Prix Goncourt des Lycéens

Les lectures vont bon train

Les avis commencent à se dessiner.

Suivez le guide ….

Ce qu’en pensent Jean et Adam 

Ce qu’en pensent Anaïs et Guillemette 

Ce qu’en pensent Baptiste et Thimoté

Quand les Secondes s’engagent ….

Lundi 15 avril 2019, 18h30.

Je suis dans la cathédrale Notre-Dame de Paris, avec un groupe de cinq touristes américains. Je leur conte la vie de ce magnifique édifice, quand tout à coup des alarmes incendie retentissent. Les visiteurs commencent à se précipiter vers les sorties. Pour rassurer mon groupe, j’explique que ce n’est surement qu’un exercice. Mais dans l’instant même, une voix résonne dans toute la cathédrale :

  • « Dirigez-vous rapidement vers les sorties, ceci n’est pas un exercice, merci. Go faster to the exit, this is not an exercise, thank you. »

Mes clients me regardent, inquiets, nous sommes au niveau de l’autel, les issues principales au bout de la nef sont trop éloignées et prisent d’assaut par les autres  visiteurs, nous ne pouvons y accéder rapidement. Je réfléchis une ou deux secondes afin de trouver un moyen plus rapide pour sortir. En me dirigeant vers la porte Saint Etienne, je m’écrie :

  • « Follow me, rapidly » pour être sûre que mes touristes me suivent parmi ces gens qui commencent à paniquer.

Nous sommes dehors en moins d’une minute. Un flot de personnes nous emporte vers le parvis de la cathédrale. Les forces de l’ordre commencent déjà à arriver et à former un cordon de sécurité autour de l’esplanade, nous obligeant à reculer. L’image est effrayante. Une fumée épaisse et noire se dégage de l’arrière de la cathédrale, sûrement au niveau de la nef. C’est une vision terrifiante…

Notre-Dame de Paris est en proie aux flammes !!! La foule commence à devenir de plus en plus dense, mais étrangement il n’y a que très peu de bruit. Très rapidement des dizaines de véhicules de pompiers arrivent et se déploient autour de l’édifice. Les autorités présentes, nous font encore reculer d’une centaine de mètres, ne faisant qu’accroître notre impuissance face au feu. La flèche commence, elle aussi à s’embraser.

Cela fait environ une heure que nous sommes tous rassemblés, quand tout à coup dans un effroi collectif la flèche s’écroule sur elle-même… La plus jeune des touristes de mon groupe s’effondre, en larmes, comme des dizaines d’autres personnes ici. J’ai pour ma part la gorge très serrée… Une voix plus forte que les autres s’élève derrière moi, elle entame une prière, aussitôt rejointe par des dizaines d’autres voix y compris la mienne. Je ne suis pas particulièrement croyante, mais il me semble important de me joindre à cette imploration divine qui selon moi est la seule à détenir ce pouvoir. Maintenant, nous sommes plusieurs centaines, sûrement un millier ou peut-être même plus.

Mais ce que je sais, c’est que nous sommes tous réunis et tournés vers ce même symbole de l’histoire de France pour la population parisienne, française et même mondiale dont je fais partie. J’y suis d’autant plus attachée que c’est mon « bureau » et il ne passe pas plus d’une semaine sans que je n’y vienne. Elle est devenue comme un membre de ma famille… Mon cœur, mon âme se consument à la pensée de sa perte imminente.  Une résistance de plusieurs siècles, achevée en quelques heures, lors de ce lundi Saint. On peut néanmoins se demander si ce n’est pas un appel plutôt qu’un incendie…

« Le contraire de la misère ce n’est pas la richesse. Le contraire de la richesse c’est le partage. »

L’Abbé Pierre

Julie Deschouvert, 2°6

 

 

Ce photomontage montre que les « Misérables » peuplent toujours notre société car on y voit deux photos complètement opposées. Sur l’image de gauche, un enfant et sa mère sont présents, ils vivent dans la misère comme on le remarque grâce à leurs tenues et leur lieu de vie. Contrairement au second cliché où l’on trouve un enfant jouant avec ses nombreux jouets dans un espace propre et portant des vêtements soignés. Il y a un contraste entre les deux photos, l’une est composée de couleurs ternes et sombres tandis que l’autre est constituée de multiples couleurs vives.

