La laïcité selon nous

La laïcité

Etre laïque cela veut dire qu’on doit respecter les lois et les principes d’un état. En France, la religion ne doit pas intervenir dans les affaires de l’État. Après un siècle de conflit la loi de laïcité était appilquée le 9 décembre 1905. Beaucoup d’écoles religieuses sont fermées ou devenues des écoles laïques. En 2004 une nouvelle loi a été appliquée qui interdit de mettre des signes religieuses dans les écoles sauf si c’est discret. Cette loi n’est pas intégrée dans les écoles privées et les universités. La loi de 2010 préviens la dissimilation de visage dans l’espace publique. Pourtant pour ne pas avoir de confusion cette règle n’a aucune rapport avec la laïcité mais c’est une question de la sécurité.

Les Pays-Bas…

Chez nous la laïcité est un peu vague. Les écoles individuelles choisissent leur propre règles par exemple il existe des écoles où la voile est interdite ou bien acceptée. Donc cela ne dépend pas à l’état mais plus tôt les écoles elles-mêmes. C’est toujours un grand difficulté pour le peuple néerlandais de comprendre la loi de laïcité. Les néerlandais n’ont pas encore introduit une loi officielle qui donne de la clarté concernant ce sujet.

Notre avis sur la laïcité

A notre avis en France la loi est claire : on ne peut pas juger quelqu’un de sa religion parce que ce n’est pas visible. Par contre dans les deux pays on ne pourrait pas parler de la politique ni notre avis sur la religion, mais chez nous on reste moins sévère qu’en France.

Pour conclure on trouve que cette loi est contre la liberté. Ca préviens les gens de porter les symboles, les vêtements et les accessoires d’une religion. Néanmoins nous trouvons que c’est une loi nécessaire. Sans cette loi, il y aura trop d’abusions.

Voici à titre d’exemple de Pays-Bas avec un professeur de connaissances métaphysiques. Il était très religieux et les questions qu’il nous posait sur le sujet n’étaient pas juste. Son opinion que dieu et le meilleur était la seule et l’unique réponse qu’il existait. On donnait des réponses qu’il voulait entendre et on n’a pas eu l’occasion de réfléchir et donner nos propres pensées. En fin il est important pour nous, comme prof de français, de préserver nos élèves des pressions. Les élèves devront évoluer leur propres opinions !

Adrian & Sara

Les travaux de recherche des étudiants de l’ESPE: présentations 03/05/2017

On a assisté aux travaux de recherche des étudiants. Il y avait cinq étudiants qui ont présenté leur recherche ce jour-là. Ce qui a attiré notre attention, est le fait que chaque étude avait un bon départ, cependant ils n’ont pas bien approfondi leur recherche. A notre avis, ils sont restés superficiels concernant les conclusions de leurs recherches. Néanmoins des solutions pratiques aux écoles où ils ont fait leur recherche. Pourtant chez nous il est évident qu’une conclusion d’une recherche soit claire et applicable dans un cours.

D’abord nous avons assisté à la recherche de Guillemette Saint Mleux, concernant un outil d’aide à la résolution des problèmes mathématiques à l’école primaire, effectué au Québec. Elle nous a montré une rubrique, qui consiste en mots clés auxquels on peut associer différentes étapes de la réflexion. Elle a voulu rechercher si c’est en effet un outil effectif. Cette idée est utilisable dans notre vie d’enseignant. On peut adapter la rubrique aux différentes matières, aussi au collège. Par exemple en expliquant un sujet de grammaire, on peut utiliser ces différentes étapes pour que les élèves puissent trouver une structure eux-mêmes.

Puis, Corentin Leroyer nous a expliqué comment utiliser le Manga comme un support pédagogique à l’école primaire. Ce que nous avons pu conclure de cette présentation, est le fait que l’idée d’intégrer le Manga comme un support est original. Les élèves pourront facilement appliquer le Manga en entraînant la lecture et l’écrit, lié avec la culture japonaise. Or, il n’a pas consacré un cours dans lequel il a expliqué la culture japonaise, ce qui a éventuellement créé des problèmes de compréhension générale chez les élèves. Le principe de cette recherche n’était pas assez clair pour nous, pourtant nous voudrions intégrer cet outil dans notre stage. Par exemple on choisit un dessin-animé d’Astérix et Obélix en expliquant l’époque des vikings (l’histoire de la France) et la compréhension et expression écrite.

Ensuite Anne Lebec nous a expliqué sa recherche concernant des activités plastiques à l’acte plastique. Généralement, cette présentation était incompréhensible pour nous. Nous n’avons aucune idée de quoi cette dame a parlé, quelle était sa recherche et son but. La seule chose qu’on a compris, c’est qu’elle a fait quelque chose autour l’art plastique. Dans sa présentation il n’y avait aucune structure. Elle a commencé par expliquer le terme “art plastique”, ce qui n’avait rien à faire avec une analyse d’une recherche. En bref, tout était vague.

Laëtitia Laforge a parlé de la condition pour laquelle le brouillon est un lieu d’apprentissage. Elle a passé son stage en Finlande et c’était très intéressant de comparer les deux systèmes éducatifs. Elle a commencé par expliquer qu’est-ce qu’un brouillon, et la différence entre les deux types de brouillon: linéaire et structural. Dans sa recherche, elle a pu conclure que le brouillon structural est le plus effectif pour les élèves. Selon nous, elle était la seule personne qui a vraiment donné un contexte sur sa recherche. Elle a expliqué toutes les étapes, et même les différences entre les deux systèmes éducatifs. Cette recherche confirme ce que nous appliquons déjà dans nos cours, l’idée n’est pas nouvelle pour nous.

