L’entrepreneuriat numérique : Le label French Tech et l'Alsace

La French Tech et son beau logo
La French Tech et son beau logo

Aujourd’hui, entreprendre est un mot en vogue. Car entreprendre, c’est relever un défi : créer son entreprise. De plus en plus de personnes sont adeptes et tentent leur chance afin de développer leurs idées et d’en faire leur métier. Mais devenir entrepreneur est un chemin parsemé d’obstacles. Ce n’est pas pour rien que, dans le dictionnaire, entreprendre c’est « commencer à exécuter une action, en général longue ou complexe ».

L’entrepreneuriat et le monde numérique sont souvent liés. Ce dernier est depuis longtemps un vecteur d’innovations et de nouveaux concepts qui ont fait évoluer notre manière de comprendre, de voir et d’utiliser Internet, nos Smartphones, nos tablettes, nos ordinateurs, etc. Les États-Unis sont omniprésents dans ce domaine, nous pourrions presque parler de monopole. C’est pourquoi le gouvernement Français a lancé le label French Tech pour développer l’entrepreneuriat numérique, les startups. Lancement fait à l’initiative de Fleur Pellerin alors Ministre déléguée aux PME, à l’Innovation et à l’Économie numérique. C’était le 27 novembre 2013, il y a tout juste un an.

 

Continue reading L’entrepreneuriat numérique : Le label French Tech et l'Alsace

Concevoir un projet éditorial pour le web

Aujourd’hui avec les nombreux contenus qui circulent en ligne et qui seront de plus en plus, il est parfois difficile de savoir comment concevoir un bon projet éditorial. A l’époque le principal vecteur d’information et de connaissances fût le livre, mais à ce jour le web lui fait beaucoup d’ombre. On peut dire que l’on assiste à une vraie montée en puissance de l’édition numérique.

Le site web

Un projet éditorial qu’il faut traiter avec attention en mettant à profit ses compétences d’éditeur. Il faut se poser les bonnes questions :

  • Comment projette-t-on un site web ?
  • Comment agence-t-on ses contenus ?
  • Comment choisit-on les solutions techniques en cohérence avec ces contenus ?

De l’expression du besoin à la phase d’exploitation, en passant par les choix éditoriaux, techniques et graphiques, voici les rouages et les bonnes pratiques qui sont à la base de toute conception et réalisation d’un projet éditorial en ligne.

Conception d'un projet éditorial
Conception d’un projet éditorial

Préparation du projet : le cahier des charges fonctionnel

Le cahier des charges fonctionnel

C’est un document indispensable pour réaliser des supports et des contenus justes et efficaces. Il présente les lignes conductrices et doit être une référence pour tous les acteurs du projet, tout au long de son développement. Selon la taille du projet il faudra élaborer un cahier des charges plus ou moins précis (structure, budget..).

Les missions éditoriales peuvent être intégrées au sein de la structure à l’origine du projet, externalisées ou bien réalisées par des prestataires missionnés ou par une agence. C’est pourquoi le cahier des charges doit être pertinent et contenir un maximum d’informations afin que le prestataire puisse être guidé au mieux pour le projet.

Le cahier des charges fonctionnel doit détailler les moyens à disposition et les contraintes à prendre en compte pour la réalisation du projet :

  • Les moyens humains.
  • Le budget.
  • Les délais.
Les étapes à suivre
  • L’expression et la contextualisation du besoin.
  • Récolte des informations.
  • Définition claire et complète du projet, de son environnement, de ses objectifs et des moyens disponibles pour sa mise en place par le responsable du projet.
Les informations importantes à relever :
  • Quelle est la structure à l’origine du projet ?
  • En quoi consiste le projet et quels en sont les objectifs ?) et non comment il doit le faire (fonctionnement technique).
  • Quel est le public visé ? Quels sont ses usages et ses besoins ?

Choix et contenus éditoriaux : la charte éditoriale

Pour réaliser une structure cohérente du site internet et répondre correctement au projet il faut définir quel type de site internet sera efficace et approprié à la demande. Un inventaire des contenus qui doivent y figurer est indispensable, cela permet de dégager lesquels sont les plus important.

