Prendre de la hauteur

Mallory (Mallo pour les intimes) est une adolescente de 15 ans qui pratique l’alpinisme avec Mathieu, son père. Ce qui la rend particulière c’est qu’elle escalade de très hautes montagnes. Là, ils ont décidé de s’attaquer à l’Everest, d’où le titre du roman : « 8848 mètres ». C’est-à-dire l’altitude à laquelle culmine le plus haut sommet du monde !

Mallory évolue dans un monde d’adultes. Et s’insérer dans un groupe composé uniquement d’adultes, tous persuadés qu’elle ne sera qu’un poids pendant l’ascension, n’est pas évident pour la jeune fille. Il y a aussi, peut être, un peu de jalousie pour certains car son expédition est financée par des sponsors et est très médiatisée.

Mallory possède plusieurs caractéristiques attribuées aux adolescents (sautes d’humeur, susceptibilité…). Mais elle est plutôt mature. Plusieurs personnages le remarquent.

Mallory rencontre Aurélie de l’association « Clean Everest » qui lui ouvre les yeux sur la pollution sur les montagnes avec tous les déchets qu’ont laissés derrière elles les centaines d’expéditions qui ont tenté l’ascension. Déchets qu’Aurélie et « Clean Everest » ramassent pour les redescendre dans la vallée.

Elle parle aussi énormément avec Justine. Justine fait des relevés sur la montagne pour analyser les effets du réchauffement climatique. Tout cela intéresse beaucoup Mallory qui parfois les aide. Avec Aurélie et Zhi Mi, la coordinatrice qui assure l’intendance de l’expédition, elle apprend également la philosophie bouddhiste.

Silène Edgar, l’autrice, nous raconte comment s’organise l’ascension de l’Everest. Il y a même des schémas pour expliquer la succession des étapes avant de pouvoir arriver au sommet. Cela dure plusieurs et reste très dangereux : plusieurs personnes meurent chaque année.

On peut trouver le roman un peu trop documentaire avec toutes ces descriptions. Mais le récit est intéressant car on voit le personnage principal évoluer et comprendre de nouvelles choses. Et puis la fin se déroule rapidement… Cela rend l’histoire palpitante et émouvante.

Edgar, Silène. 8848 mètres. Casterman, 2020, 1 vol. (330 p.). (Ici/maintenant). Cote : R EDG.

Le lycée de l’horreur

Les personnages du roman « Si longue soit la nuit », Danny, Callista, Johnny, Laura et Andrew se réveillent tous les cinq dans leur lycée. Ils y sont enfermés. Dehors règne une nuit sans étoiles et un ciel traversé d’aurores boréales. A proximité, les eaux du fleuve Potomac entoure bientôt les bâtiments dans lequel sont réfugiés les personnages. Alors que les eaux montent, les pires cauchemars de chaque élève se manifestent…

Les personnages sont typiques des films américains mettant en scène des lycéens. On y retrouve : la populaire du lycée, la grosse brute, l’intello en fauteuil roulant, la fille première de la classe et puis le gars un peu en retrait, pas sûr de lui, mais qui se révélera être celui qui a le plus la tête froide. Les cinq ados n’ont rien en commun, mais s’allier sera la meilleure des choses à faire pour survivre à une telle nuit !

Chacun à son tour sera le narrateur. On découvre alors que chaque ado a un secret qu’il va devoir surmonter pour s’en sortir.

Le rythme du roman alterne entre des situations critiques et des moments plus calmes. Pendant ces moments on découvre plus d’informations sur chaque personnage. Ainsi, comme les cinq ados, on constate que les idées que l’on se fait de certaines personnes que l’on côtoie, ne sont pas toujours fondées.

Sarah

Lambert, Christophe. Si longue soit la nuit. Éd. Fleurus, 2021, 1 vol. (217 p.). Cote : R LAM.

Une aventure céleste

« L’Héliotrope » est le premier tome de la trilogie « Steam Sailors » dont l’auteur est E.S. Green. Le livre a été publié en 2020 par les éditions Gulf Stream.

