Se préparer au blackout ?

Nous sommes dans un cercle vicieux avec le climat, alors revenons aux origines. Au début, il y a eu l’été très chaud (à cause du réchauffement climatique), entrainant de nombreuses tornades et, ce serait trop compliqué à expliquer, mais les tornades entrainent le froid derrière elles. Alors l’hiver sera froid et, si l’hiver est froid, on met le chauffage encore plus fort. Ainsi, on dépense plus d’électricité pour se chauffer, et nos réserves s’épuisent.

Il y a surtout la guerre en Ukraine qui entraine cette pénurie d’électricité : comme la France soutient l’Ukraine, les Russes, nous fournissant le gaz qui permet de produire de l’électricité, ne veulent plus nous en vendre.

Remonter aux origines nous a permis de déduire que l’éventuelle pénurie d’électricité à laquelle nous risquons de faire face est liée à la guerre en Ukraine et à l’hiver froid qui empire la situation (lui-même lié au réchauffement climatique). Maintenant que nous savons d’où ça vient, entrons dans le vif du sujet : quelles activités et quels bâtiments seront touchés s’il doit y avoir des coupures de courant ?

Les hôpitaux, les prisons, les commissariats et les installations militaires seraient exclus des sites pouvant être impactés. Mais à l’échelle de notre collège ? Et bien dans le cas où il y aurait des coupures d’électricité, notre collège (et d’autres établissements scolaires) pourraient être privés de courant. Dans ce cas là, il n’y aurait pas cours le matin. Mais ce n’est pas pour autant une solution : comment fera-t-on le mercredi si nous avons une activité l’après-midi ? Et comment rattraperons-nous tous les cours, à moins qu’ils aient lieu le week-end, mais tout le monde ne sera pas forcément disponible ! Et pourrons nous les rattraper en visio s’il n’y a pas d’électricité ? Bref, il n’y a pas de solution réelle et toute la ville, et même toute la France sera concernée.

Pas de panique, pour ces coupures d’électricité, il n’y a rien de sûr ! Les médias et le gouvernement ne font que préparer la population à cette possibilité, il faut juste se tenir prêts. Si jamais cela se produisait, ça aurait lieu aux alentours de janvier.

Ce qu’il faut comprendre, c’est que notre monde est en crise ; entre les guerres que l’on ne compte plus et le réchauffement climatique, on croirait voir l’apocalypse arriver.

Esther

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *