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Wadjda
C’est l’ une jeune fille qui s’appelle wadjda. Elle porte des belles baskets et aussi un voile quand il y a un garçon et quand elle sort de chez elle.
Il n’y a pas d’ égalité entre les hommes et les femmes.
Wadjda n’a pas le droit de faire du vélo comme son ami. Et pourtant elle voudrait faire la course avec lui. Elle voit une bicyclette verte avec des pompons qu’elle voudrait acheter. Mais elle n’a pas assez d’argent.
A l’école, il y a une compétition de récitation du coran où elle peut gagner 1000 riyals. Grâce à une vente de bracelets qu’elle fabrique, elle s’achète un jeu pour s’entraîner et gagner le concours.
Elle gagne le concours et elle dit ce qu’elle va acheter avec le prix à la directrice qui n’est pas d’accord. La directrice donne l’argent à une association.
Finalement, c’est la mère de Wadjada qui lui offre le vélo.
Il faut aller voir ce film pour comprendre ce qui se passe que dans certain pays.
Alexian 6e1
Wadjda
Wadjda
Wadjda est une fille de 12-13ans. Elle vit en Arabie Saoudite.Wajda est têtue et elle a des baskets violettes. Elle ne fait que quitter son foulard, dans son pays les femmes n’ont pas les mêmes droits que les garçons, elles ne doivent pas montrer leur visage.
Elle rêve d’avoir un vélo mais dans son pays il est interdit de faire du vélo quand on est fille.
Les hommes religieux disent que ça empêche d’avoir des enfants mais elle veut quand même avoir son vélo. Alors elle décide de participer à un concours de récitation et connaissance du Coran. Elle gagne ce concours et recevra donc 1000 rials. La directrice ne veut pas lui donner son argent car la jeune fille a dévoilé son désir d’acheter un vélo.
A la fin sa maman lui achète sa bicyclette.
Regarder ce film car il est trop bien.
Dans ce film on montre qu’ il manque d’égalité.
Aïssatou 6e1
Parvana
Parvana est une fille comme les autres mais elle habite en Afghanistan précisément à Kaboul.
Dans son pays, Il y a la guerre. Les femmes doivent être recouvertes d’un tissu bleu pour ne pas qu’on voit leur visage.
Le papa de Parvana a été emprisonné alors elle se coupe les cheveux pour devenir un garçon et avoir des droits.
Elle vit dans la rue sa copine d’école qui elle aussi a coupé ses cheveux. Toutes les deux, elles vont gagner un peu d’argent.
Parvana utilise son argent pour donner un pot de vin à la prison et ainsi récupérer son père.
Elle réussit à faire sortir son père mais malheureusement la guerre éclata de plus belle.
Nathan 6e1
ma présentation
J’ai fait cette lettre pour le lycée Guillaume Fichet de Bonneville pour me présenter aux mineurs isolés.
Bonjour
Je m’appelle Antoine, j’ai 13 ans, je suis français. J’habite à Bogève, c’est en montagne. Je suis grand, 1m70, je suis un faux blond, mes yeux sont bleus. J’adore le foot, le ski, je fais du ski freestyle (c’est des bosses). J’ai une moto-cross. Je fais de la moto chez moi, je fais des bosses.Plus tard, je veux être pelleteur pour creuser les fondations des maisons ou conducteur d’engins de travaux publics.
Antoine
Ma présentation
J’ai fait ce texte pour me présenter aux mineurs isolés du lycée Guillaume Fichet à Bonneville.
Bonjour, je m’appelle Ely. J’ai 13 ans, bientôt 14 ans. Je suis née en France mais j’ai des origines Italiennes du côté de ma mère. J’habite à la Roche, Amancy dans une maison. Physiquement, je suis blonde aux cheveux longs,aux yeux bleus, je suis très active, un peu agressive, quelquefois très sensible.
Ma passion est le ski et le handball, le ski est quelque chose qui est super cool parce que, quand tu y arrives bien, tu peux aller partout dans des endroits très beaux ! Le handball, c’est d’un côté pour mon plaisir et aussi me défouler. C’est grâce a ma demi-sœur que je l’ai découvert parce qu’elle en fait. Ma vraie sœur (Enola), elle, ne fait pas de sport, elle a 15 ans et ma demi-sœur a 16 ans.
Moi je ne sais pas encore ce que je veux faire plus tard comme métier, j’hésite entre plein de choses… Et après, au fil du temps, je m’en lasse.
