Quel a été votre parcours professionnel après vos années au lycée Condorcet ? Quel est votre métier actuel ?
Je suis actuellement journaliste, un métier qui me faisait rêver depuis de longues années. Après le bac ES obtenu au lycée Condorcet, j’ai intégré la fac d’histoire de Montbéliard, avec l’objectif d’enchaîner par une école de journalisme. Mais le destin en a décidé autrement : étant correspondant de presse pour le journal « Le Pays » depuis l’âge de 15 ans, on m’a proposé de m’embaucher dans ce journal alors que j’avais 18 ans et quelques mois. J’ai donc stoppé mes études, puis débuté un parcours qui m’a d’abord mené, en tant que journaliste sportif, à suivre le FC Sochaux pendant 11 ans, puis les équipes de handball de Besançon pendant 6 saisons. Depuis juillet 2019, je ne suis plus aux sports, mais responsable des rédactions locales de l’Aire urbaine de l’Est Républicain, c’est-à-dire des agences de Belfort et Montbéliard.
En quelle(s) année(s) avez-vous été inscrit au lycée Condorcet ? Combien d’années y êtes-vous resté(e) ?
Je suis resté pendant trois années au lycée Condorcet, de la Seconde à la Terminale, et obtenu le bac ES en 2000.
Quel a été votre meilleur souvenir de votre (vos) année(s) au Condorcet ? Votre pire souvenir ?
Le meilleur souvenir, bien évidemment, est principalement lié au « hors scolaire », à tous ces moments durant lesquels, à cet âge, la principale mission est d’amuser ses potes de classe. Avec Raphaël Hinninger, je me souviens par exemple que nous avions décidé, en plein hiver, de nous déguiser en plagistes (tongs, shorts, lunettes de soleil, débardeurs et bobs Ricard sur la tête), afin d’arriver triomphalement (et en retard, forcément) en cours de français. M. P. n’avait étrangement pas bronché, tandis que nos camarades de classe s’étaient bien marrés… et c’est tout ce qui nous importait.
Le pire souvenir… difficile, il y en a peu. Si les cours de sport de M. G. restent d’excellents souvenirs, je lui en ai longtemps voulu d’avoir essayé de nous initier au… saut à la perche. Quelle idée, franchement… Nous étions tous d’un niveau médiocre, moi le premier, qui n’ai jamais réussi à décoller du moindre centimètre.
