Voyage en Normandie : diaporama

juin 19th, 2017

Pour consulter le diaporama réalisé par les élèves, cliquez sur le lien ci-dessous !!!

Voyage en Normandie !

Peut-on vivre sans téléphone ?

juin 7th, 2017

Depuis quelque années, l’arrivée du smartphone à changé nos vies. 5,1 milliards de personnes dans le monde, selon le site Gartner.com, possèdent au minimum un téléphone ! Alors oui, cet objet a révolutionné notre quotidien mais à quel prix ?

  Actuellement, sur 6,8 milliards de Terriens, 5,1 milliards possèdent au moins un téléphone portable. C’est plus que de personnes qui possèdent une brosse à dents… Et vivre sans son smartphone est totalement inenvisageable pour une majorité d’utilisateurs. Selon une étude britannique de 2012, 66% des utilisateurs sondés avouaient être nomophobes. En effet, il y a un phénomène d’addiction aux smartphones qui prend de l’ampleur : la nomophobie. Née de la contraction de « no mobile » et  « phobia », c’est  la phobie d’être sans son mobile. La nomophobie est un phénomène récent bel et bien réel et cette addiction est très répandue chez les ados et les jeunes adultes.
Selon Mariano Choliz, psychologue spécialiste des addictions, dans un rapport sur les addictions publiées en 2010, les symptômes caractéristiques de la dépendance sont les suivants :
« -utilisation excessive, qui se manifeste à la fois par un coût économique important et de nombreux messages et appels ;
-problèmes avec les parents, du fait de l’utilisation excessive ;
– interférence avec les autres activités, scolaires ou personnelles ;
– une montée progressive du temps d’utilisation du téléphone mobile pour obtenir un même niveau de satisfaction, ainsi que le besoin exprimé de remplacer l’appareil par le nouveau modèle apparu sur le marché ;
– le besoin d’utiliser un téléphone mobile fréquemment, ainsi qu’une altération émotionnelle lorsque cette utilisation est entravée ».
Les téléphones portables ont donc profondément bouleversé les comportements sociaux.

Cette addiction impacte aussi l’entourage des victimes. En effet, la famille, les amis et connaissances sont souvent victimes de « phubbing » (contraction de « phone » et « snubbing », pour « snober », en français). Les  addicts n’écoutent souvent pas leur entourage ou coupent constamment la conversation parce qu’ils reçoivent un message et se mettent à l’écart.

Mais vous vous en doutez, il y a quelques solutions pour lutter contre cette addiction :
-il faut d’abord penser à éteindre son téléphone portable, une ou deux heures par jour (il n’est pas nécessaire de faire un long sevrage)
-si l’addiction est forte (une personne en état de manque), prenez rendez-vous avec un addictologue ou une personne extérieure. Certains hôpitaux spécialisés dans l’addiction aux drogues dures peuvent accueillir certaines victimes.
-enfin il existe des cures de sevrage pour apprendre à la personne à se servir du téléphone juste comme un outil.

Pour conclure, vous voyez que cette addiction peut être grave car beaucoup de personnes ne peuvent pas vivre sans leur téléphone et se coupent du monde par leur comportement excessif mais heureusement, il existe des solutions pour reprendre le contrôle de sa vie et éviter que le téléphone ne nous dirige, alors pensez-y !

« Vol au-dessus d’un nid de coucou »

mai 31st, 2017

Je vous présente mon dernier coup de coeur film : « Vol au-dessus d’un nid de coucou » avec Jack Nicholson. Que vous le connaissiez ou non, découvrez les anecdotes du tournage qui vous donneront envie de le voir ou le revoir !

Ce film réalisé par Milos Forman est sorti en 1975 et a reçu de nombreuses récompenses. Jack Nicholson, l’acteur principal, est celui qui vous avez déjà vu dans « Shining », « En route vers le sud »…

« Vol au-dessus d’un nid de coucou », c’est l’histoire d’un prisonnier qui se fait passer pour fou et est interné dans un asile psychiatrique pour éviter la prison. Il se retrouve alors avec de vrais fous et trouve que l’on s’ennuie à mourir dans cet hôpital où les règles sont trop strictes : il fait alors n’importe quoi pour changer le fonctionnement et donner plus de liberté aux internés. Mais va-t-il réussir ? Ne devient-il pas un réel danger pour l’institution ?

J’ai adoré ce film et ce qui m’a le plus plu est la façon dont les acteurs jouent les malades mentaux et leurs troubles particuliers.

Saviez-vous que l’hôpital est en fait un vrai asile  et que quelques patients ont été figurants dans le film ? Difficile parfois de faire la différence entre acteurs et vrais fous !

