LE PORTRAIT CHINOIS

En passant

si j’étais un animal, je serais un lapin parce qu’ il aime trop la carotte.

si j’étais un objet, je serais une voiture parce que je sais conduire.

si j’étais un fruit, je serais une pomme parce que c’est mon fruit préféré.

si j’étais une saison, je serais le passé parce que je veux connaître le passé.

si j’étais une couleur, je serais le rose parce que j’aime les fleurs roses.

si j’étais une chanson :je serais une star parce que je veux être célèbre

si j’étais un sentiment,  je serais  l’amour parce que je suis tombée amoureuse.

si j’étais un métier, je serais infirmière parce que j’ aime sauver la vie des gens.

si j’étais un temps de conjugaison, je serais le futur parce que je veux savoir l’avenir.

si j’étais un pays, je serais le Portugal parce que c’est le pays où je suis née.

 

je suis une fille et je m’appelle Monica.

« Jusqu’où tu es chez toi ? »

Dans le cadre du festival les « détours de Babel« ,  un étrange attelage est venu au collège.

L'étrange attelage

L’étrange attelage

la cuve
On a vu deux chevaux. On a vu une cuve à mazout.

L'antre du monstre

L’antre du monstre

Trois petites marches pour rentrer et dedans il y avait un épiscope (comme un périscope), un matelas, et on entendait des gens qui parlaient et des bruits bizarres.

 On a regardé avec l’épiscope, on a vu le collège, les autres élèves, le quartier Mistral.

Dans la cuve

Dans la cuve

On a écouté une dame qui parlait. On entendait le bruit de la mer, des bruits qui font peur. Dehors il faisait froid, mais dans la cuve il faisait chaud.

Dans la cuve 2

Dans la cuve 2

Les chevaux ont mangé. Ils étaient costauds et mignons. On les a caressés, ils étaient chauds et doux. Ervin a voulu leur donner à manger de l’herbe, mais il avait peur, donc c’est Valéria qui leur a donné. Monica aussi a parlé avec eux pour qu’ils dorment. Il y avait une femelle âgée de 4 ans, et un mâle.

Un cheval de trait
Un cheval de trait

On était très contents et on a rigolé. C’était très chouette car c’était la première fois qu’on voyait ça. Ervin était heureux parce que quand il était dans son pays, en Albanie, il montait toujours sur les chevaux.