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Bienvenue chez nous

le 9 juin 2123

Dans un mois et une nuit exactement l’anniversaire de mes 116 ans aura lieu avec mon chien Thibaut nous décidâmes de revenir dans ma ville natale, rabat.

Tout avait changé, les visages auquel on était habitué, ont tous disparu. Suite à la guerre qui avait durée cinquante ans. Thibaut et moi n’étions pas vraiment étonne par l’état de rabat envahie par l’Europe. Ces ravages ont assassiné plusieurs milliers de personnes suite à la décision du roi de ne pas leur accorder notre richesse devenue incommensurable.

Étonne prenant le Maroc pour un pays pauvre et toujours en régression le monde tout entier n’était pas prêt au développement d’un pays jugé aussi négativement. Avant d’arriver à l’amélioration de nos armes, de nos bombes et de notre base militaire l’Europe a profitait de cette faiblesse pour nous écrase.

Face à cette scène mes larmes ont coulé à flot je n’arrivais pas à m’arrête. Noire et rouge sont les deux seuls couleurs que je perçois. Qu’on fait ces personnes pour mériter cela ?  Pourquoi détruire un pays tout entier allie au votre ? ces questions sont réponses n’ont cessé de tourner dans ma tête se percutant brutalement sur mon crane.

Les bâtiments détruits, les terres assèches, les écoles repeintes de sang et de cadavres accroche telle des trophées. Ces étrangers se sentait gratifier et surtout les français de cette action méprisable cette jalouser envers une terre qu’il avait colonisée, ou il avait vendu des êtres humains pour un bout de pain, trahit persécute Rabat était aujourd’hui la capitale d’un pays ravage par ceux qu’on appelle en Afrique tout entier les sans âmes.

Il fut un temps ou ces « nobles » français étaient vu comme intrépide et courageux fonçant dans le danger les yeux ferme. Notre estiment pour eux étaient tout aussi grande que notre richesse mais aujourd’hui que nos terres doivent tous être refaite nettoyé ces corps enterre cette même estime a changé dans toutes l’Afrique. Toutes les pays musulmans ce sont réunis suite à l’appel de mon chien ainsi que mon meilleur ami Thibaut désigne comme supérieur aux humains les corps ont étaient enterres les terres renouvelés les bâtiments tout entier moderniser avec des matériaux plus résistant et écologique et les survivants retrouvés logés blanchis et nourris.

Nous avons réussi a changé le Maroc en moins d’une semaine. Après cela Thibaut a entrainé des centaines de troupe pour se venger de ces sans âmes, les dirigeant qui ont décidé de viser la faiblesse de notre vaste pays, et m’a attribué le titre d’impératrice et redonné toutes la richesse de ces anciens empereur et grâce à mon statut j’ai pu établir un pacte avec cette espèce supérieure liant tous les pays régions et union amicalement.

ps : mon anniversaire c’est le 10 juillet.

Yassine, professeur en 2123 ?

À peine atterrie sur le sol marocain, je ne retrouve plus le ciel bleu que j’ai connu. À droite des gratte-ciels et à gauche plus de gratte-ciels. Suis-je à New York ou Rabat ?

Je me promène dans l’aéroport et à ma surprise tous les panneaux et directions sont en chinois… Suis-je à Rabat ou à Hong-Kong ?

Une fois dans le taxi, je sors mon traducteur numérique lorsque je remarque que le chauffeur n’est pas marocain mais philippin. Suis-je à Rabat ou à Manille ?

Perdue et confuse dans cette ville que je reconnais plus, je cherche les endroits qui m’avaient marqué auparavant… Enfin arrivée au souq, aucun marocain en vue. À ma surprise, tout le souq est en numérique et je me retrouve à dire la fameuse phrase : « Dit Siri, puis-je avoir 200g de poivre ? » au marchand robotique pour pouvoir acheter des épices. L’ère des négociations intenses avec Hamid le marchand Marrakchi est finie.

Je me rend ensuite à la marina, et sur ma route, j’ai eu des moments de doutes car je ne reconnais plus cette ville, plus d’arbres mais plus de gratte-ciels, plus de marocains mais plus de robots et plus d’endroits favoris mais seulement leurs souvenirs.

