Des relations entre l’enseignant et les élèves

Dans la majorité des cas, l’enfant admire son maître ou sa maîtresse. Le petit enfant a peu d’expérience de la vie et il se sent en sécurité avec son enseignant. L’enseignant de maternelle est un guide, un médiateur pour les enfants. Il éduque les sens, enseigne le travail en équipe. Il occupe donc une place centrale dans les apprentissages. Le début de la scolarisation est une expérience décisive.

Je pense que des relations entre l’enseignant et les élèves doivent se fonder sur des plusieurs caractéristiques :

La première caractéristique est une subordination. La subordination est avant tout la discipline et le respect des adultes. Sans subordination, il y a des cas comme des violations de discipline ou des quelques règles en général. La subordination dans notre vie et le contrôle de la discipline et de la distance.

La deuxième caractéristique est une compréhension mutuelle. Le problème de la compréhension mutuelle entre l’enseignant et l’élève est actuellement aujourd’hui, car de nos jours il n’y a presque pas de lieu entre les générations. Le principal but pour l’élève et l’enseignant et de chercher à comprendre, parce que c’est vraiment important pour les activités d’apprentissage réussies.

Et la troisième caractéristique est interaction amicale. C’est soutenir la plupart du temps état sans conflit comme entre les élèves et aussi bien entre les élèves et les enseignants. Y compris le respect par les enseignants et par les élèves.

Quand j’étais à l’école pendant mon stage pédagogique j’ai remarqué toutes ces caractéristiques. Des relations entre les élèves et la maitresse étaient chaleureuses et amicaux. Les enfants ont l’écouté avec intérêt. C’est m’a plu beaucoup de voir ces relations, de voir l’ambiance conviviale dans la salle de classe.

Observation d’une séance de français

Quand j’ai été au stage pédagogique j’ai eu beaucoup des séances, parmi eux il était la séance de français. Cette séance a impliqué l’orthographe, la lecture, la littérature, l’écriture et la grammaire. La maîtresse a répété avec les enfants quelques règles au début du cours, et après ils ont fait des exercices.

Nous avons eu la dictée de mots. Mais comme dans la groupe les enfants avaient l’âge différents, la maîtresse disait des mots plus simples pour les enfants de six ans.  C’est la chose qui m’a surpris, parce que en Russie il n’y a pas de différence dans le travail en classe parmi les enfants de l’âge différents.

Les enfants lisaient des certaines prépositions du texte à son tour et la maîtresse a corrigé s’ils faisaient des fautes. Les exercices et les textes ont été prélevés du manuel qui s’appelle « Apprendre lire avec plaisir ».

Pour corriger l’orthographe d’enfants la maîtresse a utilisé les exercices sur les feuilles où les enfants devaient remplir les mots ou les lettres manquants. Et puis ils ont vérifié ensemble.

Encore la maîtresse a utilisé des livres différents pour lire l’histoire à la fin du cours. Principalement ils étaient les racontes, par exemples, « la Cendrillon » ou « La blanche-neige ».

Pendant les cours français les enfants ont utilisé des petits dictionnaires qui s’appellent « Le Larousse des tout-petits » pour des verbes, pour des adjectifs, pour les noms. L’auteur de ces dictionnaires Agnès Rosenstiehl.

Je pense que ces cours de français sont très utiles pour moi, parce que j’ai pris l’expérience pédagogique pour ma spécialité. Je peux utiliser des certains supports pour mon stage et pour mon travaille en Russie à l’avenir.

 

Mon stage pédagogique

Ici, à Caen, j’ai fait le stage pédagogique à l’école maternelle qui s’appelle « Ecole maladrerie ». J’ai eu le groupe d’enfants de 6-7 ans. J’ai observé les cours et j’ai passé deux cours.

Au premier cours J’ai raconté de mon pays, de la Russie, de sa culture, de sa langue. J’ai montré des vidéos de la capitale Moscou et de ma ville natale – Saint-Pétersbourg – la capitale culturelle de la Russie. Et au deuxième cours j’ai raconté de dessins animés russes. Nous avons regardé deux épisodes de dessin animé russe très populaire qui s’appelle « Masha et L’ours » ou « Masha et Mishka ». Nous avons regardé ce dessin animé à la langue française. Les enfants ont l’aimé beaucoup. Et ensuite j’ai leur proposé de dessiner leurs personnages préférés de dessins animés. Et puis les enfants ont expliqué de leur choix : le personnage préféré c’est qui et pourquoi ils l’aiment. C’est vraiment intéressant. Et à la fin de nos cours les enfants ont me donné ses dessins.

A ce stage pédagogique je me suis intéressé le système d’enseignement parce que il y a une grande différence entre le système d’enseignement en Russie et en France.

La première chose que j’ai remarqué c’est les horaires de cours. Les enfants en France vont à l’école vers 8 :45 et après à midi ils reviennent à la maison pour manger, ensuite ils vont à l’école de nouveau vers 13 :45 jusqu’à 16 :30.

La deuxième chose c’est la réunion d’orientation avec des enfants avant les cours pour annoncer des nouvelles ou, par exemple, répéter des règles.

Et la troisième chose c’est le travaille avec des tables, avec des ordinateurs, avec des rétroprojecteurs. Il y a beaucoup de technique pour les petits enfants. Ils utilisent beaucoup de programmes avec des joies qui conçus pour l’entraînement de la mémoire visuelle. Par exemple la joie sur l’ordinateur avec des images différentes. C’est la méthode de découverte des images par association.

Je suis vraiment heureuse que j’ai fait ce stage pédagogique, parce que c’est l’expérience inappréciable pour ma spécialité, et surtout pour mon niveau de la langue française.

Mon récit de vie

Je m’appelle Alissa. J’ai 21 ans. J’habite au Kolomna, c’est la ville qui se trouve à coté de Moscou, en Russie. Je fais mes études à l’université d’État et de sciences humaines à la faculté de langues étrangères. Quand j’étais à l’école, je me suis intéressé beaucoup de choses y compris des langues étrangères. Je pense si tu étudie des langues étrangères, tu ouvres le monde, tu ouvres d’autres cultures de notre planète, d’autres mentalités, d’autres (compréhension) du monde. C’est très intéressant. Et après l’école j’ai choisi la faculté des langues étrangères, j’ai choisi le français. Pourquoi le français ? Il y a beaucoup de causes. La langue française est une langue internationale. Il y a beaucoup de pays où on parle cette langue. Le français est vraiment la plus belle langue, la plus romantique. C’est une langue des voyages. C’est la base pour étudier d’autre langue.

Et maintenant je suis en France pour trois mois. Je suis arrivé ici pour améliorer ma compétence linguistique, pour faire la connaissance avec ce pays, pour recevoir l’expérience de ma spécialité. Ce sont des choses principales. Et bien sûr je voudrais élargir mon esprit, parler avec des narratifs, comprendre la mentalité française.

C’est une grande expérience de ma vie. Je pense que si tu étudie la langue étrangère dans le pays où on parle cette langue, tu apprendras la langue plus vite.

A l’avenir je voudrais travailler dans les pays francophones, travailler avec des étudiants étrangers, avec des enfants étrangères. Je voudrais leur apprendre de d’autres langues, de faire la connaissance de d’autres cultures. Je pense que c’est vraiment important de savoir du monde. Parce que nous devons travailler ensemble, nos pays, nos gens pour vivre en paix, pour prévenir quelques cataclysmes etc.

Je suis vraiment heureuse d’être ici, à Caen, en France. J’ai eu la grande expérience qui concerne et ma spécialité, et mon niveau de langue, et ma vie en général.