Fatoumata, poème sur la migration…

Fatoumata, poème sur la migration…

 

La migration

C’est une migrante qui fuit son pays

Parce que c’est la sécheresse

Dans son pays, à la tombée de la nuit

Quand tout le monde dort, elle part sans rien prendre

Elle marche jusqu’à ce qu’elle s’accroupisse devant une vieille dame

Et elle lui demande de l’aide.

 

La vieille dame l’aide.

 

La vieille dame la ramène chez elle.

La migrante se présente et dit : « Je m’appelle Binta.

Je viens de l’Afrique du Sud. »

Binta rajoute : « Je suis une fille terrorisée par les coups, la fatigue. »

 

La vielle dame se présente et dit : « Je m’appelle Lucie-Marie ».

Et elle lui raconte sa vie.

Lucie-Marie dit : « Je peux vous héberger . »

 

Le lendemain, Lucie-Marie alla réveiller Binta, mais Binta n’était plus là.

 

Binta est partie, elle marche et rencontre un  homme et lui demande : « Savez-vous où l’on peut voyager sans papier, sans rien ? ».

Le monsieur dit : « Oui, bien sûr. »

 

Il l’accompagne là où les bateaux partent.

 

Il y a des migrants dans le bateau.

 

Elle part et arrive dans un petit village.

 

Elle marche pour trouver de l’aide.

 

Elle tombe sur un petit local où on peut trouver de l’aide comme un appartement, un travail.

 

Elle trouve un appartement et un travail.

 

Elle a des papiers.

 

Elle a aussi un fiancé.

 

Et voyage dans son pays avec lui.

 

FATOUMATA, 4eC

janvier 20, 2019

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