Ce film est tiré du roman de Ken Kesey. Pour écrire cette histoire, l’auteur s’est inspiré de son expérience professionnelle dans un asile psychiatrique où il travaillait. Mais dans le livre, le point de vue est celui du chef de l’hôpital alors que dans le film, le réalisateur a choisi le point de vue du patient. L’auteur n’était pas d’accord avec ce point de vue et n’a jamais voulu regarder le film !

Encore une anecdote de choix : lorsque Jack Nicholson doit surprendre le gardien en lui sautant dessus, celui-ci ne jouait pas assez la surprise aux yeux du réalisateur. Milos Forman a donc demandé à Jack Nicholson de sauter sur un autre gardien sans que celui-ci soit au courant ! Le gardien a été tellement surpris et effrayé que, dans certaines versions, on le voit frapper pour se défendre !

A vous de (re) découvrir maintenant ce film culte !

Dis-moi dix mots : Nouvelles écrites par les lycéens

mai 9th, 2017

Cliquez sur le lien ci-dessous pour découvrir et lire les nouvelles écrites à l’occasion du concours « Dis-moi dix mots » par Léa, Lisa, Manon, Charlotte, Maxence, Carla, Laurie, Emilie, Alexia, Noémie, Marianne, Lola, Alicia, Clémentine, Aurore, Arsela, Angèle, Thaïs, Ludivine et Yanelle !

L’hébergeur des petits fureteurs

« Nous avons le pouvoir de changer les choses »

mars 23rd, 2017

Je suis née sexe féminin mais je suis devenue une femme. Je pense, comme Simone de Beauvoir, que « l’on ne naît pas femme, on le devient ».
Je n’ai pas choisi mon sexe mais j’ai choisi d’être une femme, véritable chance mais surtout, véritable force. Je suis, enfin, je crois être une féministe. En effet, j’ai choisi de me battre pour l’égalité et je vous invite à rejoindre ce combat. Isabelle Alonso l’affirme : « Tant qu’une seule femme sur la planète subira les effets du sexisme, la lutte des femmes sera légitime et le féminisme nécessaire. » Cependant, ce combat ne s’adresse pas uniquement aux femmes mais également aux hommes, le féminisme n’est pas réservé aux femmes, Messieurs.
Aujourd’hui, je veux la promesse, ou du moins, l’espoir d’un monde différent, qui pourrait être meilleur. Un monde où les femmes seraient libres de leurs choix, où l’inégalité homme-femme n’existerait pas, un monde sans inégalités de salaires, sans violences conjugales, sans mariages forcés, sans viols, sans harcèlement de rue,… Un monde où les femmes seraient Présidentes de la République, directrices de grandes entreprises, ingénieures,… Un monde où le marché du travail ne serait pas un handicap pour une femme.
J’ai eu la chance de grandir dans un pays qui me laisse le choix et qui me considère comme libre et égale à l’homme en droits, mais ce n’est pas le cas dans de nombreux pays. De plus, pour établir ces droits, des millions de femmes ont dû se battre afin d’obtenir en 1944 : le droit de vote des femmes, en 1967 : la loi Neuwirth autorisant la contraception, en 1975 : la loi Veil qui dépénalise l’avortement et légalise l’interruption médicale de grossesse (IVG), en 1980 le viol est reconnu comme un crime, et, en 2000, une loi sur la parité est votée.
Je suis éternellement reconnaissante envers celles qui se sont battues pour mes droits. Je promets de me battre pour maintenir ces droits et, également, obtenir de nouveaux droits nécessaires pour établir l’égalité homme-femme dans le monde.

Aujourd’hui, je dis STOP, il est temps d’agir au quotidien, je vous invite à rejoindre mon combat.
Parlez, Osez, Criez, Assumez, Hurlez, Riez, Souriez et ne laissez jamais personne sous-estimer la valeur d’une femme.

Océane, une femme parmi tant d’autres

L’Amour au Lycée Romain Rolland

mars 16th, 2017

Les adultes pensent parfois que les histoires d’amour d’adolescents ne sont pas à prendre au sérieux. Mais ne pensez-vous pas que les histoires d’amour des ados peuvent être aussi fortes et sincères que celles des adultes ? Nous avons questionné différents lycéens, pour voir comment ils s’intéressent à l’amour…

– Etes-vous amoureux ?
Oui…
– Etes-vous avec la personne ?
Non, malheureusement.
– Qu’est ce que l’amour pour vous ?
Un soutien, une aide, quelque chose qui permet d’avancer dans la vie.
– Comment être sûr que l’on aime vraiment quelqu’un ?
L’envie de voir la personne à tout moment, de vouloir la prendre dans nos bras à chaque instant, être capable de tout faire pour elle.
Lucas, terminale.