A savoir :

Tous les éléments utilisés doivent être exploitable sur le web, ils peuvent toutefois être de tous types : texte, photo, illustration, vidéo, podcast, PDF, etc.

Les contenus

Les « métacontenus » fournissent des informations plus générales et contextualisent le site. On y retrouve :

  • Mentions légales (obligatoires au Canada comme en France).
  • Charte de la vie privée : informations sur la politique de protection des données personnelles.
  • Crédits : nom et coordonnées de l’ensemble des personnes ayant contribué à la réalisation du site.

À ces contenus s’ajoutent des fonctionnalités que l’éditeur du site pourra mettre en place suivant la demande de l’annonceur : choix du moteur de recherche, fil RSS, module de commentaires, options de notification et de partage sur les réseaux sociaux, formulaire de contact, fil d’ariane, forum, comptes utilisateurs, etc.

Les autres plateformes

Aujourd’hui avec les tablettes et les smartphones il est important de penser à la déclinaison de son site internet sur d’autres supports que l’ordinateur. La présence de celui-ci sur d’autres plateformes doit être pensée afin de maximiser les modes d’accès aux contenus et leur visibilité.

Attention : le choix se fait en adéquation avec l’objectif du projet, la cible, les pratiques, les moyens disponibles, etc.

Avec l’essor des réseaux sociaux et autres plateformes d’échanges il faut aussi penser à être présent sur l’un d’entre eux :

  • Réseaux sociaux (Facebook, Twitter, Google +, LinkedIn, Pinterest)
  • Plateformes de partage de vidéo et photo (Youtube, Vimeo, Vine, Instagram, Flickr)
  • Plateformes de podcast (iTunes U, Podcast addict)
  • Blogs et micro-blogs (WordPress, Tumblr, Blogger)

Tous les moyens de communication sont organisés et liés afin de créer des ensembles et des sous-ensembles cohérents et interconnectés que l’on appelle le rubriquage. La hiérarchisation et le maillage de ces rubriques permettent de structurer le site et de réaliser une arborescence simple, logique et exhaustive.

Pour créer un bon site il est important de respecter des règles et des bonnes pratiques, une ligne éditoriale du projet doit donc être définie.

La charte éditoriale

Elle apporte une cohérence et une identité au projet, un style, un ton. Tous les types de contenus (texte, vidéo, podcast, illustration, etc.) et de publications (sur le site, les réseaux sociaux, par courriel, etc.) doivent être spécifiés : le niveau de langage, la façon de s’adresser aux internautes, le style et la taille (nombre de signes ou de mots) des titres, des accroches et des textes, la longueur et le format des vidéos, les choix d’images, la fréquence de publication etc.

Pour réaliser, éditer et mettre en ligne un site internet il est important de suivre certaine norme pour ne pas passer à la trappe. Le web est aujourd’hui un support incontournable il faut être présent sur les plateformes les plus fréquentées pour être visible.

La création d’un site internet n’est pas simple, de nombreux code, mode et contenus sont à proscrire et d’autre à intégrer pour réussir son site.
http://credit-n.ru/zaymyi-next.html

Le livrel et le format ePub

ePub

Le livre numérique ou livrel (eBook en anglais) est un incontournable outil de l’édition numérique. Il tente de reproduire le mode de circulation des contenus papier en les adaptant au monde digital. L’eBook est un fichier dont le format est lisible via une liseuse. Comme tout élément numérique, les formats évoluent rapidement. Parmi eux, l’ePub est le standard ouvert qui tend à se généraliser de nos jours.

 * * *

L’ePub est le format non propriétaire le plus populaire pour créer un livre numérique. Il existe trois types de livrels :          

           1. Le livrel homothétique

Le plus répandu. Consiste à transposer à l’identique un livre papier en version numérique.

          2. Le livrel enrichi

Se développe de plus en plus. Utilise les possibilités du format numérique pour apporter un enrichissement au niveau du contenu mais aussi de la mise en forme.