 

                Je trouve que ce photomontage est une preuve de la misère qui règne encore dans notre société, c’est un phénomène courant partout dans le monde, il est présent sous différentes formes mais à un niveau plus ou moins marqué selon les continents. Il y a de nombreuses inégalités entre les pays développés et ceux qui ne le sont pas, on retrouve cette misère notamment en Afrique et en Asie où le manque de place et la surpopulation en sont les principaux facteurs. Dans ces différents pays, les enfants sont les premiers à souffrir devant cette adversité, ils sont souvent analphabètes car leurs familles n’ont pas les moyens de les mettre à l’école. De plus, ils ne mangent pas à leur faim toujours par manque d’argent, ce manque ne leur permet donc pas de s’acheter de quoi se nourrir, se vêtir et se loger. Ce sont des familles sans richesse, on le remarque grâce à leur cadre de vie, un manque d’hygiène et de confort, des habitats insalubres, pas d’eau potable, des habits amples et sales, pas de chaussures, seuls les hommes travaillent le plus souvent dans les champs mais avec un revenu très faible. Celui-ci n’est pas assez conséquent c’est pour cela que leur vie est si rude et si pauvre et qu’ils font face à cette grande misère.

                Il faudrait maintenant combattre ce phénomène, et ainsi éviter toutes les inégalités économiques qui existent à travers le monde. Pour une vie et des conditions de vie meilleures, il serait préférable pour les pays les plus développés d’aider financièrement les pays les moins avancés et permettre à ces états de se développer. Egalement, des associations pourraient venir en aide à ces familles démunies, elles en ont besoin notamment pour leurs nombreux enfants auxquels les parents veulent offrir une vie plus agréable. Pour cela, ils doivent s’instruire et donc aller à l’école mais celle-ci est soit située loin des villages soit elle est inexistante, en conséquence ils ne peuvent pas étudier et obtenir de diplômes pour travailler et gagner un revenu qui permettrait d’aider leur famille. Ensuite, il est important pour un enfant de pouvoir s’amuser et se divertir mais avec cette précarité, il leur est impossible de s’offrir ce plaisir contrairement aux populations des pays les plus riches où presque rien ne leur manque que ce soit dans les besoins de base ou dans les besoins secondaires.

                Ce photomontage a été réalisé dans l’objectif d’interpeller les lecteurs sur la misère encore présente dans le monde, à travers tous les pays. La plupart des humains ne se rend pas compte de la chance qu’il a d’avoir un toit, de quoi se nourrir et de se vêtir tandis qu’à l autre bout du monde de nombreuses personnes meurent chaque jour à cause de la famine ou de problèmes sanitaires. Le style de vie de chaque pays est différent, malgré ça, les plus démunis sont souvent ceux qui se plaignent le moins et gardent le sourire dans toutes les situations, cela doit être un exemple pour le monde entier.

Pour finir, la misère est présente partout là où on est, on peut la voir dans toutes les rues sans s’y intéresser et pourtant, de nombreuses personnes ont besoin d’aide, besoin de chaleur humaine, besoin d’argent, besoin de nourriture, besoin d’un toit mais elles se retrouvent dans cette situation sans l’avoir demandé, quiconque n’a envie d’être à leur place, il faudrait leur accorder un  minimum de respect et de politesse.

Faustine Legay, 2°6

« Vous voulez la misère secourue. Moi. Je la veux supprimée. » Victor Hugo

LE PRINTEMPS DES POETES 2019

Le Printemps des Poètes 2019 est sous le signe de la beauté, les élèves des ateliers CDI vous proposent leurs créations inspirées. « La poésie, c’est ainsi ; elle vous révèle à vous-même et nous révèle le monde sous un jour nouveau…. »

Lumière ou obscurité ?

