Die politische Ausbildung – La formation politique
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L’influence des jeunes sur la politique : Comment est-ce-que la formation politique influence la participation des jeunes ? Et comment est-ce-que la formation peut aider à agrandir l’influence des jeunes dans la politique ?
L’école doit nous préparer pour notre vie future, nous apprendrons à calculer, à écrire des analyses, des interprétations textuelles ou à nommer les composants de l’ADN par exemple. Nous sommes préparés par elle pour presque toutes les situations, que nous pouvons rencontrer dans le futur. Mais comment est-ce-que nous sommes préparés pour notre participation politique à l’avenir ? Avons-nous besoin de plus de formation politique, pour être mieux préparés pour notre vie politique future ? Par ailleurs, y a-t-il des différences entre la France et l’Allemagne par rapport à la formation politique ? Est-ce-que les jeunes, parce qu’ils ne peuvent pas voter à l’échelon national, manquent d’influence sur la vie politique ?
Les populations en France et en Allemagne vivent sous une démocratie. Tout le monde qui a au moins dix-huit ans peut donner son vote à son parti préféré. Les questions qu’il faut se poser avant de donner sa voix, c’est premièrement : Quel parti est-ce que je vais soutenir ? Tous les partis ont des programmes électoraux différents. Pour nous, les jeunes, il faut décider quels sont nos intérêts et quel parti soutient le mieux nos intérêts.
Après un sondage du magazine allemand « Spiegel » les thèmes qui intéressent les jeunes les plus sont l’éducation et la protection de l’environnement. Mais aussi la politique sociale et l’égalité sociale sont des thèmes que tiennent à cœur aux jeunes.
Pour trouver le parti qui représente nos intérêts le mieux on peut lire les programmes électoraux des partis ou on peut faire un test en ligne qui s’appelle : le comparateur de candidats (« Wahl-o-mat »). Ce test était introduit en 2002. Ce test compare nos intérêts aux programmes électoraux des partis pour qu’on trouve le parti le mieux.
À l’école, les professeurs ont le devoir de nous préparer à devenir des citoyens du monde et à devenir responsables et autonomes dans notre prise de décision. On apprend des valeurs comme celle par exemple d’accepter, de respecter et de comprendre les membres d’autres cultures, on apprend à soutenir l’idée de l’Union européenne et on apprend aussi beaucoup de choses sur l’histoire européenne pour ne pas reproduire les mêmes fautes que dans le passé. De plus, la matière politique est enseignée dans les écoles allemandes. Dans cette matière, on apprend toutes sortes de choses, par exemple comment les Etats sont formés jusqu’aux partis politiques existants. À la conférence des ministres de l’éducation on a fixé le but suivant : « Un des buts le plus important de l’éducation scolaire c’est de rendre capable les jeunes, de s’orienter dans la société moderne et de pouvoir juger de manière compétente des questions et problèmes sociaux et économiques. » (source : BR Bayern 2, Politische Bildung, Wie lernen Schüler Demokratie ?)
Alors il est possible de dire que les élèves d’aujourd’hui sont éduqués dans une optique d’ouverture et de tolérance. C’est la raison pour laquelle il est impossible de dire que nous ne sommes pas préparés pour notre vie politique. Quand on finit l’école, on sait beaucoup de choses sur la politique. Bien sûr c’est toujours possible d’être mieux préparé, mais on apprend tant de choses qu’on peut se créer sa propre opinion facilement. Mais si nous sommes si bien préparés, pourquoi est-ce-que la participation politique des jeunes diminue-t-elle ? Et pourquoi est-ce-que l’influence des jeunes sur la politique est si faible ?
Premièrement il faut dire qu’il n’y a pas beaucoup de jeunes comparés au nombre des personnes aînés. L’influence des jeunes en comparaison de celle des personnes aînés est alors plus faible. C’est une raison pour laquelle l’influence des jeunes paraît si petite.