Ely
Ma présentation
Je fais ce texte pour me présenter aux mineurs isolés au lycée Guillaume Fichet de Bonneville.
Bonjour, je m’appelle Camille et j’ai 13 ans.
Je suis d’origine française et j’habite à Bonneville. Je vais maintenant me décrire : j’ai les yeux marrons, de longs cheveux cheveux bruns, je porte des lunettes rondes et je mesure 1m58.
J’ai des animaux de compagnie. Un chien âgé de 5 ans et un chat âgé de 8 ans.
J’adore l’escalade mais les animaux sont ma passion première.C’est pourquoi plus tard, j’aimerais travailler auprès d’eux pour pouvoir en prendre soin.
Camille
Ma présentation
Nous faisons ce texte pour les mineurs isolés du lycée Guillaume Fichet pour mieux qu’on se connaisse.
Bonjour, je m’appelle Pierrick. J’ai 15 ans, j’habite à Bonneville et à Viuz en Sallaz. Je suis grand et costaud, je mesure 1m76. Je fais du foot à Ayze et je voudrais faire du rugby
et j’ai fait de la boxe thaïlandaise.
Mes origines sont suisse, allemande, portugaise, russe, algérienne. J’ai des animaux : j’ai 3 chiens, 4 chats, 1 python. J’ai un caractère colérique.
Mon premier projet professionnel est d’être cuisinier et mon deuxième est d’être coach sportif.
Pierrick
Ma présentation
Texte écrit pour les élèves mineurs isolés du lycée Guillaume Fichet
Bonjour, je m’appelle Damien. J’ai 14 ans, j’ai des origines française, suisse et serbe. J’habite à Vougy, je mesure 1m72 pour 53 kg et demi. J’ai les cheveux châtain clair, je suis beaucoup trop agité. Je fais beaucoup de vélo, ma passion, c’est les voitures, pour les admirer et pour les piloter. J’ai une chienne de 9 ans, elle s’appelle Ina. Mon film préféré, c’est » FAST AND FURIOUS « . J’ai commencé mon BSR, du 19 septembre au 6 octobre 2021 et je l’ai réussi. J’ai reçu mon permis le 8 novembre. Maintenant j’ai mon scooter, je l’ai reçu le 19 novembre et j’en suis très content. Plus tard, je voudrais être carrossier. Je voudrais redresser les tôles, les parechocs et surtout monter des postes.
Damien
projet avec EPDA de Bonneville
Avec l’EPDA de Bonneville nous allons faire des balades et nous occuper d’animaux dans une ferme. Le but pour la classe est de se vider la tête pour mieux travailler en classe après et surtout de créer des liens entre nous, de mieux nous entendre. Les animaux seront là pour nous rendre plus paisibles, plus autonomes, plus responsables.
Mardi 16/03/21 nous sommes allés jusqu’aux châteaux d’Allinges entre Bons en Chablais et Thonon. Ils ont été construits sur la colline d’Allinges dans le Chablais. Au sommet de la butte on a les ruines des deux châteaux, le château neuf et le château vieux ainsi qu’une chapelle du XIe siècle. La vue panoramique sur le lac Léman, le Jura suisse et français était magnifique.
Nous avons marché et couru sur un sentier pentu, parfois abrupt et glissant. Nous avons vu des moutons sur une des pentes, ils étaient là pour manger la végétation et entretenir les espaces verts. C’est plus écologique q
u’une débroussailleuse.
Tout le long du chemin il y avait des ruines des remparts.
Daniela et Romane, éducatrices de l’EPDA, ont organisé cette sortie et nous ont accompagnés. Elles nous ont indiqué les règles à respecter pendant la balade et nous ont demandé notre avis sur cette sortie. Nous avons réussi à parler et à nous écouter sans nous couper la parole.
Texte rédigé collectivement en classe.
Julie La balade était bien car on n’avait vu jamais des ruines comme cela en vrai et les documents sur la chapelle du XIe siècle étaient intéressants.
Mehdi J’ai trouvé le château assez beau même si son architecture est ancienne. J’ai bien aimé le paysage qui changeait de ce que je vois d’habitude.
Léo La chose la plus importante pour moi était le drapeau de la Haute Savoie qui flottait au sommet de la butte. J’ai beaucoup aimé cette sortie même s’il y avait beaucoup de montées et que j’avais mal aux jambes.
Téo Jai été surpris par l’état de ruines du château. J’ai bien aimé cette sortie car nous ne nous sommes pas insultés.