Trois pas sur le sentier

S’éloignant de l’obscurité

Et s’approchant de la clarté

Parti loin des tourments

Tu tentes désespérément

De faire des sourires aux gens

Mais à force d’essayer

Tu perds de ta beauté

Mais alors, tu cours vers ta destinée

Tu refuses d’abandonner !

Vois-tu cette personne là-bas ?

Suis-la et tu y arriveras.

Comme avant

Je suis retournée au parc

Celui qu’on aimait

J’y ai cherché ton regard

Sur le visage de chaque passant

Je t’ai attendu au pied du châtaignier

Comme avant

Je pensais que tu allais revenir

Comme ils font tous dans les romans

Mais tu n’es pas fait de papier

Alors j’ai attendu longtemps

Dis-moi pourquoi j’espère encore

Réponds-moi si tu m’entends

Parfois j’essaie de te sourire

Mais je rate tout le temps

J’ai peur que tu détournes les yeux

Pensant que ça n’est pas important

Tu ne saurais jamais à quel point

Avec toi c’était différent

Je fais comme si tout allait bien

Mais au fond je ne ressens plus rien

Personne n’entend le silence qui habite au fond de moi

Bloquée dans mes souvenirs

Vais-je réussir à m’en sortir ?

Le temps devait guérir

Mais je ne t’oublie toujours pas.

Haïkus…

 

 

 

… d’été 

Vois-tu la jolie grive d’été

Un vers dans son bec, savouré

Le soleil sur ses plumes reflété

… d’hiver :

La neige blanche sur les bords de montagnes

Scintille comme un bon champagne

On a froid faut qu’on s’magne

… d’automne :

Une feuille orangée sous un filet de lumière

A l’abri du paysage éphémère

Vieilli et fermenté comme une bonne bière

… de printemps :

Soudainement, la nature renaît

Et voilà dans un cours d’eau baigné

Un petit écureuil rouge orangé

Gautier et William

 

Vous avez dit SURRÉALISTE ?

La vision surréaliste de notre société de consommation par les 1°

ES2

A la manière d’Eluard, quelques cadavres exquis …..

Qu’est-ce que le bonheur ? …..C’est dommage !

Qu’est-ce que vivre ? …..C’est le bonheur !

Qu’est-ce que l’amour ?….C’est compliqué mais c’est l’avenir !

Qu’est-ce que la joie ? …..C’est une évidence !

Qu’est-ce qu’une porte ouverte ? ….C’est un soleil qui brille ! 

Qu’est-ce que manger à sa fin ? …… C’est le temps qui passe ! 

Qu’est-ce que le pouvoir ?…… C’est un chihuahua atrophié !

Qu’est-ce que le rire ? ……C’est un ver albinos

Qu’est-ce que cette étagère sur le mur blanc ?……C’est la vérité qui sort de la bouche des enfants !

Qu’est-ce que le rêve américain ?…….C’est un vieil objet oublié dans un coin !

Qu’est-ce que la Nature …… C’est un orage qui gronde !

« Ma grosse grand-mère se déshabille avec un cheval blanc

Cet exercice inculte fume en Syrie avec des chips

Adolf Hitler, le moustachu fonce au Kremlin avec Staline »

Capucine et Léa ont suivi les principes de Tristan Tzara :

Prenez un journal

Prenez des ciseaux

Choisissez dans ce journal un article ayant la longueur que vous comptez donner à votre poème.

Découpez l’article.

Découpez ensuite avec soin chacun des mots qui forment cet article et mettez-les dans un sac.

Agitez doucement.

Sortez ensuite chaque coupure l’une après l’autre dans l’ordre où elles ont quitté le sac.

Copiez consciencieusement.

Le poème vous ressemblera.

Et vous voici un écrivain infiniment original et d’une sensibilité charmante, encore qu’incomprise du vulgaire.

Et voilà le résultat :

Les autres films à ne pas louper ?

