Traduction et présentation de M.Canto –(Edition Garnier-Flammarion – 2007 )
NB :Le plan comporte aussi la pagination originale (ex:488d) qui permet de se rapporter à d’autres éditions et traductions.
2.1 L’intervention de Polos et la revendication du droit à la libre parole :
« Qu’est-ce que tu racontes Socrate »… «Tu interroges ou tu réponds ? »(p156-158)-460b-462b
2.2 La rhétorique n’est qu’un savoir-faire :
« Ah oui je vais le faire » … « je te le dis encore, c’est un savoir-faire » ((p158-160)-462b-462d
2.3 La rhétorique est une partie de la flatterie :
« mais de faire quoi : dis-le »… « Que feras-tu plus tard » (p160-164)-462d-466a
2.4 La comparaison des orateurs et des tyrans et l’illusion de la toute-puissance:
« Ainsi les orateurs de qualité »… « sinon tu n’as qu’à répondre » (p166-170)-466a-467c
2.5 Faire ce qui nous plaît, ce n’est pas la même chose que faire une action en vue d’un bien :
« Bon j’accepte de répondre » … « et n’y fit pas non plus tout ce qu’ils voulaient » (p170-174)-467c-468e
2.6 Le calcul de l’avantage: la question du juste et la question du sens de l’action:
« A t’entendre Socrate » … « tu penses exactement comme moi » (p174-182)-468e-471e
2.7 La réfutation de tribunal et la réfutation vraie :
« En fait, très cher ami, tu te mets à me réfuter comme les rhéteurs au tribunal »… « voyons en quoi elles diffèrent » (p182-183)-471e-472c
2.8 La question de la valeur de la punition:
« Car le sujet de notre discussion n’est vraiment pas insignifiant »… « Demande à n’importe qui pour voir !» (p183-187)-472c-474a
2.9 L’entretien dialectique n’est pas une consultation électorale :
« Polos, je ne suis pas homme à m’occuper des affaires de la cité »… « en répondant à mes questions » (p187-188)- 474a-474b
2.10 Des conséquences de la laideur de la justice sur sa valeur morale:
« Car je pense que toi comme moi, comme tout le reste des hommes » … «Bon. Cela va comme ça» (p188-194)- 474b-476b
2.11 L’agir et le pâtir de l’âme: l’interconnexion des modalités:
« Juste après, examinons le second point »…« L’âme de l’homme qu’on punit est-elle donc délivrer de son mal ? – oui » (p194-198)-476b -477a
2. 12Les grands types de maux propres à l’âme:
« Mais cet homme n’est-il pas en même temps délivrer du pire des maux ? »… « le pire et le plus considérable des maux. – c’est probable » (p198-208) – 477a- 479d
2.13 La bonne rhétorique doit servir à s’accuser soi-même:
«Quel était donc mon cher ami»… « la rhétorique semblait ne servir à rien » (p208-211) – 479d-481b