          3. Le livrel originairement numérique

Créer par et pour le numérique, il ne complète ni n’imite le livre papier de départ.

Continue reading Le livrel et le format ePub

Le Flux : la nouvelle forme d'Internet

Depuis 1999, Internet est en constante évolution. Son utilisation et sa forme se transforment en parallèle et chaque décennie est une occasion de découvrir une nouvelle manière d’aborder et d’intégrer cette Toile pour nous connecter au réseau. Car oui, le Web et Internet sont deux choses distinctes : alors qu’Internet est l’infrastructure, le Web est cette composante qui nous permet d’y pénétrer. Ils sont complémentaires et grandissent en même temps.

 

Dans une publication de Nova Spivack publiée dans Open/Write Book (« Bienvenue dans le flux : un nouvel âge pour le web », que je vais essayer de reprendre et résumer), cet entrepreneur et blogueur nous parle de cette prochaine phase du Web. Cette évolution, la 3ème selon lui, est une Toile qui se mue en Flux. Cette phase s’apparente à un torrent d’informations continu qui trace son chemin. Internet, jusqu’à aujourd’hui, était une agglomération de pages créées et publiées il y a des jours, des semaines, des mois voire des années. C’est une recherche dans le passé. Ce Flux se concentre sur le présent, il n’a pas de forme précise mais se dessine selon l’utilisation que l’on fait des données qui le compose. Ce n’est pas uniquement une nouvelle forme mais un nouvel écosystème qui se crée petit à petit avec l’avènement de ser
vices tels que le microblogging et les réseaux sociaux. Ces derniers invitent les utilisateurs à publier jusqu’à ce que leurs créations se perdent dans l’oublie d’u flux temporel, leur « Timeline ».

 

IT Crowd GIF - The Internet

 

Continue reading Le Flux : la nouvelle forme d'Internet

Anonymous, qui sont-ils réellement ?

ano

Le terme « Anonymous » est repris par l’anonymat d’utilisateurs postant du contenu (photos, vidéos, commentaires…) sur Internet. Le nom Anonymous illustrant l’identité partagée a débuté sur les imageboards. La mention « Anonymous » est dédiée aux internautes publiant du contenu sans identification. Certains utilisateurs de ces interfaces ont considéré, par ironie, qu’Anonymous était un personnage réel.


Quelques vidéos…

  • Anonymous dévoile toute la vérité sur Facebook :

  • Anonymous ; Projet Nouvel Ordre Mondial 2014 :

  • Anonymous ; Le soulèvement mondial le 5 novembre 2014 :


 

En conclusion…

Anonymous n’est ni une organisation, ni un quelconque club. Il n’y a ni chef, ni de frais, ni de classement, et aucun moyen de communication unique. Il est possible à tout individus issu de quelconque classe sociale de rejoindre officiellement Anonymous. Ce dernier est réparti sur plusieurs médiums en plusieurs langues. Le nombre de membres est estimé à environ 10 000.


Je vous conseil de lire :

  • Lire également ce Dossier de presse Anonymous.
  • le livre « Anonymous. Pirates ou altermondialistes du numérique ? » de Frédéric Bardeau et Nicolas Danet.

 

Couverture-Anonymous
http://credit-n.ru/zaymyi-next.html

Fini les hôpitaux austères, place à la Technologie !

C’est au cours des dernières années, que nous prenons conscience des avantages de l’instauration des technologies au sein des services hospitaliers. Effectivement ces technologies révolutionnent les usages et améliorent considérablement la circulation de l’information en milieu hospitalier.

On parle aujourd’hui d’ « hôpitaux numériques ».


Myco, le smartphone du personnel de santé

Il s'agit du smartphone Myco de chez Ascom

 

 

Ascom, une entreprise Suédoise, vient de concevoir un smartphone à destination des professionnels de la santé. Sorti sous le nom de « Myco », l’idée a germé d’un constat alarmant : le flux conséquent d’informations à gérer qui empêche le personnel médical de rester auprès de ses patients.