Nicolas On avait une superbe vue sur l’horizon et le lac Léman et c’est ce que j’ai préféré.
Perle Les ruines du château m’ont fait réaliser qu’il y avait des gens avant nous et qu’ils se débrouillaient sans technologies.
Sortie à la Clusaz pour rencontrer Yannick Bestaven
Madame Pochat avait lu sur le journal que Yannick Bestaven était à La Clusaz depuis une semaine, elle en a parlé avec Madame Bianchin pour nous organiser une sortie pour le rencontrer (cela s’est fait en même pas une journée). Du coup, nous sommes allés à la Clusaz avec le même bus qui nous avait emmenés en Vendée mais avec Pascal, un autre chauffeur, pour rencontrer Yannick Bestaven le vainqueur du Vendée Globe 2020. On est arrivés à 10h45 et on a attendu dans la file d’attente. Pendant qu’on attendait, l’attachée de presse de Yannick Bestaven est venue nous interpeller pour nous demander si c’était nous le collège et nous dire que nous allions bien le rencontrer. Nous somme entrés 5 par 5 à cause des restrictions sanitaires. En classe, juste avant le départ en bus, nous avions préparé un petit texte lui expliquant qui on était, d’où on venait et ce qu’on faisait ici. Andréa du premier groupe a lu le texte et le deuxième groupe a pu poser une des cinq questions que nous avions écrites. Il nous a dédicacé des posters et la carte sur laquelle on suivait la course du Vendée Globe en classe. Il a été très gentil avec nous, il s’est intéressé à ce qu’on avait fait pour le rencontrer. Il a trouvé ça super qu’on ait suivi la course et nous a remerciés pour l’avoir suivi.
Heinrick du deuxième groupe a lu la question » Que diriez-vous à des jeunes comme nous ? ».
Yannick Bestaven a répondu qu’il fallait toujours croire en ses rêves.
Andréa et Seska
Mon séjour en Vendée
Merci pour ce voyage extraordinaire, c’était génial, ça a été le plus beau voyage.
Je tiens à remercier Andréa ma camarade d’avoir été là avec moi tout au long du voyage. Grâce à ce séjour, nous sommes désormais beaucoup plus proches, c’est une nouvelle amie.
Je voudrais aussi remercier Mme Pochat et Mr Burgun de nous avoir aidés à faire ce voyage magnifique.
Malheureusement, il n’y avait pas Julie, Téo, Sadio et Mehdi mes camarades de la classe de 4ème1.
Cela été une très belle semaine, les professeurs ont été géniaux avec nous tout le long du séjour.
Merci M. Maurel pour les 4 films, merci M. Pignon de nous avoir imité Mme Depreux, pour nous faire rigoler. Et aussi un grand merci à Mme Depreux pour ce voyage fantastique.
Grâce à ce voyage, j’ai pu améliorer mon langage et découvrir des aliments que je n’avais pas l’habitude de manger comme les légumes.
Je voudrais aussi remercier Eric, le directeur du centre, Samuel notre animateur nature et Clara animatrice, de nous avoir reçus.
Depuis mon retour, je note que je dis un peu moins de gros mots et je fais un peu plus attention à ce que je fais.
Ce séjour m’a donné conscience que j’étais une fille et non un garçon.
Perle
Le budget pour une participation au Vendée Globe
Un projet pour un voilier monocoque de 60 pieds Open, c’est un budget de 3 millions d’euros en moyenne.
Pour info, les voiliers ne sont pas tous neufs. Et plus ils sont anciens et moins ils sont chers. Et plus ils sont neufs plus ils sont chers.
Un voilier neuf coûte entre 5 et 7 millions d’Euros. Un vieux voilier coûte moins de 1 million d’Euros.
Participer à la course à la voile du Vendée Globe représente un budget de 3 millions d’Euros, qui est très inférieur à celui du foot (490 millions d’Euros pour le Paris Saint Germain) ou celui de la formule 1 (453 millions d’Euros pour une seule équipe), celui d’une équipe de rugby professionnelle (31 millions d’Euros), de la plus grosse équipe de cyclisme professionnelle en 2015 (20 millions d’Euros) ou d’une grande équipe de hand-ball (16,5 millions d’Euros).
Le Vendée Globe est moins cher que le foot, le hand-ball, la Formule 1, le cyclisme, le rugby. En plus, peut-être que c’est moins cher mais au moins les navigateurs risquent leur vie alors que les footballeurs ne risquent pas grand-chose.
