écriture libre _Figinimarine

Cela s’est passé entre 1849 et 1850, on me l’a annoncé le jour même de son décès. Il fallait que j’enterre monsieur Rosanot… Ma tristesse me hantait depuis des années que j’exerçais ce metier, je n’avais jamais organisé les funérailles d’un frere! Ce malheureux homme etait un frère pour tous les villageois. Il aidait tout le monde, dès qu’il y avait un soucis on pouvait compter sur lui. Tous etaient présents, personnes n’arrivaient à retenir ses larmes. Mouchoir à la main, j’essayais de rester courageux pour lire mon discours. A la fin de la cérémonie, je partis et pleura… La famille de Gerard Rosanot resta près de la tombe pour leur dernier adieu !

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