Le dimanche 16 octobre, la marche contre la vie chère et l’inaction climatique a eu lieu entre Nation et Bastille. A l’initiative de la France Insoumise l’événement a réuni le Parti Socialiste, le parti Europe Écologie-Les Verts et le Parti Communiste Français.
Ont été notamment présents Annie Ernaux (prix Nobel de littérature 2022) et les principaux représentants de la NUPES ainsi que de nombreuses associations et fédérations syndicales. Il y aurait eu en plus 140 000 personnes selon les organisateurs et 30 000 selon les forces de l’ordre.
La NUPES présente six solutions contre la vie chère :
- Augmentation du SMIC
- Encadrement des loyers
- Blocage de certains prix
- Taxation des superprofits
- Allocation d’autonomie
- Création d’emplois écolos.
Cependant ce mouvement, même à gauche, n’a pas été partagé par tous. On aura noté l’absence de Fabien Roussel et Janick Jadot disant qu’ils avaient mieux à faire. Les syndicats comme la CGT, la FSU et Sud solidaires n’ont pas participé non plus en tant que tels à la marche, préférant se concentrer sur leur journée de mobilisation de demain mardi. Phillipe Martinez, leader de la CGT, a ainsi déclaré : « Les syndicats doivent être soutenus et on ne doit pas faire les choses en parallèle », sous-entendant que c’est aux organisations syndicales qu’il revient prioritairement d’organiser les mouvements sociaux.
Faustine et Magda