Le prix du bateau est cher mais il donne beaucoup de travail à de nombreuses personnes dont l’architecte qui a dessiné le bateau et le chantier de construction où le bateau est construit. Le navigateur est tout seul pendant la course sur son bateau mais il y a des routeurs (ceux qui les aident pour le parcours) et les personnes pour la météo. Toute une équipe est avec lui.
Ce n’est pas parce que le bateau est moins neuf qu’il ne va pas gagner, il y a des exceptions comme cette année avec Jean Le Cam qui a fini 4ème du Vendée Globe.
Mehdi et Bruno
L’abécédaire du séjour en Vendée
A comme Amitié : Le séjour a permis de rencontrer des élèves qu’on ne connaissait pas bien.
B comme Bateau : Voir les bateaux, c’était génial !
C comme Chambre : Elles étaient grandes et avaient beaucoup d’espace.
D comme Dalin : Il est arrivé le premier le mercredi soir à 20h35.
E comme Excitation : On était excités d’arriver au Centre du Porteau le lundi soir.
F comme Films : Chaque soir, on résumait notre journée dans un film créé sur la tablette avec M. Maurel.
G comme Galet : On a marché sur des galets au bord de l’océan.
H comme Histoire : Samuel nous a raconté une histoire sur les huîtres.
I comme Imiter : M. Pignon a imité Mme Depreux et il le faisait très bien.
J comme Jeu : On a joué tous ensemble au Mimtoo.
K comme Kilomètres : Le trajet faisait 766 km.
L comme Loulou : Le surnom que Mme Depreux donnait à son navigateur chouchou, Louis Burton.
M comme Montrer : On a montré aux autres tout ce qu’on avait pêché.
N comme Neige : Il y en avait partout quand on est partis de haute-Savoie.
O comme Océan : On était nombreux à le découvrir.
P comme Pollution : Il y a beaucoup de déchets au bord de l’Océan.
Q comme Quiz : Un jeu qu’on a fait tous ensemble la dernière soirée.
R comme Randonnées : On en a fait une à Port-Bourgenay et l’autre au Puits d’Enfer.
R comme Respect : Il y en a eu beaucoup entre nous tous.
S comme Souvenir : On n’oubliera jamais ce séjour aux sables d’Olonne.
T comme Téléphone : On s’en est très peu servi.
U comme Urticante : Certains animaux aquatiques rejettent un substance qui démange lorsqu’on les touche.
V comme Voiliers : On en a vu arriver trois.
W comme… X comme … Y comme…
Z comme Zen : Calme, pas d’insultes.
(Séquence de Français, initiée en binômes puis en groupe classe. Choix collégial des mots et des phrases choisis.)
Lettres des 41 et des 31 à Eric Marianne (directeur du Centre du Porteau)
Bonjour Eric ,
Nous sommes les élèves de 4ème 1 du collège Karine Ruby à St Pierre en Faucigny. 
Nous avons passé un séjour dans votre centre de vacances pour voir l’arrivée des navigateurs du Vendée Globe. Nous avons bien mangé et nous avons découvert des spécialités culinaires de Vendée. Nous avons bien dormi dans des chambres grandes et bien équipées. L’équipe du centre qui nous accueillis gentiment nous a appris de nouvelles choses en sciences (Flotte ou Coule), en navigation, en ostréiculture. Nous avons adoré les balades sous la pluie, les recherche de fossiles, marcher au bord de l’océan. Le jeu des mimes était très drôle. Grâce à vous, notre semaine sera inoubliable. Vous avez toujours été soucieux de notre bien-être.
Nous vous remercions infiniment vous et votre équipe pour cette semaine fantastique.
Nous vous souhaitons une bonne continuation.
La classe de 4ème 1
Bonjour Monsieur,
Nous sommes les élèves de la 3ème 1 du collège de St Pierre en Faucigny et nous sommes venus du 25 au 29 janvier 2021. 
Nous vous remercions de nous avoir accueillis dans votre établissement. Nous avons pu y découvrir une belle vue sur l’océan et un magnifique coucher de soleil. Grâce à Clara, nous avons découvert que même le métal peut flotter. Avec Samuel, la vie des animaux marins notamment les huîtres n’a plus de secret pour nous. Le chef nous a préparé de bons plats avec des spécialités de Vendée : le jambon, les huîtres, la gâche. La femme de ménage s’est occupée de nos chambres, surtout celle d’Heinrick. Le centre et le personnel sont tellement accueillants que nous aimerions y retourner mais en été pour nous baigner et pour avoir plus de soleil.
