Le Volcan, ça crache du feu… et des ami(e)s !

Les contes africains au Muséum d’Histoire naturelle

LES CONTES AFRICAINS AU MUSEUM D’HISTOIRE NATURELLE

Compte-rendu de Falya après la sortie consacrée au conte africain au Muséum d’Histoire naturelle

Le jeudi 21 décembre, ma classe et moi nous sommes allées au Muséum d’Histoire Naturelle pour faire une activité sur le thème de l’Afrique.

Mme Lunel, notre professeure de SVT et Ibrahima, un AP nous ont accompagnées en l’absence de notre professeure de Français.

Cette sortie était en rapport avec le spectacle « LaBaoula » que nous avons vu en début d’année.

L’activité portait sur les contes africains et consistait à finir une histoire qu’une dame nous a lue.

Pour commencer, elle nous a parlé d’événements qui se produisent en Afrique (les feux de brousse, les fêtes, les rencontres…) et des lieux comme la place du village, un point d’eau, les cases…

Elle nous a aussi parlé des différents personnages (la femme, le danseur, les enfants…), des objets fréquemment utilisés là-bas comme le balafon (instrument de musique), la cuillère à calebasse, les tissus…

Elle nous a aussi dit que quand les griots (personnes qui racontent de vieilles histoires ou des mythes) racontent les histoires, les animaux comme le serpent, la hyène, l’âne, etc. avaient d’autres noms et leurs caractères étaient changés.

Elle nous a aussi dit que quand un griot meurt et qu’il n’avait pas transmis ses histoires à ses enfants c’était une bibliothèque qui partait en même temps.

Une fois que la dame nous a lu l’histoire, elle nous a fait tirer au sort des cartes de 4 paquets différents. Le premier c’était sur les lieux, le second c’était sur les personnages, le troisième c’était sur les événements, le quatrième c’était sur les objets. Elle nous a aussi demandé de choisir un chiffre entre 1 et 7 et ça c’était pour les animaux.

Puis nous avons dû inventer la fin de l’histoire.

Ensuite nous avons raconté devant le reste de la classe notre histoire, puis la dame nous a raconté la fin de l’histoire qu’elle avait commencée.

Après tout cela, nous sommes repartis avec nos histoires à la main.

Falya