L’essai est très intéressant par bien des aspects. Le sujet y est traité avec sérieux, les idées de l’auteur sont intéressantes. Argumenté, documenté, le texte est annoté à de nombreuses reprises, parfois pour citer la source mais le plus souvent, pour compléter l’information qu’il donne.

Avec une écriture simple, Ronald Wright ne fait pas de l’écologie de comptoir en prédisant la fin du monde si on ne ferme pas l’eau en se brossant les dents, mais apporte une réflexion profonde sur cet avenir que l’on peut encore changer.

Le plus important pour moi, c’est qu’il n’a pas ce discours culpabilisant que j’ai à de maintes reprises entendu et qui veut que notre lave-linge pille la nature et qu’on est des salauds quand on ne débranche pas la télé avant d’aller se coucher.

Je vous conseille vivement la lecture de ce texte qui a le mérite d’aborder le problème écologique en se basant sur des faits incontestables, accompagnés par une réflexion et des idées terriblement justes. A lire !

La fin du progrès, de Ronald Wright, éditions Naïve, 178 pages

This entry was posted in Non classé. Bookmark the permalink.

Leave a Reply

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

You may use these HTML tags and attributes:

<a href="" title=""> <abbr title=""> <acronym title=""> <b> <blockquote cite=""> <cite> <code> <del datetime=""> <em> <i> <q cite=""> <s> <strike> <strong>