En plus la différence des âges conduit aussi à beaucoup de dissensions entre les générations différentes. Comme le politicien Metin Hakverdi a dit pendant sa conversation avec notre cours de français : « Comme un jeune, moi, je ne voulais pas passer mon mardi soir à parler avec des vieilles personnes qui sont de l’opinion que mon opinion et mes idées ne soient pas correcte à cause de mon jeune âge. » Comme jeune c’est quelques fois très difficile de s’affirmer contre les personnes âgées. Ce phénomène conduit aussi à la baisse la participation politique des jeunes.
Mais comment est-ce-qu’on peut accroître notre influence, l’influence des jeunes sur la politique ? Si les jeunes d’aujourd’hui sont si bien préparés à leur vie politique future, pourquoi est-ce que nous n’introduisons pas le droit de vote à l’âge de 16 ans?
En 1996 la Basse-Saxe a introduit le droit de vote à l’âge de 16 à l’échelon communal. Dix autres États sont suivis. À Hambourg, à Brême, au Brandebourg et au Schleswig-Holstein les jeunes de 16 ans ou plus peuvent aussi participer aux élections au niveau des Länder.
Il y a aussi quelques partis comme le SPD et les Verts qui veulent introduire le droit de vote à l’âge de 16 à l’échelon fédéral, pour que ne soient pas les personnes âgées qui dominent.
Lorsque l’on se fait tant de pensées quant à savoir comment donner plus d’influence aux jeunes, il faut se demander premièrement si les jeunes veulent avoir plus de poids. Est-ce-que les jeunes de notre âge veulent avoir plus d’importance dans la politique ? Est-ce-qu’ils s’intéressent à la politique ?
Bien sûr il y a quelques jeunes qui s’intéressent à la politique, mais après la résultat des études de l’université technique de Dresde il y a seulement sept pourcent des jeunes qui s’informe sur les actualités quotidiennes politiques. Pour les élèves qui s’intéressent, il y a déjà quelques institutions où ils peuvent encontre des autres jeunes avec lesquelles ils peuvent discuter et échanger. Mais le nombre des jeunes qui s’informe et qui participent à la politique, est effrayant. C’est la raison pour laquelle il faut rapprocher plus la politique aux jeunes. Et la façon la plus simple c’est que les écoles prennent plus d’influence aux élèves, parce que c’est l’école où les jeunes passent la plupart du temps.
Mais la chose la plus importante c’est qu’il y a des jeunes qui veulent s’engager dans la politique et qu’on leur donne la chance d’y participer. Parce que ce sont les jeunes d’aujourd’hui qui seront le futur de l’Etat demain. Et si on veut accroître l’influence des jeunes dans la politique il faut se demander : Comment est-ce-qu’on peut leur donner plus d’influence ? Et comment l’école, comme institution de l’Etat, peut aider les jeunes à soutenir leur demande?
Marlene Herzig
Politische Bildung : spielt sie eine Rolle bei der Mitwirkung und dem Interesse der zukünftigen Bürger von Frankreich und Deutschland?
Im Rahmen der Projektwoche zwischen dem Allende Gymnasium aus Frankreich und dem Gymnasium Süderelbe aus Deutschland, haben wir uns ein paar Fragen gestellt, die das Thema “Alte und neue Formen der politischen Partizipation” betreffen. Dafür haben wir Nachforschungen angestellt, um den Lesern eine klare Antwort zu geben.
Um ein bisschen präziser zu sein, haben wir uns dem Thema Mitwirkung und Interesse der Bürger zugewendet.
Zuerst werden wir über die politische Bildung der französischen Schüler sprechen, über die EMC Stunden, sowie auch darüber, wie es früher war und wie es heute ist. Da die heutige Zeit immer im Vordergrund steht, mussten wir natürlicher auch einen Vergleich zwischen damals und heute aufstellen, da sich vieles verändert hat ! Andererseits werden wir vorstellen wie sich das deutsche System von dem französischem System unterscheidet, was PGW Kurse betrifft. In der Tat liegen die deutschen Interesse woanders als die Interessen von Frankreich.
