Récemment, Gabriel Attal, notre Premier ministre, a nommé un nouveau gouvernement. Certains ministères n’ont pas été pourvus et certains ministres en ont reçus quant à eux plusieurs. Il n’y a toujours pas de ministre du Logement ni des Transports et l’ancienne ministres des Sports et des JO, a écopé, à 6 mois des JO 2024, du ministère de l’Éducation nationale.

Amélie Oudéa Castéra a du faire face à de nombreuses polémiques suite à sa nomination.

En effet, dès son premier déplacement, elle a répondu à un journaliste qui l’interrogeait sur la scolarisation de ses enfants dans l’établissement privé très coté Stanlislas en disant, justifiant son choix, qu’elle avait au départ scolarisé son fils à l’école publique mais avait du faire face à « des paquets d’heures non remplacées« . Et pourquoi Stanlislas : elle habitait à côté. Le lendemain, Libération révèlait alors les propos de l’ancienne enseignante de son fils à l’école Littré. Celle-ci affirmait que le fils d’AOC n’était resté que 6 mois (en petite section de maternelle) à l’école publique et qu’il en avait été retiré car ses parents n’étaient pas d’accord avec la décision de l’école concernant le passage de l’enfant dans une classe supérieure. C’est assez choquant de voir qu’une ministre de l’Éducation nationale prône le privé et mente à propos de l’institutrice de son fils qui affirmait par ailleurs n’avoir jamais été absente cette année-là.

Depuis, la presse a révélé de nombreuses choses à propos d’AOC, notamment, son salaire exorbitant lorsque qu’elle était directrice générale de la Fédération Française de Tennis, ou le fait que son fils ait pu bénéficier d’un système de contournement de Parcoursup à Stanlislas ou, encore plus récemment, le fait qu’une administratrice indépendante (qui ne doit avoir aucun rapport avec l’entreprise ni les membres de la direction de l’entreprise) de la Société Générale que dirigeait son mari soit son amie d’enfance…

Faustine