Pour ou contre les réseaux sociaux ? Une réelle question en 2022. Notre génération a grandi avec Internet et toutes ses nouveautés et les réseaux sociaux ont beaucoup impacté notre quotidien. Effectivement, car le premier réseau social est sorti en 1997, alors ça commence à dater…
Je pense que les réseaux sociaux ont du positif et du négatif à offrir, il faut doser et prendre les informations qu’on y trouve avec des pincettes. C’est notamment pour ça qu’il faut normalement avoir au moins 13 ans pour avoir un réseau social (ou, si on est plus jeune, avoir l’autorisation de ses parents). Cette loi datant de 2018 a été instaurée pour éviter les problèmes dus aux réseaux tels que le cyber-harcèlement (harcèlement en ligne) dont les victimes sont souvent jeunes, et pour également éviter la diffusion d’informations personnelles d’une jeune personne, ce qui pourrait nuire à sa réputation dans son futur. Elle a été instaurée par ailleurs, car on estime que les adolescents de 13 ans ou plus ont une certaine maturité et sont capables justement de ne pas prendre au pied de la lettre les informations qu’on trouve sur ces plateformes, et ne vont pas poster des informations qui pourraient leur nuire.
Les réseaux peuvent devenir très addictifs, usant pour le cerveau et la confiance en soi. Ce sont des données vraies qu’il faut prendre en compte lorsqu’on s’inscrit sur un réseau social. Il faut avoir cette forme de maturité dont j’ai parlé un peu plus haut qui est indispensable pour le bien-être.
Mais les réseaux sociaux ont de nombreux points positifs tout de même ; ils sont bien évidemment amusants et divertissants. Les réseaux sont un outil pour se faire connaître si on souhaite présenter son travail ou ses œuvres, par exemple si nous sommes des artistes. C’est un moyen de diffusion international très pratique, pour partager ses idées mondialement. C’est un moyen très efficace de faire circuler des idées et des mouvements, par exemple le mouvement féministe « Balance ton porc », ou celui de « Black Lives Matter » (d’ailleurs de multiples influenceurs ou utilisateurs de TikTok ont mis en profil le logo de Black Lives Matter, le point noir levé pour soutenir ce mouvement). Les réseaux sociaux sont donc des lieux opportuns au partage d’idées, de mouvements, de trends et de dénonciations de faits. Si un influenceur qui possède beaucoup de visibilité, dénonce ou supporte une cause qu’il partage à sa communauté, de nombreux followers vont être touchés et vont, à leur tour, soutenir ce mouvement.
Bref, j’espère que ça vous aura plus ou moins aidé, que vous soyez enfant ou parent. Le dernier conseil que je pourrais vous révéler c’est de ne pas trop rester fermé à une idée, essayer d’y voir les points positifs ou au contraire d’y trouver des points négatifs, c’est l’ouverture d’esprit, car à l’heure actuelle rien n’est parfait.
Louise