Was die französischen EMC Stunden angeht, haben diese mehrere Ziele. Vor allem sollen diese lehrreichen, aber wenigen Stunden den zukünftigen Bürger bilden und seine Kritikfähigkeit vergrößern. Der Schüler erlangt so ein intelligentes und sittliches Bewusstsein. Somit kann er die menschlichen Werte, wie Solidarität und Vernunft, verstehen, teilen und wahren lernen. Der Schüler soll fähig sein, seine eigene politische Meinung aufzubauen.
Diese Stunden finden ein paar mal statt und werden für Kinder zwischen sechs und 15 Jahren unterrichtet. Ein anderer Unterschied zwischen unseren zwei Ländern ist, dass Frankreich beim Unterricht laizistisch bleibt, im Gegensatz zu seinem Nachbarland.
In den Jahren, die 1968 folgten, hat sich die Gesellschaft wirklich verändert. Die Jugend damals wird anders betrachtet als die heutigen Generationen. Sie wurde auf eine Art und Weise zur Seite gedrängt, und man hörte ihr nicht zu. Die jungen Leute konnten keiner politischen Partei als vollwertiges Mitglied beitreten. Deshalb können wir erkennen, dass während dieser Periode, der Anteil der Jugend, der sich an Politik interessierte, sich verkleinerte. Zu dieser Zeit galt man erst ab 21 Jahre als volljährig. Sie konnten also mit 18 Jahren noch nicht wählen, so wie es heute möglich ist. Zudem gab es zu dieser Zeit noch keine Unterrichtsstunden die die zukünftigen Bürger bilden sollten, so wie es heute die EMC Stunden tun. Die einzige Möglichkeit der damaligen Jugend, sich eine eigene Meinung aufzubauen, war es die Prinzipien und die Überzeugung der Eltern zu übernehmen, oder einen schweren Druck des Staates oder des Bürgertums auf sich zunehmen. Dies erklärt bestimmt den schwachen Anteil der engagierten jungen Leuten zu dieser Zeit. So entstand zum Ende der 60 er Jahren eine Art revolutionäre Bewegung der Jugend, die sich gegen die Überzeugungen der älteren Generation richtete. Sie forderte mehr Freiheit. Im Jahre 1968 veranstaltete man Veranstaltungen, auf denen die Jugend nach einem Mittel suchte um von den älteren Generationen gehört zu werden. Sie wurden also aktiv, anders als vorher, als sie noch untätig waren.
Diese verschiedene Demonstrationen aus dem Mai 1968 haben einen insgesamt guten Impakt auf die Jugend, die Erwachsenen und den Staat gehabt. Gerade wenn die Jugendlichen Aufsicht erregten, war dies ein sehr gutes Mittel für all die rund um das Jahr 1950 Geborenen um sich auszudrücken. In der Tat gab es ihnen die Gelegenheit, aktiver in der Politik zu werden und vom Augenzeuge zur aktiven Person zu werden. Die Jugend konnte laut zeigen, dass sie existiert und dass sie auch Rechte hat. Nach einer Umfrage stellte sich heraus, dass 74 % der Franzosen denken, dass Mai 1968 einen positiven Einfluss hatte. Diese Revolution war vor allem ein Symbol für die großen Revolutionen der Denkarten, die die geschlossene und konservative Gesellschaft abschaffte. Es lässt sich hinzufügen, dass es nun mehr Freiheiten für Jugendliche gab. Nun durften sie endlich alles sagen, was sie wollten. Schließlich haben diese Generationen nun mehr Lust darauf gehabt sich in Parteien und Vereinigungen einzuschreiben und am wichtigsten : wählen zu gehen !