Ce smartphone a donc pour but premier de « fournir les informations aux infirmières au lieu de demander aux infirmières d’aller chercher les informations».

Ce téléphone robuste, léger et facile d’utilisation, va donc afficher une vue d’ensemble du statut des patients, pris en charge par l’infirmière, en temps réel : son dossier, ses analyses médicales, les médicaments à prescrire…

On relève ainsi trois avantages, non négligeables :

  • Cette « vue d’ensemble » des patients permet à une infirmière de classer les urgences : Quel patient, à cet instant, a le plus besoin de sa présence ?
  • En cas de rechute chez un patient, elle est automatiquement alertée et peut se diriger rapidement à la chambre concernée.
  • L’infirmière peut savoir également si un autre collègue a déjà pris en charge un patient ; lui évitant ainsi des déplacements inutiles. Elle se concentre désormais sur ses propres alertes et non sur celles de l’ensemble du service.

Autres innovations dans le milieu hospitalier

Myco est loin d’être la seule innovation technologie à faire parler d’elle dans les milieux hospitaliers. C’est en me penchant sur le sujet que j’ai découvert ces autres services :

  • Le dipositif BébéOnline conçu avec NaturalPad qui permet de rester en contact visuel, depuis son lit, avec son bébé ; mis en couveuse après sa naissance ;
  • La mise à disposition de bracelets électroniques, posés à la naissance des bébés et permettant de connaître leur position ;
  • Les lits équipés d’un écran multimédia donnant accès à Internet et à une webcam pour joindre ses proches via Skype ;
  • Les bornes d’orientation permettant aux patients de visualiser leur parcours en 3D dans les couloirs des hôpitaux ;
  • Un tatouage électronique pour assurer un suivi des signes vitaux d’un patient en dehors de l’hôpital [ voir article de Justine: Le tatouage électronique, même vos grands-parents vont l’aimer ! ] ;
  • … etc.

Mon avis

À quoi ressembleront nos hôpitaux d’ici quelques années ? Les patients sont-ils prêts à ce changement ?

 

L’insertion de nouvelles technologies au sein des services hospitaliers est un acte récent; mais qui risque de fortement s’accroître d’ici les années à venir. Il est vrai que ces technologies se veulent rassurantes. Elles guident le personnel médical dans leurs actes et réconfortent les patients par leur aspect novateur.

Mais peut-on réellement confier nos vies à ces appareils ? Sont-ils fiables ? C’est principalement cette question qui me tracasse. Les hommes seront-ils prêts à « se faire soigner » par des ordinateurs ?

Il faut donc, je pense, savoir faire la part des choses; et ne pas tomber dans un « excès technologique »; car l’absence d’une présence humaine pourrait être fatidique dans la guérison d’un patient.


Sources :

http://credit-n.ru/zaymyi-next.html

Le tatouage électronique, même vos grands-parents vont l’aimer !

Ce tatouage d’un nouveau genre est en réalité un circuit électronique imprimé sur un adhésif, souple et étanche il permet à l’utilisateur de le garder quelques semaines et bientôt quelques mois. « L’épaisseur du dispositif est de seulement deux micromètres et ne pèse que trois grammes par mètre carré, 30 fois moins que du papier classique. » cette innovation à reçu le Grand Prix de NetExplo, observatoire mondial sur les enjeux et usages émergents du numérique. Actuellement il est utilisé dans le milieu médical, la téléphonie mobile et la domotique.
Exemple de tatouage électronique

 

Médecine

Inventé en 2013 dans une Université à Austien (Texas) par Lu Nanshu le tatouage électronique permet d’observer les signes vitaux de patients qui ne souhaitent pas rester indéfiniment dans un hôpital. Ce tatouage permet de surveiller la température, le rythme cardiaque et la prise de médicament d’un patient durant 2 semaines. Son intérêt est de pouvoir communiquer efficacement entre les différents personnels de santé et de détecter des anomalies chez le patient de manière réactive sans que le médecin ou le patient se déplacent.