C’est un roman au croisement de plusieurs genres : aventure, science fiction et fantastique. Les thèmes dominants sont l’ amitié et l’aventure.

L’histoire se passe quatre siècles après « la grande fracture » qui a mis un terme aux temps où les Alchimistes nourrissaient le haut et bas-monde. Prudence, une jeune fille, se fait kidnapper par une bande de pirates lors de l’attaque de son village. Confrontée à ses ravisseurs, elle découvre en faite qu’elle se trouve sur un navire volant, voguant dans les cieux de ce nouveau monde céleste.

Elle sympathisera avec les pirates. Surtout avec les commandants : Ezekiel, Gareth, Sergeï et Petrus mais aussi avec le capitaine Mousquet. Petit à petit, elle va développer des dons de voyance. Ceux-ci permettront aux pirates de se tirer de mauvais draps mais aussi d’avancer dans leur quête pour découvrirent la légendaire Cité des Alchimistes.

Les personnages principaux sont : Prudence, jeune fille originaire du bas-monde ; ensuite, il y a Théodore de Longval se surnommant Mousquet qui est le capitaine de l’Héliotrope ; puis vient Pétrus alias « œil de glace » qui est le lieutenant et est aussi l’ingénieur des machineries, son tuteur est Lennart.

J’ai beaucoup apprécié cette fiction entre l’action des batailles aériennes et les mystères qu’on découvre au fur et à mesure de l’histoire. Les personnages sont attachants et l’univers pirate/steampunk est original.

Audric C. et Clément.

Green, E. S. Steam sailors, 1. L’Héliotrope. Gulf Stream éditeur, 2020, 1 vol. (376 p.). Cote : R GRE.

#Sauver Lou

Ce roman est un thriller fantastique écrit par Muriel Zürcher et édité par Didier Jeunesse.

Romane en classe de 3e, vit avec sa petite sœur, Lou âgée de 5 ans. Cette dernière souffre d’une maladie et possède le don de parler aux défunts. Elles vivent dans un quotidien assez chaotique à cause du décès de leur mère, et de Cédric, leur père, qui a sombré dans l’alcoolisme. A la suite d’une dispute avec leur père, les deux sœurs décident de camper dans la forêt près de chez elles. Mais, par malheur, Lou entend une bagarre entre deux hommes et elle entend des choses qui devaient être confidentielles ! Les deux filles se retrouvent très vite en danger. Romane fera tout ce qui est en son pouvoir pour sauver sa petite sœur.


J’ai adoré ce livre, dès le départ j’ai été à fond dedans. Les évènements sont cohérents. L’histoire ne manque jamais d’action. La fin était assez triste et joyeuse. Le livre me fait comprendre que les personnes que l’on peut croire gentilles peuvent avoir de mauvaises intentions. Pendant ma lecture, j’ai ressenti de la peur, de la tristesse et du soulagement. Le vocabulaire ne m’a posé aucun problème. Pour moi, l’intérêt à lire ce livre est de s’évader, de faire passer le temps.

Eloane L.


L’histoire de Romane et de Lou m’a beaucoup touchée car l’écriture du livre est très touchante et elle m’a donné envie de continuer la lecture du livre. Quand j’ai commencé le livre, je n’avais pas envie de m’arrêter. La tristesse, la peur, la joie et le suspense étaient présents pendant ma lecture du roman. Le vocabulaire n’est pas difficile à comprendre et l’histoire non plus. Lire ce livre permet de s’évader de la réalité et de s’enfermer dans le monde des deux sœurs.

Saryn L.

Zürcher, Muriel. #sauverLou. Didier jeunesse, 2020, 1 vol. (183 p.). Cote : R ZUR

Se découvrir soi-même

Isabelle Pandazopoulos a écrit « Parler comme tu respires », un roman publié par les éditions Rageot. Son héroïne, Sibylle Rossignol, 15 ans, est bègue depuis son plus jeune âge. Elle lutte contre son handicap chaque jour. Cette fille a grandi dans l’ombre, le silence et surtout avec la solitude… Elle aimerait pouvoir s’exprimer, mais ses mots ne sortent pas. Plus tard, elle se découvrira une passion, tailler, sculpter, graver la pierre. Être une tailleuse de pierre.