Heutzutage haben viele Personen Vorurteile über die Jugend im Bezug auf das politische Leben. Sie denken, dass sich die Jugend von Zeit zu Zeit gar nicht mehr für die Politik interessiert. Deswegen werden wir ihnen nun aufzeigen, dass dies falscher ist, als das was manche glauben könnten. Die Soziologin Anne Muxel vom Centre d’Etudes für das französische politische Leben behauptet, dass die jüngeren Erwachsenen sogar die anspruchsvollsten und kritischsten sind. Ihrer Meinung nach sind sie, einerseits, die Interessiertesten sowie auch die Uninteressiertesten an der Politik, weil viele politische Beschlüsse sich auf das Konto des einzelnen als auch auf die Arbeitslosigkeit und die Veränderung der Gesellschaft auswirken. Sie halten also einen gewissen Grad an Misstrauen gegenüber Politiker und Institutionen aufrecht. Das was sich geändert hat, ist der Inhalt ihrer Zusage, was den Einfluss der Familie betrifft. Nach einer zweiten Umfrage die am 12 Februar herauskam und von Audirep bei 500 jungen Leuten durchgeführt wurde, stellte man fest, dass 7 von 10 jungen Leuten um eine Erleichterung der Verwaltungsaufwänden bitten, sowie auch um die Anerkennung der Enthaltungen beim Wählen.
Aufgrund dieser Studie wissen wir, dass die Politik für 1 von 2 jungen Menschen zählt und dies von der Familie, der Arbeit, den Freunden und dem Studium abhängt. 1 von 2 Jugendlichen behauptet auch letztens einen Grund dafür zu haben, eine Petition zu unterschreiben, bei einer Demonstration teilzunehmen oder eine Kampagne auf sozialen Netzwerke zu sharen. Anstatt sich bei einer Partei einzuschreiben. Die Mehrheit der Jugend schätzt, dass sie nicht genügend darüber weiß, wie sie sich informieren kann um sich bei verschiedenen Organisationen nützlich machen zu können. Dies zeigt, dass es einen realen Mangel an Informationen gibt. So etwas könnte besser laufen, wenn die Politik sich mehr an junge Leute anpassen würde. Diese möchten, dass das politische Leben in der Schule beigebracht wird. Nach Céline Braconnier, Soziologin und Professor an der Universität von Cergy?Pontoise, könnte die Schule auch Kindern, die unter keinem politischen Einfluss stehen, Bezugspunkte geben.
Man soll also ohne eine große Zahl an Vorurteile aus der Schule hinausgehen. Die Jugend ist vom politischen Leben nicht abgewendet, sie stellt auch Akteure der kollektiven Mobilisation, da demonstrieren eine Art politischer Akt ist.
Davon ausgehend können wir sehen, dass die politische Bildung in französischen Schulen nicht ausreichend ist und dass sie die zukünftigen Bürger nicht ausreichend auf das politische Leben vorbereitet.
Im Gegensatz zu den EMC Stunden in Frankreich, hat die deutsche Schule einen großen Einfluss auf die Schüler. Es gibt in Deutschland sogenannte PGW Kurse. Anders gesagt: Politik, Gesellschaft und Wirtschaft. Sie bestehen in der direkten Bildung der Schüler: die zukünftigen Bürger Deutschlands zu stellen. Dort ist die Vorbereitung also effektiver als in Frankreich. Dies ermöglicht einen ersten Schritt hin zur Politik, den Parteien und deren Werten. Die deutschen Schüler sind deshalb besser vorbereitet auf das politische Leben und können sich ihre eigene Meinung bilden.
Trotz allem scheint die Jugend weniger beteiligt an der Politik als früher. Aber das ist ein Vorurteil, weil die jungen Bürger, vor allem in Frankreich, sich nicht mit der gleichen Art und Weise daran engagieren wie Erwachsene. Jedoch haben sie nicht die gleichen Erwartungen und Ideen wie die älteren Generationen. Das ganze hat Auswirkungen auf ihre Beteiligung im politischen Leben und könnte auch die Vorurteile erklären.
In Frankreich sowie in Deutschland ist die politische Bildung in Schulen sehr wichtig um die zukünftigen Bürger aufs politische Leben vorzubereiten. Auf der anderen Seite könnte die Bildung verbessert und vertieft werden, damit die zukünftigen Bürger noch besser ins politische Leben reinkommen und von Anfang an aktiv sind. Noch dazu kommt, dass ihnen die Bildung ermöglicht gute Entscheidungen zu treffen wenn Wahlen stattfinden. Deshalb ist es die Bildung, die erlaubt, die Demokratie besser zu organisieren und aufzustellen.
Eva Taugeron und Alexia Hillen-Saillard