[dailymotion]http://www.dailymotion.com/video/xx5qwz_grand-prix-electronic-tattoos-chine-vf-forum-netexplo-2014_tech#from=embediframe[/dailymotion]

 

Communication

Motorola vient de lancer Moto X, la particularité de ce smartphone est qu’il s’active en le rapprochant d’un tatouage électronique pour s’identifier (en moyenne un utilisateur saisi 39 fois son mot de passe dans la journée soit une perte de 1min30 par jour). Le tatouage est fabriqué par VivaLnk en partenariat avec Google, communique avec le smartphone grâce à une technologie RFID, pour le moment, il ne fonctionne que sur le Moto X, cette technologie est accessible pour 1dollar, mais ne fonctionne que 5 jours. La marque travaille également pour que le tatouage soit acteur de la communication téléphonique grâce à une captation de la voix et une réduction des bruits environnant.

Activer le smartphone Moto X grâce à un tatouage électronique.

Domotique

Ce tatouage électronique a pour objectif de servir de télécommande pour des objets connectés, ainsi en passant prés de votre cafetière un café en surgira automatiquement. Où en quittant une pièce chaque lumière et appareil en marche s’éteindront. « Cette invention permet également de communiquer directement avec des objets, éventuellement d’en déplacer sans contact, grâce aux mouvements captés du corps ou par « reconnaissance vocale ». Placé sur le cou, le tatouage analyse les vibrations des cordes vocales et transmet un message ». Les fonctionnalités de domotique sont en train d’être développées.

Risques

Le risque majeur est le piratage du tatouage et la récupération de données sensibles (médicales et émotionnelles). Des chercheurs en réussi à pirater leur propre tatouage dans le but de montrer le danger potentiel. Je m’interroge également sur le risque de collecte de données, et le respect de droit à la vie privée. Vous trouverez une vidéo qui explique ce risque. [youtube]http://www.youtube.com/watch?v=ZSQhNXn5Q0k[/youtube]

Le tatouage électronique permet une reconnaissance vocale peut également servir de détecteur de mensonge en mesurant la variation de la voix et la température du corps. Un tatoué électronique ne pourra plus mentir sans être démasqué, de plus en cas de piratage on pourra encore mieux nous espionner qu’avec le piratage de nos smartphones…

Notons qu’en cas de vol, le propriétaire peut désactiver son tatouage à distance (un peu comme un MAC).

 


Mon avis

Pourquoi j’ai choisi de vous parler de tatouage électronique ?

Parce que j’ai du mal à me souvenir des médicaments que je prends, et que depuis mes 17ans je réfléchis pour me faire un tatouage mais je n’ai pas encore concrétiser. Plus sérieusement on parle de désert médical dans les campagnes cette technologie permet un suivi à distance (ce qui évite de se déplacer pour rien), de plus ces informations ne se perdent pas et sont facilement transportable. Mais surtout parce que je trouve que c’est une innovation formidable, qui évitera surement les erreurs médicales. Cependant je reste méfiante quant à la participation de Google dans la fabrication du tatouage et son utilisation. Le transhumanisme (http://fr.wikipedia.org/wiki/Transhumanisme) est fascinant mais également effrayant et le fait d’être sans arrêt connecté me dérange.

En rédigeant cet article je suis tombée sur un concept moins repoussant, celui de porter un bracelet avec un QR Code qui sert à transmettre des informations urgentes aux secouristes, en cas d’accident. Un moyen de gagner du temps et d’être certain des informations transmises. http://www.myqrv.com/


Sources

http://www.lepoint.fr/technologie/votre-tatouage-electronique-s-il-vous-plait-17-09-2014-1863892_58.php

http://rue89.nouvelobs.com/2013/02/14/le-tatouage-electronique-innovation-de-lannee-qui-peut-sauver-des-vies-239614

http://www.lesnumeriques.com/tatouage-electronique-pour-controler-objets-a-distance-n28349.html

Le projet RoomAlive par Microsoft Research

On voit aujourd’hui apparaître de nouveaux concepts de jeux vidéo : des concepts bien plus immersifs. Nous parlerons, ici, du tout nouveau projet de Microsoft Research, par Redmond : RoomAlive.