C’est bon , j’y suis enfin, je sens l’odeur marine. Je descends prête à savourer mes sardines cuites préférées. Ettttt non. La marina est devenue un port commercial. Mais où dois-je me rendre pour retrouver la vielle Rabat.

Je marche dans une direction fixe, c’est bon, je sais où me rendre. Arrivée à ma destination, je reconnais les murs blancs, les chaises bleus et vertes, les tables désagréables en forme triangulaire ainsi que le visage de mes anciens camarades qui sont devenus professeurs. Rien n’a changer au GSJC. Enfin si…À part un petit détail , Yassine étant devenu professeur qui torture les pauvres collégiens n’a plus sa moustache, mais sinon comme je l’affirmais, rien n’a changer au GSJC.

Je ne sais plus quoi penser de cette ville, qui a perdu sa culture, ses origines et son peuple. En tout cas, les bons souvenirs de l’ancienne Rabat resteront à jamais gravés dans mes pensées.

ELOUASBI Malak 2de B

Le rugby, bien plus que du sport

Le rugby peut paraître pour beaucoup comme un sport violent et peu attrayant. Cependant, au-delà de la compétitivité et de la performance physique, le rugby est un moment de partage, de rencontres et d’amitié.

Les joueurs du lycée Descartes se sont retrouvés à la gare d’Agdal, puis ont été rejoints par ceux qui allaient les mener à la victoire ; les deux entraîneurs, Vincent Chommeloux (alias « Le V ») et Nicolas N’Guyen, Nico pour les intimes.

La tension et l’appréhension de ne pas faire une bonne première impression et performance, régnaient parmi les membres de l’équipe. Une fois à l’aéroport, la peur est redescendue et le voyage pouvait commencer. Grâce à un simple ballon ovale, les premiers mots ont pu être échangés avec les joueurs, qui me posèrent leurs nombreuses questions sur ma présence parmi eux. Le vol lui aussi a été calme, certains on fait une sieste et d’autres parlaient tactique.

Le soir de notre arrivée, nous avons été répartis dans des familles d’accueil qui ont pu nous faire partager leur vie du quotidien au pays du jasmin. Quant à moi, le coach du Lycée Gustave Flaubert de La Marsa (LGF ou Lycée Cailloux), une équipe qui allait affronter le lycée Descartes durant le tournoi m’a accueillie. J’ai pu rencontrer ses joueurs, curieux eux aussi d’en apprendre plus sur notre vie dans un autre pays du Maghreb.

Ce soir-là, tous les joueurs se sont couchés tôt pour pouvoir se rendre sur le terrain et aller au « contact ». Le réveil, lui, était compliqué pour beaucoup et la sensation de vacances fût vite remplacée par l’objectif de tous les joueurs ; la victoire.

Après une visite d’un petit village côtier en banlieue de Tunis, les élèves sont montés danse bus en direction de Nabeul. Le bus était animé par les rires, blagues et par la musique. En arrivant devant l’hôtel, les premières chambres se formèrent et une fois les valises posées, il n’était pas encore temps de se reposer.

Les rugbymen et rugbywomen se préparaient pour leur premier entraînement de la rencontre la veille du début de la compétition. De mon côté, je suis allé à la rencontre des coachs, des organisateurs et des joueurs qui nous accueillaient en Tunisie, mais surtout des Jeunes Reporters Internationaux (JRI) tunisiens. Cette préparation avant le début du tournoi était cruciale, en effet le journalisme sportif et la couverture médiatique d’évènements sportifs est, la plupart du temps, un réel « casse-tête ». Sans une organisation minutieuse et une répartition des tâches parmi les JRI, beaucoup d’images et de moments peuvent êtres loupés. Nous nous sommes donc répartis les rôles et les taches à effectuer tout au long de la rencontre.

Après les entraînements, certains allèrent sur la plage ou visiter l’hôtel et d’autres ont pu faire une sieste bien méritée. La soirée a été plutôt calme et la fatigue du voyage se faisait encore ressentir par les joueurs. Tous se couchèrent tôt pour être en forme et prêts à donner tout ce qu’ils avaient dans le ventre.

Au réveil, pas un mot. Certains se préparaient pour les matchs qui allaient décider de leur classement et donc de leur chance de gagner, d’autres paraissait confiants et en profitèrent pour aller à la rencontre des autres équipes.

