Très bonnes vacances à tous.
Nathalie Anton
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Voici comment « Le guide de prévention et d’intervention contre la violence envers le personnel de l’éducation », paru en 2007 au Québec, définit l’intimidation et le harcèlement :
« L’intimidation consiste en un comportement qui vise à faire peur à la victime, à la menacer pour la forcer à agir contre son gré. (…)
Nous considérons que le harcèlement est un type d’intimidation pratiquée à répétition sur la victime. Il s’agit de comportements abusifs qui se manifestent par des actions, des paroles, des actes, des gestes ou des écrits unilatéraux, commis par une ou plusieurs personnes et dirigés contre un individu. La répétition des gestes a pour conséquence l’atteinte à l’intégrité psychologique ou physique de la personne et la victime éprouve généralement un sentiment d’impuissance par rapport à la situation ».
Dès 2005, un guide de l’Ontario, intitulé « Améliorer la sécurité dans les écoles : un plan d’action pour la prévention de l’intimidation », précisait que :
« Les victimes d’intimidation sont bien souvent aux prises avec des problèmes comme l’angoisse sociale et la solitude, le retrait, des malaises physiques tels des maux de tête ou d’estomac, une faible estime de soi, l’absentéisme scolaire, un rendement scolaire moindre, des phobies, de la dépression, des comportements agressifs. Dans les cas les plus extrêmes, il en résulte le suicide (…).
Les intimidateurs qui apprennent à utiliser l’agression comme forme de pouvoir sont susceptibles de développer d’autres problèmes importants tels le désengagement social, la délinquance, l’abus d’alcool et d’autres drogues, la criminalité adulte et le suicide (…).
Les observateurs exercent également une influence notable. Les études montrent que les pairs sont présents dans 85 % des épisodes observés dans les cours d’école. »
Si les canadiens intègrent des programmes de prévention scolaires pour lutter contre l’intimidation et le harcèlement, et notamment, le cyber-harcèlement, la France est encore très en retard dans ce domaine, en dépit de la fréquence de ce phénomène et de ses conséquences dramatiques sur le plan psychologique. Espérons que que la présence d’Eric Debarbieux au ministère permettra de faire évoluer cet état de fait.
Nathalie Anton
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Pour Catherine Blaya, sociologue enseignant à l’université de Bourgogne, les violences infligées au moyen des nouvelles technologies de communication (téléphone portable, ordinateur…) toucheraient environ 20% d’élèves.
Pour information, une étude e-enfance/Ipsos citée par la Cnil révèle que :
– 70% des enfants de moins de 11 ans utilisent internet
– 19% des 9–10 ans et 49% des 11–12 ans possèdent un téléphone portable
Cette « cyber-violence », traitée d’ailleurs par une unité de la Brigade de Protection des Mineurs, se décline principalement sous les formes suivantes :
– Harcèlement sexuel / homophobie
– Publication de photos à l’insu de la victime
– Happy slapping
– Altération d’images pour tourner quelqu’un en ridicule
– Usurpation d’identité numérique
– Piratage de mail
– Insultes, menaces
– Diffamation
La violence, via les nouvelles technologies, est d’autant plus forte qu’elle décuple les capacités de diffusion des faits et qu’elle favorise l’anonymat, le sentiment d’impunité et l’absence d’empathie du côté de l’agresseur, qui n’est plus confronté directement aux émotions de sa victime.
Les conséquences pour les victimes peuvent évidemment être dramatiques, allant de l’absence de concentration à la baisse des résultats scolaires, de l’absentéisme à la phobie scolaire, de l’angoisse à la psychosomatisation, voire de la perte d’estime de soi au suicide.
Or, les jeunes ne savent pas toujours comment se défendre face à ces débordements, soit qu’ils n’aient pas confiance en l’adulte, soit qu’ils se sentent parfois eux-mêmes en partie coupables, soit que leurs parents ne maîtrisent pas ces nouvelles technologies.
Ces derniers doivent donc être conscients de l’existence de ces cyber-violences, et tenter d’en protéger leurs enfants par des mesures de contrôle élémentaires certes, mais surtout par un dialogue ouvert, régulier et rassurant mené auprès d’eux, en lien avec les professionnels éducatifs, voire policiers si nécessaire.
Nathalie Anton
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