Mais ses parents seront-ils d’accord pour qu’elle exerce ce métier ? Va-t-elle réussir à les convaincre ?

Dans ce livre Sibylle va faire la connaissance de Yacine, Louna et de Balthazar, elle va devenir amis avec eux et tombé amoureuse d’un d’entre eux…


J’ai bien aimé l’histoire, la façon dont l’histoire est écrite. Le début du livre n’est pas facile à comprendre, c’est ce qui m’a freiné au début. Pendant ma lecture, j’ai ressenti de la peine, de la tristesse et de la joie. L’intérêt de ce livre est de se rendre compte que même si on a une maladie on peut réaliser ses rêves.

Saryn L.


J’ai apprécié le livre, même si au début de l’histoire je ne comprenais pas qui était qui. Une fois compris j’étais plongée dans le livre. Seulement vers la fin, j’ai trouvé l’histoire longue. Malgré ça je me suis attachée aux personnages et à leur histoire. L’intérêt de ce livre est de comprendre que même si on a un handicap, on peut être accepté des autres et réaliser ses rêves.

Eloane L.


Je n’ai pas vraiment apprécié le livre, car j’ai eu du mal à me plonger dedans. Je n’ai pas trop compris le début de l’histoire, mais après c’est passé tout seul. J’ai trouvé l’histoire triste au début et entraînante à la fin. Je n’ai eu aucune difficulté à comprendre le vocabulaire, mais j’en ai eu quelques-unes à comprendre l’état mental des personnages. Je conseille ce livre aux personnes motivées à lire : il permet de faire passer le temps facilement et de mieux comprendre quelques aspects de la société.

Luna L.

Pandazopoulos, Isabelle. Parler comme tu respires. Rageot, 2021, 1 vol. (316 p.). Cote : R PAN.

Même les araignées ont une maman

Voici un un roman policier/fantastique écrit par Alain Gagnol et édité par Syros jeunesse en 2020. Les thèmes dominants sont l’amitié et l’amour.

Les narrateurs sont les deux personnages principaux : Emma et Thomas. Le lien unissant Emma et Thomas est d’abord un lien d’amitié qui va devenir de l’amour. Leur opposant est Paul Répo. Ils veulent l’arrêter.

Cette histoire se passe dans un contexte de « crise » . Un tueur d’animaux est actif et accumule les meurtres. Les habitants de la ville sont de plus en plus inquiets… Surtout Thomas qui est sans nouvelle de Kim son chat depuis 4 jours.

Une nuit par la fenêtre de sa chambre, il va distinguer une silhouette dans son jardin. Malgré le masque d’opéra chinois, il reconnaît sa voisine Emma, une fille mystérieuse qu’il connaît à peine. Ce qu’il ignore encore c’est que leurs chemins vont se rencontrer pour tenter d’arrêter le tueur…


J’ai aimé le livre car je trouve les personnages intéressants et attachants. J’ai également trouver l’histoire intéressante et intrigante. J’ai aimé l’écriture. Le texte est compréhensible sans vocabulaire difficile.

Je suis bien entrée dans l’histoire au moment ou Emma et Thomas commencent à se parler.J’ai eu un sentiment d’empathie envers les personnages et aussi un peu peur pour eux (parfois). Je pense que ce livre délivre un message sur la différence et aussi contre la maltraitance animale. Je le noterai 9/10. J’enlève un point car il est long.

Cassandra B.

Gagnol, Alain. Même les araignées ont une maman. Syros, 2020, 1 vol. (458 p.). Cote : R GAG.