A 8h30 les élèves de Descartes firent un rapide briefing au bord de la piscine, le rêve. Mais la piscine allait rester vide jusqu’à la fin des matches, après l’effort le réconfort ! De toute façon tous étaient dans leur bulle ou écoutaient « le V » et ne faisaient même pas attention à cette dernière, presque tous…

Après ce briefing, il était temps de se rendre sur le terrain et se préparer pour le premier match. Descartes allait affronter LGF, les anciens détenteurs du titre de gagnant de la première édition du Tournoi de l’Oued.

Les premiers matchs se déroulèrent sans soucis. Dans certains camps régnait la joie et dans d’autre la tristesse des premières défaites. Garçons comme filles firent des matchs impressionnants et des actions digne d’un grand tournoi. Mais la journée n’était pas finie, en rentrant, les moins fatigués se ruèrent vers les toboggans aquatiques. Malgré l’eau froide et le vent, les glissades s’enchaînèrent.

Le lendemain au programme, les derniers matchs de poule et l’annonce des demi-finales. Tous se donnèrent à fond pour avancer dans le tournoi. Malgré les défaites, la bonne ambiance prit le dessus et en rentrant à l’hôtel ce soir-là, les équipes victorieuses firent la fête, mais pas trop, il faut garder des forces pour la dernière journée.

Le dernier jour, le stress était à son comble. Quand les premières demi-finales se finirent, un méchoui attendait les joueurs, qui étaient ravis de manger tous ensemble autour d’un même repas. Les finales féminines et masculines furent toutes deux un véritable spectacle, sur le terrain mais aussi en dehors. Pour finir les deux équipes de Nabeul remportèrent le tournoi.

Malgré les défaites, ce soir la, tout le monde était content et tous fêtèrent la fin de ce tournoi. Au final en rentrant au Maroc, nous avons tous gardé en mémoire les moments durant lesquels les élèves ont pu s’affronter mais aussi se réunir, autour d’un même sport, une même passion, le rugby.

Zaid El Warzazi 2nd/B

L’amour impossible et le poète…

A Cassandre

Mignonne, allons voir si la rose
Qui ce matin avait déclose
Sa robe de pourpre au Soleil,
A point perdu cette vesprée
Les plis de sa robe pourprée,
Et son teint au votre pareil.

Las ! voyez comme en peu d’espace,
Mignonne, elle a dessus la place
Las ! las ses beautés laissé choir !
Ô vraiment marâtre Nature,
Puis qu’une telle fleur ne dure
Que du matin jusques au soir !

Donc, si vous me croyez, mignonne,
Tandis que votre âge fleuronne
En sa plus verte nouveauté,
Cueillez, cueillez votre jeunesse :
Comme à cette fleur la vieillesse
Fera ternir votre beauté.

Pierre de Ronsard, Les Odes

Présentation du poème :

Pierre de Ronsard était un poète du XVIème siècle. En 1547, il rencontre Joachim du Bellay, les deux hommes de lettres deviennent rapidement inséparables et constituent la Brigade, qu’ils rebaptisent la Pléiade en 1553. En 1553, Ronsard publie ses Odes, un recueil poétique. Ce recueil met grandement en valeur Cassandre Salviati, une jeune femme dont le poète est fortement épris.

Parmi cet ouvrage, une œuvre attire particulièrement l’attention, il s’agit de l’ode : « Mignonne, allons voir si la rose… ». Ce texte est composé en octosyllabes, ses rimes suivent la structure aabccb et il s’inspire profondément de Pétrarque. En effet comme Pétrarque s’adresse à Laure, Ronsard apostrophe sa Cassandre au début de son ode. Ce procédé nous donne l’impression d’intégrer la sphère privée de l’auteur et d’ainsi avoir l’impression d’écouter des mots qui ne sont en aucun cas dédiés au public. Le poème traduit un univers lyrique du fait de l’amour impossible et inatteignable que le poète ressent pour Cassandre, représentée comme un élément de désir important. Pour illustrer son poème et représenter Cassandre de la plus fidèle façon, il la compare à une rose afin de montrer que la beauté intimement à l’âge de sa dulcinée est aussi temporaire la beauté d’une fleur.