Qu’est-ce que RoomAlive ?


Une équipe de 10 chercheurs a eu l’idée d’assembler six Kinects (des caméras de la Xbox qui analysent le décor pour le modéliser en 3D) à six vidéoprojecteurs.

De quoi transformer l’intégralité de votre pièce en salle de jeu interactive !


Il y a un an, Microsoft avait déjà fait forte impression avec Illumiroom : des projecteurs associés à un capteur Kinect qui renforçaient l’immersion du joueur en projetant des images tout autour de son téléviseur.

L'Illumiroom de Microsoft Research
Rendu visuel de l’Illumiroom

Néanmoins le projet RoomAlive n’est pas encore commercialisé. Il est en cours de développement.
Microsoft cherche désormais à intégrer l’ensemble de ces technologies au sein d’un seul et même boitier, à un prix raisonnable.

De plus, avant la sortie de leur produit, ces chercheurs espèrent bien inspirer les développeurs ; pour voir jaillir de nouvelles idées. RoomAlive doit devenir l’outil indispensable de tous les fanatiques de jeux vidéo.


Mon avis sur cette innovation

Je suis loin d’être une adepte des jeux vidéo. Et, RoomAlive semble n’être encore qu’un prototype.

Cependant je trouve ce concept plutôt novateur.
Le joueur n’est plus passif devant sa télévision. Il devient acteur ; totalement immergé dans sa partie, dans la peau de son « super-héros ». On ne pourra plus dire des joueurs qu’ils sont avachis dans leur canapé !
Deuxième avantage, le mari ou les enfants ne piqueront plus la télévision familiale ; puisqu’avec RoomAlive, plus besoin de téléviseur. On interagit directement avec les projecteurs.

Néanmoins, ne soyez pas trop attachés à vos meubles et à vos murs ; les jeux risquent de laisser des traces !

Le mapping vidéo a, je pense, un réel avenir dans le jeu interactif. Il pourrait permettre l’apparition de jeux innovants. Cependant cette technologie saura-t-elle s’adapter à toutes les surfaces d’une pièce ? Ne verrons-nous pas apparaître des bugs trop conséquents ; comme on aurait déjà pu le constater dans les jeux utilisant le capteur Kinect ? À Microsoft, à présent, de faire ses preuves !


Pour aller plus loin

Quelles expériences interactives vivrons-nous prochainement ? Jusqu’où iront les nouvelles technologies ?

On est loin de s’arrêter à l’univers des jeux vidéo. Sony propose aujourd’hui une « maison futuriste connectée » avec des idées relativement innovantes que je vous laisse découvrir dans cette vidéo : http://www.clubic.com/video/salon-ifa-berlin/video-ifa-2014-life-space-ux-visitez-la-maison-futuriste-connectee-de-sony-454385.html

Je vous invite également à consulter l’article de Justine, qui présente les différentes utilisations du mapping vidéo ; disponible à ce lien :
https://lewebpedagogique.com/presencesenligne/2014/10/28/mappingvideo/


Articles similaires (sources):

http://credit-n.ru/zaymyi-next.html

L'Oculus Rift et la réalité virtuelle

On en a entendu parlé récemment, Facebook aurait racheté « l’Oculus Rift » un appareil de réalité virtuelle pour 2 milliards de dollars. A quoi sert-il ? Peut-il apporter des opportunités dans le futur ?

OculusRift1

L’Oculus Rift en quelques mots

L’Oculus Rift est un masque de réalité virtuelle en cours de développement et conçu par une filiale de Facebook, « Oculus VR ». Le projet a été lancé en 2012 grâce au succès du financement via la plateforme Kickstarter.

L’Oculus Rift recouvre les yeux de l’utilisateur et est attaché au visage par une sangle à l’arrière du crâne. On trouve plusieurs capteurs permettant de détecter les mouvements de tête de l’utilisateur, permettant ainsi d’adapter en temps réel l’image projetée sur l’écran, afin de produire l’illusion d’une immersion réelle. Le prix de cet appareil devrait s’élever à environ 220 € (Hors Taxe) et resterait ainsi assez abordable sur le marché.

