La zone à la porte Clignancourt, Agence Meurisse, 1928

Je donne à lire deux textes : Un article de Daniel Terrolle, intitulé « Zones d’ombres et de lumières : de la transmutation du déchet au recyclage social », paru dans la revue Les Carnet du Paysage, n°29, Actes Sud, 2016, pp. 64-81, ainsi qu’un entretien inédit d’un chiffonnier né en 1923 et ayant vécu dans la zone parisienne.

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