L’exposition ”Size doesn’t matter”

J’ai visité l’exposition  à l’Abbaye aux Dames : « Setomaa, un royaume sur le fil » et j’ai décidé de décrire l’mage qui m’a plu.

Tout d’abord on peut dire que cette exposition est consacré à la vie en Russie et en Estonie. Il y en a plein de photos qui me semblent très intéressantes et proches.

J’ai choisi le photo : »Estonie, janvier 2015″ parce que cette image me fait penser de mon pays natale car dans mon pays il y a beaucoup de neige en hiver. Le forêt est aussi un élément très important dans la nature de mon pays, et comme en Estonie, il y a beaucoup de bouleaux en Russie.

Grace à cette exposition, j’ai appris que la culture et la nature de l’Estonie et de la Russie sont très proches et j’ai bien aimé toutes les images de cette exposition.

Col Rodeva IV 1996

IMG_2179

Au musée des Beaux Arts on a choisi l’oeuvre qui s’appelle  » Col Rodera IV ». L’oeuvre assemble quatre images qui forment ensemble une grande oeuvre.

Quand nous avons vu cette oeuvre on s’est toutes arrêtées pour la regarder. Au premier coup d’oeil on voit seulement du blanc avec des petites choses noires. Mais quand on a commencé à regarder plus soigneusement et plus attentivement les images, on peut voir beaucoup d’éléments très petits, par exemple des petites maisons, des arbres, des lignes pour les skieurs et la montagne. L’oeuvre est vraiment la vraie nature parce que c’est une oeuvre photographique. Il y a vraiment des couleurs très simples, blanc et noir. Mais on trouve qu’en ce moment c’est le style moderne. On utilise beaucoup des photos simples avec des couleurs simples. C’est aussi très intéressant parce que l’oeuvre est construite avec quatre photos, une image ne suffit pas, on a besoin de toutes les quatre.

Heini a dit toute suite que ça ressemble à chez elle en Laponie en Finlande. Parce que souvent quand elle  fait du ski dans la colline il n’y a pas toujours de soleil. Parfois c’est tout blanc partout comme dans l’image, on ne peut pas faire la différence entre le ciel et  la colline.

Daria a dit aussi que le paysage est aussi très typique de la Russie parce qu’il y a beaucoup de neige et des montagnes pour faire du ski et l’oeuvre pousse à réfléchir.

Paulina a dit qu’elle aime bien la neige mais elle ne peut pas faire de ski. Il n’y a pas des montagnes à côté de chez elle. Mais elle aime aussi cette oeuvre parce que à partir de ces quatre petites oeuvres on s’arrête et on réfléchit à ce qu’on peut voir dans l’image.

En totalité, le travail en groupe était bien mais pas facile. Nous avons toutes  différentes opinions de l’art et de ce qui nous plaît. Pour ça nous avons pris plusieurs photos de différentes oeuvres et à la fin nous avons choisi la photo qui nous plaît à toutes. Nous avons choisi cette oeuvre parce que nous nous sommes toutes arrêtées devant l’oeuvre pour la regarder et prendre le temps de l’explorer. On trouve que c’est magnifique, très simple mais aussi très intéressant.

 

Daria, Paulina et Heini

Musée aux Beaux-Arts

14799037_556046837926755_1789517910_n

La plage de Villerville, (1876) de Antoine Guillemet

Pendant notre visite au musée aux beaux-arts nous avons trouvé beaucoup d’œuvres très intéressantes qui nous ont amenées à réfléchir mais aussi quelques-unes qui ne nous ont pas plu. Finalement nous avons choisi une œuvre d’ Antoine Guillemet qui s’appelle « la plage de Villerville ». Cette peinture impressionniste a un fort impact sur ceux qui la regardent. Ce n’est pas seulement parce que l’œuvre est très grande mais aussi parce que les coups de pinceau sont très précis et clairs. Quand on regarde cette image, on a l’impression d’ y être vraiment . On dirait que que nous sommes à la plage. La marée baisse lentement et les nuages de plombs s’épaississent. Pourquoi avons-nous choisi cette image parmi plusieurs œuvres ? D’une part la peinture de Guillemet montre un paysage de  Normandie, donc ça c’est quelque chose que nous partageons. D’autre part les couleurs et le style d’impressionniste sont fascinants. Les couleurs appliquées sur cette immense toile ont une signification particulière : le noir est une couleur controversée qui dans un sens inspire l’autorité et la puissance et de l’autre désespoir et  tristesse. Le tableau est peint à la gouache et ça a  une signification profonde pour le peintre : signifie un espoir de changement, signifie bien la foi dans la peinture et dans le fait que  l’artiste peut changer la situation (politique, personnelle, amoureuse etc.)

Encadrer cette peinture a joué un rôle particulier dans la présentation de sa signification profonde. Cela offre la possibilité de comprendre et de découvrir les états  vécus par le peintre lorsqu’ il peint.

Ce fut une bonne expérience pour comprendre l’art de la beauté qui nous entoure mais  tout le monde ne parvient pas à transmettre son art de génération en génération.