Schneider-Reine Eva-Victoria

« Loved and were loved, and now we lie, in Flanders fields. »

Le poème ‘In Flanders Field’ de l’écrivain canadien, John McRae, a été publier en 1915 au lendemain du début de la Première Guerre Mondiale, en hommage à toutes les personnes perdues en Flandre, , lors des batailles acharnés, parmi eux son meilleur ami. Les champs en Flandre sont aujourd’hui couvert de vallées de coquelicots.

Le poème commence par la visualisation de coquelicots, qui certains comparent la couleur et forme aux marques de balles et sang qui transpercent le corps des soldats.

Les deux premiers vers de la première strophe : « Dans les champs de Flandre soufflent les coquelicots, Entre les croix, rang sur rang », permettent au poète de générer une autre comparaison avec les rangées de coquelicots aux rangées de croix de soldats morts.

Le deuxième et troisième vers de la deuxième strophe : « Nous avons vécu, ressenti l’aube, vu le coucher du soleil briller, Aimé et été aimé, et maintenant nous reposons, Dans les champs de Flandre », décrivent les soldats tels qu’ils étaient avant la guerre. Ils vivaient comme nous le faisons maintenant, sentant le soleil, aimant et étant aimés mais qui maintenant reposent en paix dans les champs de Flandre. Le poète ensuite espère créer de l’empathie entre le lecteur envers à quoi ressemblaient ces hommes avant d’avoir vécu l’atrocité de la guerre.

John McRae marque la fin de son poème en reprenant l’image de coquelicots et comparant leur croissance au temps qui passe et incite à ne pas oublier l’histoire marquante de ces soldats.

ELOUASBI Malak 2de B

Printemps des poètes 2022

Bonjour,

Voici une photo réalisé dans le cadre du printemps des poètes 2022.

Projet encadré par Mme Leibundgut et Mme Sentenac.

KADMIRI IDRISSI Yasmine.

La Planète des Singes : Une Exploration Captivante de l’Évolution et de l’Identité Humaine


  1. Présentation de la carrière de l’auteur : Pierre Boulle, né le 20 février 1912 à Avignon, était un écrivain français. Il est connu pour ses œuvres de science-fiction et d’aventure, et il a remporté le prix Goncourt en 1959 pour son roman « Le Pont de la rivière Kwaï ». Boulle a servi dans l’armée française pendant la Seconde Guerre mondiale et a été prisonnier de guerre pendant plusieurs années. Cela a influencé son écriture, notamment dans ses récits d’aventure et ses réflexions sur la nature humaine. Parmi ses œuvres les plus connues figurent « La Planète des Singes » (1963), « E=mc² » (1957) et « Le Jardin de Kanashima » (1970).
  2. Présentation de l’œuvre choisie : « La Planète des Singes » est un roman de science-fiction qui a été publié en 1963. L’histoire se déroule dans un futur lointain où des explorateurs terriens découvrent une planète habitée par des singes intelligents, tandis que les humains y sont réduits à l’état sauvage. Le roman aborde des thèmes tels que l’évolution, la nature humaine, la société et la relation entre les espèces. Boulle utilise une narration captivante et explore les différences culturelles entre les singes et les humains, remettant en question les certitudes et les valeurs humaines.

  1. Extrait caractéristique (Désolé je n’ai pas trouver comment faire un audio) : Voici un extrait d’une dizaine de lignes de « La Planète des Singes » :

« Au cours des premiers jours, j’avais presque réussi à me persuader que je vivais encore sur la Terre, qu’il s’agissait là d’un épisode invraisemblable de ma captivité ; mais maintenant, au bout de plusieurs semaines, j’avais dû me rendre à l’évidence, la découverte ne prêtait pas à deux interprétations. »

Cet extrait se situe au début du roman, alors que le protagoniste réalise lentement qu’il est sur une planète étrangère habitée par des singes intelligents. Ces quelques lignes illustrent la confusion et l’incrédulité de l’homme face à cette réalité inattendue. C’est un moment clé où le personnage principal est confronté à un bouleversement total de sa perception du monde. Cet extrait est représentatif de l’œuvre car il met en évidence le thème de la différence entre les espèces et les conséquences de cette découverte sur la compréhension de l’identité humaine.

