Ecriture libre_Clémentine PETREMANT

O cher père vous voir allongé dans ce cerceuil votre visage albâtre et sans émotion, dans vos vêtements etriqués et rapiécés me fait peine à voir.

J’aurais du m’y attendre, à l’aube de vos 90 ans la mort etait une évidence.

A force de faire votre besogne tout les matins, les rhumatismes vous tuaient eux aussi.

O mon père dans ma tête vous n’ête plus qu’un souvenire le cerceuil refermé, les larmes commencent à ruisseler le long de mes joues.

Adieu père mon confident, mon meilleur ami.

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