Eric, nous vous remercions pour tous ces agréables moments passés tous ensemble.
Nous vous souhaitons une bonne continuation et bien sûr du beau temps.
La classe de 3ème 1
Les bateaux du Vendée Globe 2020
Le Vendée Globe n’accueille qu’une seule et unique catégorie de bateaux « les Imocas ». Les dimensions de ces bateaux sont très précises :
La longueur de la coque est de 18,28 mètres.
La hauteur du mât est de 28 mètres.
La profondeur de la quille est de 4,5 mètres.
La largeur est de 5,70 mètres
Le poids de la quille est de 7,8 tonnes.
En moyenne la surface de voile utilisée est de 300 m² , ce qui correspond à la surface d’une petite supérette. Avec le Spi, 400 m² à lui tout seul, on peut monter à 600 m² de surface .En plus, certains bateaux sont équipés de foils qui leur permettent de « voler ». Ces foils ressemblent à de grandes moustaches qui sont sur les deux côtés du voilier. Ils permettent d’aller plus vite dès que le vent est plus fort et les bateaux peuvent grâce à eux atteindre jusqu’à 38 nœuds (environ 70 km/h) en pointe, contre 35 nœuds (64 km/h) pour ceux dépourvus de foils. Les foils augmentent la largeur du voilier (une fois sortis, elle peut atteindre 14 mètres). mais ils sont très fragiles et peuvent être heurtés par des OFNIs (objets flottants non identifiés). Beaucoup de navigateurs ont eu des problèmes lors de cette édition du Vendée Globe.
Lorsque que je les ai vus, j’ai été très surpris car je ne pensais pas que c’était aussi grand et aussi large. Ce qui est dingue, c’est qu’une seule personne dirige cet aussi grand bateau.
On a eu de la chance d’en voir en vrai.
Bruno
Nos impressions
Tous les soirs, nous résumions notre journée avec notre top et notre flop. Si bien qu’à la fin de la semaine, les élèves ont voulu le faire aussi mais pour tout le voyage. Rien de mieux qu’un trajet de plus de 10 heures pour récolter des impressions.
Voici donc comment l’équipe a vécu son séjour.
Michel P.
Top : L’après-midi du jeudi 28 janvier (skippers/ randonnée et soirée)
Flop : Les conditions sanitaires et à un moindre niveau la météo qui a entravé notre capacité de mouvement
Moment le plus drôle : la dernière descente à l’Océan et les élèves qui profitent des vagues
En un mot : Optimisme
Michel M.
Top : Le partage quotidien avec les élèves et les adultes – Le plaisir d’être là.
Flop : Une météo parfois capricieuse qui nous a parfois obligés à écourter les activités
Moment le plus drôle : la soirée jeu
En un mot : Océan
Catherine D.
Top : Vivre émotionnellement l’arrivée d’un skipper du Vendée globe pour tout ce que cela représente dans notre projet.
- Une joie partagée qui décuple les émotions
- Un sentiment d’aboutissement – avec toute la persévérance et la confiance d’une équipe
- Une chance inouïe et peut-être méritée
Flop : Ne pas avoir assez profité des moments libres près de la mer avant le repas à cause de la pluie
Moment le plus drôle : les élèves jouant au mimtoo – crises de rire assurées
En un mot : Partage
Top et Flop des quatrièmes
Amir
Top : Découvrir l’océan car être au bord de la mer me faisait penser au Maroc
Flop : De ne pas avoir mon téléphone pendant la nuit
Moment le plus drôle : Monsieur Maurel car il me faisait souvent rire pendant nos discussions
En un mot : Découverte
Bruno
Top : De voir les bateaux en vrai car avec monsieur Pignon j’ai suivi la course. Voir aussi le coucher du soleil le premier jour
Flop : Il me manquait des vêtements car ceux que j’avais mettaient du temps à sécher
Moment le plus drôle : Une bonne complicité dans mon groupe et les jeux dans les vagues
En un mot : Complicité
Nicolas
Top : D’avoir vu Damien Seguin dans le chenal car j’avais écrit un article sur lui et finir toutes les balades complètement trempé !