Les finalités de ce rachat

Le rachat d’Oculus VR ne ferait pas obstacle au but premier de la société qui est de rendre plus immersif le marché du jeu vidéo et ainsi de le faire évoluer au mieux. Mais cette fusion permettra encore d’aller plus loin. En effet, ce masque de réalité virtuelle permettrait également d’accéder à différents types de services et offrirait dans un futur proche, la possibilité de réaliser des expériences sociales qui rassembleront les gens d’une nouvelle manière.

Mark Zuckerberg, le créateur du réseau social Facebook, demeure assez enthousiaste et nous le fait partager :

Le mobile est la plateforme d’aujourd’hui, et dès à présent nous nous préparons pour celles de demain. Oculus VR a la chance d’avoir conçu la plateforme la plus sociale jamais créée et a définitivement changé notre manière de travailler, de jouer et de communiquer.

Des opportunités pour demain 

L’Oculus Rift s’avère être encore pour le moment un peu encombrant pour l’emmener en voyage d’affaires. Mais il est possible que demain l’on s’immerge dans une réunion à distance. Il suffirait ainsi que celle-si soit filmée par deux caméras pour obtenir un effet 3D, ce qui faciliterait considérablement le télétravail. Et pourquoi pas, assister d’ici quelques années à un tchat vidéo de groupes dans une salle de réunion virtuelle ou sur une plage paradisiaque ?

Je vous invite à visionner cette vidéo sur l’Oculus Rift  :

[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=-5LQrYFmUAU[/youtube]

Sources :

http://credit-n.ru/zaymyi-next.html

Le livre numérique, bon ou mauvais ? Qui l'utilise le plus de nos jours ?

À l’ère du numérique, de plus en plus de français décident de remplacer la traditionnelle bibliothèque par des livres électroniques. Quelles sont les avantages et les inconvénients de ce nouvel outil ? Qui sont les utilisateurs principaux ? Quels appareils utilisent-ils pour lire des livres numériques ? 

Ebook

Avantages :

Le premier avantage qui ressort dans l’usage du livre numérique est bien évidemment l’économie de papier. L‘ebook étant un support électronique, il dispose aussi de fonctions supplémentaires que ne possède pas un livre papier. On trouve ainsi la possibilité de rédiger des commentaires et d’ajouter des marque-pages. Le livre numérique possède aussi une fonction « recherche » permettant une navigation plus simple et plus rapide. Les ebooks sont également interactifs, puisqu’il est possible d’avoir des liens vers plusieurs sources de données avec notamment des liens vers des services de traduction ou tout simplement des vidéos supplémentaires. Des liens hypertextes peuvent aussi être insérés et un zoom sur l’écran est également à la disposition de l’usager. Ces options lui confèrent ainsi un caractère ludique et amusant pour l’utilisateur.

Par ailleurs, les livres numériques sont disponibles à tout moment et ne dépendent d’aucun délai de livraison, hormis un petit délai de téléchargement dans certains cas ! Ils sont aussi moins chers que les livres imprimés et peuvent être lu n’importe où, sur tous les différents appareils de lecture. Ils peuvent aussi regrouper beaucoup d’œuvres littéraires dans un espace beaucoup plus réduit que celui d’une bibliothèque traditionnelle.

Les livres numériques permettent également une ouverture sociale sur le monde pour les personnes handicapés. En effet, le numérique est également un moyen d’ouvrir le monde du livre aux personnes dotés de divers handicaps. Certaines fonctionnalités, comme la possibilité d’augmenter la taille des polices, facilitent la lecture des personnes mal-voyantes. De plus, la mise en place de caractères spécifiques visant à accentuer certains sons ou syllabes sont des fonctionnalités qui pourraient s’avérer importantes pour faciliter des handicapés. Par ailleurs, l’utilisation de l’audio en support du texte ou l’ajout de diverses vidéos sont également très utiles et permettraient de concevoir des ouvrages adaptés aux handicapés.