Une envie de liberté

Louise, âgée de 13 ans, vit dans un village nommée Bobigny. A ses 11 ans, sa mère, Clémence, fatiguer de travailler dans les champs, décide d’arrêter de faire ce travail. Alors elle déménage sur Paris pour travailler comme domestique. Sa fille doit rester sur Bobigny, chez le maître Gaston et son fils Albert. Le maître ne la nourrit pas et il lui fait payer dix francs pour qu’elle puisse dormir dans son logis. De ce fait, la seule solution pour Louise est de travailler dans les champs comme le faisait sa mère. Le maître et son fils la traitent comme une esclave. Au début, Louise ne dit rien. Mais un jour s’en est de trop. Elle décide donc de s’enfuir pour aller rejoindre sa mère. Va-t-elle y parvenir malgré son jeune âge ?

« La Capucine » est un roman historique, écrit par Marie Desplechin. Ce livre fait partie de la série « Les filles du siècles », édité par L’École des loisirs en 2020, dans la collection Médium.

Le début de l’histoire est assez difficile à comprendre. A cause de ça, j’ai eu dû mal à continuer la lecture. L’histoire de Louise est touchante, le fait qu’elle doit travailler pour gagner sa vie, qu’elle décide de s’enfuir à cause du fait qu’elle soit maltraitée m’a donné l’envie de continuer malgré les difficultés de compréhension. Pendant ma lecture, j’ai ressenti de la peine pour Louise, mais aussi du courage car elle a osé s’enfuir pour prendre son destin en main et fuir des personnes qui la traitait comme une esclave. Pour moi l’intérêt à lire ce livre c’est de comprendre que la vie n’est pas que rose et que l’on peut tous avoir des moments difficiles. Mais on peut toujours se relever et continuer à avancer.

Saryn L.

Desplechin, Marie. Les filles du siècle. La capucine. l’École des loisirs, 2021, 1 vol. (219 p.). (Médium). Cote : R DES.

Au-delà de la liberté !

« Le vent se lève » est le premier tome de la trilogie « Alma ». Ce roman est écrit par Timothée de Fombelle et édité par Gallimard Jeunesse. Ce livre de 389 pages, illustré par François Place, est un livre d’aventure dont l’histoire se déroule en 1786 durant la période du commerce triangulaire.

Alma, une jeune fille, avec ses parents et ses deux frères, vit paisiblement dans une vallée éloignée de tout. Jusqu’au jour où son frère Lam disparaît sans laisser de traces. La jeune fille part alors à sa recherche à travers un monde qu’elle n’aurait jamais pensé voir. Entre la recherche de Lam et la découverte de ce monde Alma se sent changée et se voit pousser des ailes.

En parallèle de cette quête, un jeune homme nommé Joseph Mars a embarqué sur un navire négrier dirigé par le capitaine Lazar Bartholomée Gardel, pour y découvrir un trésor.

Ces deux protagonistes, n’ayant rien en commun, seront destinés à se rencontrer tôt ou tard…

Nous avons beaucoup aimé ce livre. Les personnages et l’intrigue sont intéressants. L’évolution de la quête d’Alma et de celle de Joseph Mars sont progressives avec des péripéties bien placées. On apprend des choses qu’on aurait pas imaginé. Le livre est assez facile à comprendre, le vocabulaire respecte la langue de l’époque et bien choisi.

On rentre progressivement dans l’histoire de manière intéressante en apprenant de plus en plus sur les deux aventures des personnages.

On lui donne un bon 9/10, juste pour quelques moments un peu ennuyeux. Mais le livre retrace bien les évènement de 1786. Il montre le côté cruel des gens à cette époque. Il permet de se sentir libre en le lisant.

Audric C. et Antoine T.

Fombelle, Timothée de. Alma, 1. Le vent se lève. Gallimard Jeunesse, 2020, 1 vol. (388 p.).

Une histoire de harcèlement

« La meute » est un roman écrit par Adèle TARIEL en 2021 et édité par Magnard jeunesse. Le roman est aussi disponible en version audio sur le site Presto.