Faire un choix n’était pas facile parce que nous avons différents intérêts et chacune définit l’art personnellement. Cependant nous sommes intéressées par les échanges de points de vue. De plus cela nous permet de réfléchir aux différentes opinions. C’était une bonne expérience pour réfléchir à l’interculturalité et à ce que l’art signifie pour quelqu’un d’autre que nous-même.

 

 

Victoria et Rebecca !

Les Tableaux „Untersberg” par Jim Dine

14713048_10211375896342604_5460755846979005719_oLes Tableaux „Untersberg” par Jim Dine

Nous avons choisi parmi plusieurs images la gravure sur carton ”The Historical Untersberg” réalisée par Jim Dine. Cette œuvre nous a fait arrêter un instant et penser au message que les trois panneaux pourraient transmettre et à la signifiance des images données. Nous l’avons choisi pas forcément parce qu’elles sont belles mais plutôt parce que nous les trouvons profondes, presque philosophiques et qu’elles portent un sens culturel. Le mot ‘Untersberg’ ce qu’on peut trouver dans chaque des trois peintures donne l’impression qu’il s’agit de quelque chose germanophone.Toutes les deux, nous avons marqué que l’ensemble de l’œuvre dénote une expression mystique, qui a éveillé plus de notre intérêt.
La recherche d’une image qui plait nous deux a pris un peu de temps mais en fin on a trouvé un œuvre avec qui nous sommes d’accord et qui nous trouvons très intéressant et qui nous a frappé. Le travail ensemble n’était pas très difficile parce qu’on a accepté l’avis d’autre et en fait c’était très intéressant de parler sur les goûts et les avis différents. Donc le travail ensemble nous a invitées d’avoir une discussion interculturelle par laquelle nous avons donné nos avis sur cette œuvre et nous avons essayé à déchiffrer le message des figures, des couleurs et de l’œuvre en général.

Dumi et Saskia

Notre oeuvre – Le Dénombrement de Bethléem de Pieter Bruegel

Dénombrement_de_Bethléem

La semaine dernière, nous sommes allés au Musée des Beaux-Arts. Il y avait beaucoup d’œuvres intéressantes, mais nous nous sommes focalisées sur celle  qui s’appelle « le Dénombrement de Bethléem ». Nous avons choisi cette œuvre parce qu’elle est pleine de situations autonomes et chacune raconte sa propre histoire. Pourtant, toutes les situations réunies donnent cette œuvre unique. Elle nous rappelle les images dans lesquelles les enfants doivent trouver des objets particuliers. C’est la raison pour laquelle le thème de cette œuvre est difficile à trouver. On voit beaucoup de gens devant la maison à gauche. Qu’est-ce qu’ils font ? Le titre de l’œuvre « le Dénombrement de Bethléem » éclaircit le sujet.

L’histoire est bien connue : Marie et Joseph cherchent un hébergement pour passer la nuit. Normalement, l’histoire est racontée au point de vue de Marie et Joseph. Mais cette œuvre nous montre l’histoire d’un point de vue neutre et omniscient. En comparaison avec les cadres religieux, Pieter Bruegel l’Ancien ne met pas les parents de Jésus au centre de l’œuvre. Ils sont peints comme les autres gens n’ayant ni auréole, ni vêtement différents. On les reconnaît puisque Marie est assise sur l’âne et Joseph porte ses outils de charpentier. Il faut se demander pourquoi il les a amenés. Est-ce qu’il a travaillé pendant le voyage en échange d’un repas ?

A première vue, l’œuvre a l’air très authentique : C’est un jour ordinaire à Bethléem. Les gens ne remarquent point Marie et Joseph. Mais regardant plus précisément, on se demande s’il y avait des telles maisons et s’il neigeait à Bethlehem. Sur internet, on trouve que le peintre a mis la scène dans son époque et sa région. Si Marie et Joseph avaient vécu à l’époque de Pieter Bruegel l’Ancien, cela se serait  probablement passé comme peint sur cette toile.

Moi (Andrea), je trouve très intéressant que le peintre n’ait pas mis l’accent sur Marie et Joseph, mais sur la situation totale. En plus, le style du cadre me plaît et j’aime bien chercher les détails comme le cygne de l’enseigne, les enfants faisant une bataille de boules de neige ou les oiseaux à l’horizon.

À mon avis (Lisa), cette œuvre est aussi merveilleuse, parce qu’il y a beaucoup de neige dans la rue, mais dans le réel, il n’y a pas de neige à Bethléem. On peut dire que l’artiste apporte cette action ancienne de Bethléem dans le village contemporain de son temps dans un autre pays. J’aime aussi cette peinture parce qu’elle est différente des autres dans le Musée des Beaux-Arts puisque il y a beaucoup de couleurs et d’actions.

En conclusion, on peut dire qu’au musée, nous avons regardé les tableaux et discuté de leurs thèmes. Donc, on a choisi une œuvre dont on peut discuter et qui n’est pas trop cruelle. Après la visite, on avait une sélection de cinq ou six œuvres. Pour les raisons mentionnées ci-dessus, nous nous sommes décidées pour « Le Dénombrement de Bethléem ». En résumé, c’était sympa d’aller au musée et de travailler ensemble. C’est une bonne expérience !

Lisa et Andrea