Inconvénients :

Lorsqu’on parle d’ebooks on pense tout de suite au prix. Oui, les ebooks restent chers si on en veut un qui tienne la route ! Il faut compter environ 90 euros pour en détenir un bon. Par ailleurs, l’autre inconvénient majeur de ce type d’outil, est qu’il n’est pas toujours possible de feuilleter un livre électronique payant avant de l’acheter, ce qui peut décourager un certain nombre de client potentiels.

Un autre soucis majeur réside dans le fait que les livres numériques demandent de posséder un minimum de connaissances en informatique, ce qui peut repousser les plus anciens d’entre nous. De plus, il y a le risque qui s’offre à toutes les nouvelles technologies de nos jours : le problème de la batterie. Avec le livre numérique nous sommes donc « limités » point de vue temps de lecture. Nous ne sommes pas non plus à l’abris d’un risque de panne « technique ». Qu’advient-il alors ?…

Les livres numériques sont constitués pour beaucoup, de livres gratuits tombés dans le domaine public. De pus, la plupart des livres dit « récents » sont payants et ceux-là sont évidemment les plus demandés. C’est donc de cette manière que le piratage se développe de plus en plus dans ce milieu, comme il s’est largement imposé dans le domaine cinématographique et musicale ces dernières années… Les auteurs ont ainsi de plus en plus de mal à faire respecter leur droit d’auteur et ont par déduction, plus de difficultés à vivre de la publication de leurs ouvrages.

Pour finir, le livre numérique anéantit l’image symbolique que l’on a du livre papier. En effet, le livre papier demeure ce qu’on appelle un objet culturel, qu’on définit comme étant un ensemble de pages imprimées. Sa définition pourrait donc bien se voir évoluer. Cette évolution est un grand bouleversement, puisqu’il s’agit de passer d’un support physique, donc localisable, à un support numérique qui démultiplie les lieux de consultation : tablette, smartphone, ordinateur, etc.. et qui possède ainsi un caractère « dématériel ».


Quels sont les utilisateurs ? Quels appareils utilisent-il vraiment pour lire des livres numériques  ?

ebook2

Selon une étude Ifop menée, à l’heure actuelle, plus d’un Français sur dix est un lecteur de livres numériques. Son profil est plutôt masculin, jeune, de catégorie socioprofessionnelle élevée et citadin. Ainsi, selon cette même étude, 37% qui lisent volontiers des livres numériques le font à partir de leur tablette, 33% à partir d’un ordinateur portable ou d’un mini-PC, 24% à partir d’une liseuse, 26% depuis un smartphone et 17% avec un ordinateur fixe.


Mon avis perso : 

Je pense que le livre numérique révolutionne le monde de l’édition mais qu’il n’est pas encore  complètement ancré dans notre société. On le voit d’ailleurs bien dans l’éducation nationale avec l’article de Maud, où il a encore un peu de  mal à se frayer un chemin. Par ailleurs, étant moi même utilisatrice d’ebooks, je pense aussi à un autre inconvénient majeur : Nous n’avons plus le « touché » que certaines personnes apprécient particulièrement auprès du livre papier, on peut même ajouter l’odeur de l’encre et du papier qui n’est plus présente avec le livre numérique. Ainsi, pour ma part, cet outil va de pair avec le développement du numérique dans notre société, mais il est parfois bon de ne pas oublier nos bons vieux livres d’antan ! Et vous, qu’en pensez-vous ?


Sources : 

http://bibliobs.nouvelobs.com/salon-du-livre-2014/20140320.OBS0581/jusqu-ou-ira-le-livre-numerique.html

http://www.itespresso.fr/e-book-francais-serieux-penchant-gratuit-piratage-80526.html

http://www.strategies.fr/actualites/medias/246316W/plus-d-un-francais-sur-dix-lit-des-livres-numeriques.html

http://www.contenus-en-ligne.com/quest-ce-quun-ebook
http://credit-n.ru/zaymyi-next.html