L’histoire parle d’une jeune fille, Léa, qui arrive dans un nouveau lycée. En cours d’histoire-géographie, elle découvre M. Fauchon, un homme discret et un peu étrange dont les élèves se moquent jusque sur les réseaux sociaux. Léa a de la peine pour le professeur mais l’envie de se faire des amis et de s’intégrer dans un groupe est trop présente.

Les élèves vont trop loin, même jusqu’à crée un compte Instagram sur M. Fauchon. Sur ce compte, ils postent des photos humiliantes envers le professeur.

Monsieur Fauchon ne supporte plus ces harcèlements, ce qui le pousse à faire une tentative de suicide…


L’histoire est très intéressante car le harcèlement est très fréquent mais entre les élèves et le professeur, sa n’arrive pas très souvent. L’histoire est aussi très intéressante car on se demande comment sa va finir…

Le livre est très bien. On le recommande !

Ilan A. et Ilann P.


J’ai bien aimé « La meute » car ce livre raconte bien le harcèlement que des adultes peuvent subir, comme les enfants, et l’emprise d’un groupe sur une personne. Ce roman montre aussi plusieurs formes de harcèlement comme le harcèlement physique ou le harcèlement moral par les réseaux sociaux. Le livre montre aussi les peines possibles données par la justice et ce qui peux se passer par la suite du harcèlement comme la tentative de suicide ou directement le suicide de la victime. Léa a de la peine pour monsieur Fauchon.

Jordan T.


« La Meute » est un roman réaliste et contemporain. J’ai adoré l’histoire car il parle d’un contexte actuel et parce que les personnages sont attachants. L’histoire est facile à comprendre. Pendant la lecture des moments tristes sont arrivés. Je n’ai pas compris certains mots mais ça allait. Je vous conseille ce livre car le harcèlement peut nous arriver à tous.

Léa T.

Tariel, Adèle. La meute. Magnard jeunesse, 2021, 1 vol. (92 p.). (Presto (Paris)). Cote : R TAR.

Félicratie, une comédie au poil !

Dites-moi chers lecteurs, comment imaginez-vous les Aliens ? De petits êtres verts avec des antennes et trois doigts ? Ici, les antennes sont bien présentes, cependant nos  extraterrestres ressemblent plus à des phasmes de dix mètres de haut, communicant avec leurs doigts et différentes vibrations sonores. Bien loin de l’image de notre E.T. « spielberguien » ! Peu après avoir envahi notre planète et éradiqué presque l’entièreté de l’humanité, les Aliens de ce roman, grands fans des cheveux humains, décident de faire des survivants… leurs animaux de compagnie ! 

Yacine vit un quotidien calme auprès des ces maîtres : Robert et Linda (difficile de savoir les noms de ces êtres qui viennent d’une autre galaxie)! Un jour, alors qu’il achève une énième partie de PS4, Yacine voit débarquer Rose, une étrange fille aux cheveux bleus. Ces deux-là vont alors devoir cohabiter entre les pyjamas loufoques qu’ils doivent porter et le ressentiment de Rose envers ses propriétaires.

Quelle chance ont donc nos deux héros de tomber nez-à-nez avec l’arme fatale d’extermination massive de leurs envahisseurs, leurs ultime point faible, la cause principale de leur mort ; j’ai nommé… Une mère chat et ses petits ! Et oui, ces phasmes de l’espace sont allergiques à ces petits félins ! Armés de ses mignons matous tout doux, ce sont nos héros et l’humanité entière qui sont prêts à prendre leur revanche contre ses branches sur pattes intergalactiques ! Boule de poils et explosions en masse d’Aliens sont à prévoir !

H. Lenoir (H. pour Hélène) a écrit un roman si drôle que vous y laisseriez des griffes ! Yacine et Rose est un duo au poil ; leur humour, leur chamailleries en font des héros attachants, en bref des protagonistes miaou-supers ! L’histoire a une structure scénaristique simple mais plaisante, les personnages secondaires sont tous aussi bien les uns que les autres. Un roman que je conseille vivement aussi rocambolesque que miaoulesque ! 

Merci et à Neko-bientôt !