– Etes-vous amoureuse ?
Non.
– Qu’est ce que l’amour pour vous ?
L’amour pour moi, c’est quand on a envie de voir la personne à chaque moment. Ce n’est pas forcément être en couple avec quelqu’un ou lui appartenir.
– Comment être sûr que l’on aime vraiment quelqu’un ?
Comment être sûr que l’on aime vraiment quelqu’un ? Quand on voit cette personne, on a des papillons dans le ventre, et les yeux qui pétillent.
Deborah, terminale.

– Etes-vous amoureuse?
Oui…
– Etes-vous avec la personne ?
Oui, cela fait 1 an.
– Qu’est ce que l’amour pour vous ?
L’amour pour moi, c’est aimer la personne pour ce qu’elle est, avoir envie de la voir à chaque instant.
– Comment être sûr que l’on aime vraiment quelqu’un ?
On ne peut jamais être sûr que l’on aime vraiment quelqu’un mais si on a un manque, c’est que l’on aime vraiment cette personne.
Alice, seconde.

– Etes-vous amoureuse?
Oui.
– Etes-vous avec la personne ?
Oui, depuis 2 ans.
– Qu’est ce que l’amour pour vous ?
L’amour pour moi, c’est la confiance et le respect.
– Comment être sûr que l’on aime vraiment quelqu’un ?
On a des papillons dans le ventre quand on le voit.
Anaïs, seconde.

Alors,  à l’adolescence, peut-on être aussi amoureux qu’à l’âge adulte ?
Nous pensons que oui ! Il suffit d’une rencontre avec LA personne, cette personne qui nous marquera à vie d’une façon positive ou négative, car on peut malheureusement tomber amoureux d’une personne qui ne ressent rien pour nous. On peut avoir une relation qui fonctionne parfaitement, mais par la suite un chagrin d’amour ou une relation qui ne se terminera jamais.
Mais oui, nous pensons que l’Amour vaut la peine d’être ressenti et vécu à tout âge. Et qu’un adolescent peut autant souffrir et être aussi sincère qu’un adulte amoureux  !

Et vous, qu’en pensez-vous ?

Le phénomène Snapchat

mars 14th, 2017

Alerte chez les utilisateurs de Snapchat : la nouvelle mise à jour de la charte de confidentialité de l’application lui donne la permission de stocker et diffuser les photos partagées par les utilisateurs !

Alors, vos photos sont-elles confidentielles ?
Les utilisateurs de Snapchat ont récemment pris peur quand ils ont découvert qu’ils accordaient une « licence gratuite pour héberger, stocker, utiliser, afficher, reproduire, modifier, adapter, éditer, publier, créer des contenus dérivés, exécuter publiquement, diffuser, distribuer, promouvoir, exposer, afficher publiquement le contenu [partagé] sous n’importe quelle forme et sur n’importe quel média ou méthode de distribution ».
Alors que vous pensez que la photo que vous venez de publier va disparaître, rien n’empêche en fait Snapchat de garder et d’utiliser vos clichés, voire de les retoucher, pour faire sa publicité !
Il existe même des sites qui proposent aux utilisateurs de l’application un moyen de sauvegarder les clichés reçus et ensuite de les diffuser sur internet par exemple.
C’est une atteinte à la vie privée et l’utilisateur est trompé car, au départ, l’idée était d’avoir une application avec des données éphémères et non pas des données qui peuvent être récupérées par n’importe qui !

Snapchat veut se racheter auprès des utilisateurs
L’appli a donc été beaucoup critiquée et elle vient de publier un billet pour rassurer ses « snapchatteurs ». La société rappelle : « Les Snaps et Chats que vous envoyez à vos amis restent du domaine privé. Notre politique de confidentialité indique toujours que ces messages sont automatiquement effacés de nos serveurs dès que nous détectons qu’ils ont été ou qu’ils ont expirés ». L’appli précise que cette licence permet avant tout de publier des Snaps dans les Lives Stories (Un genre de story regroupant les photos et vidéos de plusieurs utilisateurs venant d’un même endroit et représentant un évènement).

Et les autres réseaux sociaux ?
Les législations européennes et américaines ne sont pas les mêmes en matière de vie privée. Même si certains ont un compte protégé, il est possible par exemple d’accéder aux données privées et publiques des utilisateurs Facebook français en faisant une manipulation dans les paramètres qui fait croire que l’on se connecte depuis les Etats-Unis !

Alors vous qui utilisez les réseaux sociaux et qui pensez être protégé, restez vigilant parce que Snapchat n’est pas le seul réseau social qui garde vos photos et… toutes vos données !