Pour finir, Céline Metz a parlé de la relation école-famille et les dispositifs existants pour faire venir les parents au sein de l’école. En Europe il existe le problème que certains parents n’ont pas une bonne communication avec l’école. Il y a une grande évolution des systèmes scolaires, mais on ne voit pas que cela augmente la relation enseignant-parent. Céline a bien expliqué le problème qu’elle a eu pendant son stage. Malheureusement elle n’a pas pu trouver des solutions, car le but de cette recherche est de trouver une solution ou des activités qui stimulent cette relation.

Pour conclure nous pouvons dire que cette expérience était très utile pour nous, malgré l’approche différente d’une présentation d’une recherche. On a quand-même pu noter quelques idées qui nous semblaient intéressantes de les intégrer.

Sara Laabdi et Brenda Taga

Un lieu à Caen: colline aux oiseaux

Les espaces verts sont très importantes pour une ville, car les citoyens peuvent se promener après une semaine de travail. Cela permet de se détendre et passer du temps avec la famille dans la nature.

Dans ce cas-là, on pourrait visiter la colline aux oiseaux. Avec ses dix-sept hectares, c’est le jardin le plus grand de Caen. Il a été créé à l’occasion du 50ième anniversaire du débarquement et c’est un lieu dédié à la paie. La roseraie du jardin compte plus de 15000 roses, dont 570 variétés du moyen âge à nos jours.

A notre avis, il est très important d’avoir un tel lieu quand on habite dans une ville si grande. Aujourd’hui la plupart des gens souffre d’une vie très chargée et stressante. On est toujours extrêmement pressé pour attraper nos rendez-vous et tâches pendant la semaine. En plus, il est important d’avoir des espaces verts de proximité pour une meilleure qualité de vie, donc aussi pour la santé. Sinon on a la tendance à être toujours enfermé, physiquement et mentalement. D’ailleurs plusieurs études montrent que les personnes qui habitent près d’un espace vert dans une ville, sont en meilleure forme physique et mentale que les autres. Il y a une baisse du niveau d’angoisse et une augmentation du bien-être par la régulation de la fatigue mentale. Les espaces verts ont aussi un effet tranquillisant, ce qui permet de se détendre mentalement. Pour les étudiants ça améliore aussi l’attention et la concentration. Par rapport au physique, habiter près d’un parc donne aussi envie à pratiquer des sports, ce qui peut aider à éviter le surpoids et les maladies qui vont avec.

Sara Laabdi et Brenda Taga

Qu’est-ce qui donne envie d’apprendre l’histoire ?

« Pourquoi apprendre ce qui était auparavant tandis que l’avenir est plus important ? Ça ne sert à rien Madame ! » La seule chose que notre nouvelle génération intéresse est tout à fait le smartphone. Sans compter que par exemple les étudiants l’utilisent pendant les cours, même si c’est interdit. Alors l’envie d’apprendre l’histoire ne se donne pas par un simple coup de baguette magique. Donc comment susciter cette envie ?

L’importance des professeurs

Pour commencer il ne faut jamais oublier l’importance d’un professeur. Avoir un bon professeur permet aux élèves de développer cette envie et intérêt. Si le professeur entre dans la classe avec l’air très enthousiaste, les élèves auraient hâte de commencer le cours. Si le professeur montre et émane qu’il aime bien la matière et que c’est très intéressant, les élèves vont probablement être déjà plus ouverts à apprendre de quoi il s’agit. Alors que les professeurs seront déprimés en entrant fâchés dans la classe, les élèves vont le sentir et aussi réagir à leur tour. De plus, il est évident que la manière dont le prof enseigne soit encourageante pour les élèves, sinon les élèves n’ont plus envie de faire des efforts. Le professeur doit créer un climat positif dans la classe, où il y a de la place pour des fautes parce qu’elles sont nécessaires pour arriver à apprendre quelque chose.

Différentes approches : l’influence sur les élèves

Pour les élèves il y a une différence très grande entre les différentes approches pendant les cours. Un professeur peut par exemple entrer dans la classe, s’asseoir, ouvrir son livre et commencer à parler. Les élèves doivent l’écouter pendant tout le cours donc pour eux c’est fatiguant, ennuyant et monotone de travailler de cette manière. Après quelques minutes ils vont probablement perdre leur concentration et leur intérêt pour la matière. Si on fait toujours la même chose dans la classe, ça devient une routine pour les élèves et ils ne font plus attention parce qu’ils savent ce qui va se passer. Toutefois, quand on alterne les approches et les méthodes de travail pendant les cours, en intégrant un jeu de temps en temps ou en utilisant les TIC, les élèves sont obligés de rester alertes.

C’est la tâche et la spécialité des professeurs de trouver une (ou plusieurs) manière(s) de fasciner les élèves et les emmener dans leur histoire. C’est surtout leur tâche d’apprendre quelque chose aux élèves, et la meilleure manière pour arriver à cela est en trouvant des approches qui donnent envie aux élèves de participer et qui leur fascinent. Quand on intègre par exemple de temps en temps un jeu didactique, les élèves seront motivés de connaître la matière parce qu’ils veulent réussir à jouer le jeu et/ou gagner le jeu.

Conclusion : notre avis

Nous tenons à souligner l’importance du rôle d’un prof par apport l’intérêt de l’histoire. Il faut comprendre que à notre point de vue l’enseignement de l’histoire doit être attirant pour que les élèves soient motivés. La motivation intrinsèque pour l’histoire se développe en classe et puis s’évoluera hors de l’école. C’est la tâche du professeur de trouver des manières et des approches pour stimuler cette motivation intrinsèque. Selon nous, on peut motiver les élèves en adaptant le matériel et en intégrant des jeux didactiques et des TIC pour que les cours ne soient pas ennuyants ou monotones.

Sara Laabdi et Brenda Taga