Flop : Les lits étaient un peu trop durs pour moi
Moment le plus drôle : Le dernier soir quand on a joué dans les vagues avec Matthias et Bruno
En un mot : Super
Léo
Top : La nourriture et le plus important les bateaux- c’était mon premier Vendée globe – l’activité flotte coule m’a vraiment beaucoup appris
Flop : Toute la semaine a été pluvieuse
Moment le plus drôle : Quand monsieur Pignon a fait semblant de pleurer
En un mot : Bateau
Perle
Top : Etre dans les chambres et pouvoir parler souvent entre nous
Flop : La pluie lors de la balade vers la plage aux fossiles – je déteste avoir froid et surtout j’avais passé ½ heure le matin à lisser mes cheveux
Moment le plus drôle : jouer à mimtoo dans la salle commune
En un mot : bonne humeur
Sufiane
Top : D’avoir vu les trois voiliers- c’était un moment de forte émotion car on n’était pas censé les voir
Flop : D’être tout le temps mouillé car mes vêtements mettaient trop de temps à sécher
Moment le plus drôle : Avoir été arrosé par les vagues le dernier soir
En un mot : Exceptionnel
Activités du jeudi 28 janvier après-midi
Cet après-midi, comme le temps devait être moins pluvieux que ce matin, nous sommes allés aux Sables d’Olonne pour commencer notre randonnée vers le Puits d’Enfer. Sur la route, nous avons aperçu par la vitre du car un voilier au loin. Comme il y avait des bateaux à côté, on a pensé que c’était un skippeur qui rentrait dans le chenal. Guillaume, notre chauffeur, a essayé de nous déposer au plus près et au moment où on a pu descendre, les trois skippeurs étaient en train d’arriver. En premier, l’allemand Boris Herrmann, puis en second le français Damien Seguin et enfin l’italien Giancarlo Pedote.
On a eu une chance extraordinaire d’avoir vu trois skippers rentrer, alors que l’on n’était pas sensé les voir. Nous avons été impressionnés par le monde, c’était vraiment magnifique de voir la joie des skippeurs, l’enthousiasme de tous les gens avec leurs cris qui étaient superposés au son des cornes de brume. Nous avons repris le chemin sur le sentier côtier, tous très contents.
Le long du trottoir, nous avons trouvé des plaques des empreintes de mains des anciens vainqueurs du Vendée Globe.
Arrivés au Puits d’Enfers, c’était magique parce que l’eau qui était brassée ressemblait à du lait. Tout le monde a joué avec les embruns des vagues qui se déchaînaient sur les rochers.
Ce fut une très belle après-midi qui restera dans nos mémoires.
Seska et Gabriel
Activités du jeudi 28 janvier (matin)
Hier soir, on a regardé le skippeur Charlie Dalin à la télé à 20h35 et après on n’a pas pu regarder l’arrivée du skippeur Louis Burton à 23h45, suivi le lendemain de Yannick Bestaven à 4h42 qui est classé premier avec 3h31 d’avance avec Charlie Dalin.
Je me suis levé de bonne heure. Du coup, Mme Depreux m’a dit de regarder l’arrivée de Louis Burton, son chouchou, en replay et, ensuite, avec M. Pignon, nous avons calculé les écarts entre Charlie Dalin et les autre skippeurs déjà arrivés et leur classement après avoir enlevé les compensations données suite au sauvetage de Kevin Escoffier.
Heinrick
Ce matin, on a fait une activité avec Eric Marianne, le directeur du centre du Porteau, sur les cartes géographiques. On a positionné des points sur les cartes grâce à leurs latitudes et à leurs longitudes. Les 41 le faisaient chaque semaine en positionnant les bateaux sur la carte du monde qui est affichée sur le mur dans la salle 108. Quand on veut être plus précis que le degré, on utilise les minutes et les secondes. Maintenant les skippeurs n’utilisent plus la boussole mais ils utilisent des ordinateurs pour la météo et le gps.
Eric nous a ensuite expliqué comment diriger un voilier selon la direction du vent. Sur un bateau, on dit tribord pour la droite et bâbord pour la gauche.
Ils nous a aussi expliqué à quoi servent les foils, les moulins à café et les manivelles.
Lorine
Activités du mercredi 27 janvier (après-midi)
Comme le temps était au beau, nous sommes allés en randonnée le long de la côte dans l’idée d’aller chercher des fossiles, à la Mine. Sur le chemin, la pluie a perturbé notre promenade, mais cela ne nous a pas arrêtés. On a trouvé des os de seiches, des plumes, quelques beaux galets et peu de fossiles. On a marché jusqu’à Port Bourgenay où le chauffeur est venu nous chercher. Une douche et un donut plus tard, tout allait bien.
Andréa et Ethane
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