Et la vie en internat, ça ressemble à quoi ?

mars 8th, 2017

Vous vous êtes toujours demandé comment se passe la semaine à l’internat  ? Voici donc pour vous un  aperçu de la vie des élèves internes :

« Les horaires fixes pour l’étude m’ont apporté de la rigueur »
Pour venir à l’internat le lundi matin, il faut nous lever souvent bien plus tôt que les externes et demi-pensionnaires. Une fois arrivés, nous déposons nos valises dans nos chambres et descendons rejoindre les cours. Notre journée se déroule comme celle des autres.
Après les cours, nous avons à notre disposition un goûter qui change tous les jours, bienvenu avant de commencer la soirée. Puis, nous pouvons aller dans notre chambre pour un temps calme. C’est agréable : cela nous permet de nous retrouver avec les autres internes, de nous reposer, de prendre notre douche…
De 19 h 30 à 21 h00, après le repas, il y a deux études obligatoires encadrées par nos surveillants. Ils sont toujours là pour nous aider, nous donner des conseils, nous encourager, ce qui nous aide beaucoup pour nos devoirs. Mais bien sûr, nous pouvons être punis si nous ne respectons pas le règlement, comme rester 5 ou 10 minutes de plus !
A 21h45, c’est l’extinction des feux.

« Nous ne faisons pas que travailler… »
Nos délégués d’internat ont, par exemple, organisé une soirée de Noël. Chacun pouvait amener un cadeau et les présents ont ensuite été distribués au hasard des participants. Nous avons beaucoup apprécié le thème « horreur » choisi par les organisateurs. La salle était « horriblement » bien décorée, le repas était composé de nouveaux plats originaux, tout cela bien sûr sélectionné par les élèves ! Nos camarades avaient organisé des animations comme des tours de magie, des chants, de la musique, des petites pièces de théâtre… Et nous avons pu profiter de cette belle soirée plus tard que d’habitude !

« Les internes réussissent bien au bac »
Le taux de réussite au bac des internes est aussi élevé, voire souvent plus que les externes. Le fait d’être entouré par du personnel qualifié aide à cette réussite.

 

La vie à l’internat, c’est donc finalement presque pareil que chez soi. Organisé, reposant, divertissant, mais avec le même objectif : travailler pour avoir notre bac !

A découvrir : le 2e numéro du Lycée Rapporteur !

février 15th, 2017

Pour découvrir  les derniers potins et avis des lycéens, cliquez  sur le lien :

Le Lycée Rapporteur – Février 2017

Le harcèlement scolaire, on en parle ?

février 8th, 2017

Ne faites pas ce que vous n’aimeriez pas que l’on vous fasse.

Tout d’abord, il faut savoir ce qu’est le harcèlement scolaire. Il se définit comme une violence répétée qui peut être verbale, physique ou psychologique. Elle est caractérisée par 3 critères :
– La violence, les rapports de force et de domination,harcelemnt
– La répétitivité : des gestes ou des mots qui se renouvellent régulièrement,
– L’isolement de la victime : elle est souvent seule, et plus faible que ses agresseurs.

Et peut être due à plusieurs choses : L’apparence physique, le sexe ou l’orientation sexuelle, un handicap,…
Il est très présent dans les écoles, collèges et lycées, et pousse parfois au suicide. Il n’est pas toujours évident de s’en rendre compte, en tant que témoin ou même en tant qu’agresseur. Il faut donc être vigilant quant à ce qu’il se passe autour de nous, mais aussi à ne pas se laisser entraîner.
Il a été recensé 700 000 victimes de harcèlement scolaire. C’est pour cela que de nombreuses aides sont souvent mises en place au sein des établissements scolaires, car la meilleure façon de s’en sortir, c’est de communiquer. Cependant, il n’est pas toujours simple d’en parler, la honte, la culpabilité, la peur ainsi que la pression et les menaces des harceleurs peuvent être des barrières.
Depuis plusieurs années, on sait qu’il est important de se confier à des personnes de son environnement scolaire (professeurs, CPE, proviseur…), à ses parents, à son entourage ou à un ami/camarade. Le plus important, c’est d’en parler à une personne avec laquelle on se sent à l’aise.
Si cela reste inenvisageable, il est possible d’en parler sur des forums, créer une page d’écriture sur un réseau social pour servir de journal, ou d’appeler un numéro dédié à cet effet, gratuitement et anonymement.

Une nouvelle technique arrive également, présentée par Emmanuelle Piquet dans son livre Harcèlement, te laisse pas faire ! : il ne faut pas résoudre ses problèmes à sa place mais aider la victime de harcèlement à se défendre par elle-même, à reprendre confiance et à arrêter la relation victime-harceleur. Beaucoup de jeunes s’en sont sortis aujourd’hui avec cette pratique.

harcelemnt
Rappelez-vous que des gestes ou des paroles qui semblent paraître anodins, peuvent être perçus différemment selon les gens et être plus ou moins mal vécus. De plus, sachez qu’il y a toujours des solutions pour s’en sortir, le harcèlement scolaire n’est pas une fatalité, tout comme il est possible de changer sa vision des choses, son comportement, en arrêtant de faire du mal ou de laisser le mal se faire autour de soi !

http://www.nonauharcelement.education.gouv.fr/

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