La violence excessive !

La pièce s’intitule Alpenstock suivi de Occident. L’auteur se nomme Rémi De Vos.
Ce livre est composé de deux pièces traitant toutes deux de l’amour partagé avec de la violence dans un couple. Violence qui est selon moi excessive.

Dans Alpenstock, au début nous avons l’impression d’être confronté à un couple parfait qui s’aime et un mari attendrissant mais très vite nous parvenons à nous rendre compte de la personnalité de ce dernier qui est méprisant, agressif et qui a peu d’estime pour sa femme. De plus, la dispute qui a pour cause un détergeant est selon moi ridicule et conduit à des événements trop importants. Je n’arrivais pas très bien à saisir si Yosip meurt ou non en voyant son personnage réapparaître au fil des actes.

Dans Occident, nous avons un couple qui ne cesse de s’insulter avec du vocabulaire grossier. Le mari comme la femme sont des personnes violentes dans leur paroles. Le mari est aussi un homme raciste comme lui dit sa femme. J’ai tout de même lu facilement cette pièce mais je ne l’ai pas appréciée.

Alpenstock, de Rémi De Vos. Mise en scène Julien Duval, Théâtre de La Licorne, Cannes le 29 nov. 2013.

 Source : https://www.arts-spectacles.com/Alpenstock-de-Remi-De-Vos-Mise-en-scene-Julien-Duval-Theatre-de-La-Licorne-Cannes-le-29-nov-2013_a9093.html

 

Sarah Flandrinck, 1èreL

Oubli

 

Cette pièce est une réécriture du Cendrillon que l’on connaît tous. Dans cette réécriture, une jeune fille perd sa mère, elle se réfugie dans le silence. Un jour son père l’emmène vivre chez sa nouvelle femme avec lui, ce qui n’est pas au goût de la jeune fille. Elle va devoir accepter ce que sa belle-mère va lui imposer sans rien dire. Tous les jours la jeune fille va répéter « je lui ai promis ». Mais promis quoi ? Je vous laisse le découvrir…

Dans cette pièce nous pouvons retrouver le déni, la tristesse ainsi que la peur de l’oubli d’une jeune fille.

Personnellement je n’aime pas cette réécriture.

Il y tout de même des points positifs. On peut en effet retrouver des aspects de la version originale de Cendrillon. Les sentiments de la jeune fille sont bien exprimés par ses paroles.

En revanche, je n’ai pas du tout aimé le vocabulaire qui est pour moi trop familier, je dirais même grossier et irrespectueux, de la jeune fille. Je n’ai non plus aimé la façon dont parle la jeune fille à son père car elle lui doit respect et elle lui dit de se taire de façon grossière… . Lors de ma lecture je la trouvais interminable et très ennuyante.

C’est donc pour cela que je ne donnerai qu’un étoile à cette pièce

Pommerat, JoëlCendrillonActes Sud, 01-06-2013. 162 p.

Sarah Flandrinck, 1èreL