  1. Justification du choix : Cet extrait a été choisi car il capture l’intrigue fascinante du roman, où l’on découvre progressivement que la planète est dominée par les singes. Il reflète également le sentiment d’étrangeté et d’incompréhension ressenti par le protagoniste et les lecteurs. C’est un moment clé où l’auteur parvient à créer une tension dramatique et à poser les bases de l’exploration des thèmes plus profonds

La philosophie de la jungle

Luis de Sepúlveda était un écrivain et journaliste chilien engagé. Ses œuvres les plus connues sont « Le Vieux qui lisait des romans d’amour » (1989), l’histoire d’un chasseur amazonien, ainsi que « Le Monde du bout du monde » (1994), inspirés de ses voyages en Patagonie. L’auteur est exilé suite au coup d’État de 1973, il défendait les droits de l’homme et l’environnement, des sujets très présents dans ses ouvrages. Luis de Sepúlveda est décédé le 16 avril 2020 à l’âge de 70 ans dû à la Covid-19.

« Le vieux qui lisait des romans d’amour » est un roman qui explore les thèmes de l’aventure, de l’amour de la nature et de la résistance face à l’oppression et au pouvoir et donc du rejet des systèmes hiérarchisés.

L’œuvre nous présente le protagoniste, un vieux chasseur, qui trouve refuge et inspiration dans les romans d’amour, tandis que l’histoire révèle une critique sur les activités humaines et leur impact sur l’environnement, notamment la chasse des animaux sauvages.

Dans ce roman, Sepúlveda, mêle réalisme et fantastique, ainsi, nous pouvons considérer ce roman comme un conte philosophique. En effet, il présente un récit fictif avec une réflexion philosophique ainsi que des personnages et des actions qui reflètent ses pensées et opinions.

« Antonio José Bolivar ôta son dentier, le rangea dans son mouchoir et, sans cesser de maudire le gringo responsable de la tragédie, le maire, les chercheurs d’or, tous ceux qui souillaient la virginité de son Amazonie, il coupa une grosse branche d’un coup de machette, s’y appuya et prit la direction d’El Idilio, de sa cabane et de ses romans qui parlaient d’amour avec des mots si beaux que, parfois, ils lui faisaient oublier la barbarie des hommes. »

Cet extrait est la dernière phrase du roman. C’est la phrase va venir exprimer les pensées de Luis Seplúveda sur le braconnage et sur le non-respect de la forêt Amazonienne à travers le personnage principal ; Antonio José Bolivar. Ce roman a donc une morale à la fois politique et écologique à diffuser.

Un hypocondriaque au 17 ème siècle


1) L’auteur du « Malade imaginaire » est Molière, de son vrai nom Jean-Baptiste Poquelin, est née le 15 janvier 1622 à Paris et est décéder le 17 février 1673. Molière a mené une carrière en tant qu’acteur, dramaturge et directeur de théâtre. Il a commencé sa carrière comme comédien ambulant avant de fonder une troupe de théâtre en 1643, qui fera faillite quelques années plus tard. Plus tard, il rejoindra la troupe de l’hôtel de bourgogne et a continuer d’écrire et de jouer des pièces de théâtre. Certaines de oeuvres de Molière les plus connues et les plus importantes sont: Tartuffe en 1664, le Misanthrope en 1666 et l’Avare en 1668.

2) L’oeuvre que j’ai choisi est le « Malade imaginaire », qui est une comédie en trois actes écrite par Molière. Le sujet principale du « Malade Imaginaire » tourne autour d’Argan, le personnage principal, qui est hypocondriaque et pense être très malade ce qui le rend obsédé par sa santé. La pièce se moque de la médecine de l’époque. Les caractéristiques d’écriture qui sont utilisé sont l’humour pour décrire la médecine de l’époque et parler des mariages arrangés par les familles.

3) L’extrait que j’ai choisi ce trouve dans la scène 3 de l’acte 3, il commence à la page 107 à la ligne 115 et se termine page 108 à la ligne 128. Dans cet extrait Argan et Béralde débate sur le faite que les médecins de leur époques seraient peut être inutile car la plupart d’entre eux sont des arnaqueurs. Je pense que cet extrait est caractéristique de l’oeuvre car il parle d’une des thématiques principales de ce livre, la médecine de l’époque.

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