On libère ses endorphines

Et tu mets tout en oeuvre pour te prémunir du dessèchement

Petites peaux qui s’accumulent autour des ongles

On se lave les cheveux

Tu te sens alors porter un autre regard

Un hommage tiré cependant par les cheveux

Toujours aussi Gras ? Sans le savoir

Tu adoptes peut-être quelques-uns de tes tabous

A bannir absolument….. 

A la manière d’Eluard qui détournait les proverbes, Pauline,  Simon, Rémi et Victor ont crée à leur tour :

« A quelque rose chasseur est bon »

« Il faut rendre à la paille ce qui appartient à la poutre »

« Quand la raison n’est pas là, les souris dansent »

« Vivre d’erreurs et de parfums »

« La caravane passe, le chien n’amasse pas mousse »

« la vanité n’a point plus grand ennemi que l’enclume et le marteau »

« Qui reste sans se marier est jaloux comme un gueux de sa besace »

« L’usage est congé pour le,paresseux »

« La merveille cherche sa pareille »

« On est en ce monde un poisson qui gît et dort »

« Sans couverture d’or, on amasse un franc »

Voici des cadavres exquis laissés à l’interprétation de votre inconscience …..

 

 

 

 

Laissons les nous emmener sur les ailes d’un aigle, un SOIR vers un autre monde …. « Un Soir », Alcools, Apollinaire

Invitation au voyage

« Là, tout n’est qu’ordre et beauté

Luxe, calme et volupté »

Les premières ES2 ont parcouru la poésie française à la recherche de pays inconnus, de continents qui parlent à l’âme en secret, de terres oniriques, de paysages au bout du monde où les soleils couchants revêtent les villes d’or et d’hyacinthe. L’exposition de leurs anthologies vous propose un parcours à travers les pays qui peut-être vous ressemblent  !

A voir au CDI du lycée…

Crimes et châtiments

La correspondance inter-établissements continue ….

Nous vous avions quitté, l’année dernière avec la rédaction d’une nouvelle mimant Madame Bovary. Pour cela, Elina SADOUNI vous avez proposé quelques esquisses.

Cette année, la classe de seconde 3 renouvelle  l’échange avec SAINT-THOMAS-D’AQUIN, établissement se situant à FLERS grâce à la rédaction d’une chronique policière.

    AU PROGRAMME : SUSPENS, DRAME et STUPEUR!!!!!!

Etape 1 : La découverte du fait-divers. Les élèves se sont mis dans la peau d’un journaliste. Ce dernier doit se déplacer car un événement étrange vient d’avoir lieu dans un monument rouennais. Dans un premier temps, le professionnel relate cette histoire en détaillant le cadre. Puis, de retour chez lui, il commence à réfléchir car un détail l’interpelle ….. OUI, MAIS LEQUEL?

VOICI QUELQUES PRODUCTIONS D’ÉLÈVES : A VOUS DE JUGER !!!! TROUVEZ LES INDICES!!!!

Travail élaboré par Baptiste VAUTIER (seconde 3)

 

 

 

 

Baptiste a souhaité ajouter une autre page à cet article afin de mimer la forme journalistique.

Quelques idées de lectures

I- MOYEN-ÂGE, XVIe S. ET XVIIe S.

  • Chrétien de Troyes : Yvain ou le chevalier au lion, Perceval ou le roman du Graal
  • Corneille : Le Cid, Horace
  • La Fontaine : Fables
  • Mme de Lafayette : La Princesse de Montpensier
  • Molière : Les Fourberies de Scapin, Les Femmes savantes, L’Avare, Les Précieuses ridicules,
  • Georges Dandin, Le Médecin malgré lui, L’Ecole des femmes, Le Malade imaginaire…
  • Perrault : Histoires ou contes du temps passé
  • Racine : Andromaque

 

II- XVIIIe S.

  • Beaumarchais : Le Barbier de Séville
  • Marivaux : L’Ile des esclaves, autres pièces de votre choix
  • Voltaire : Zadig, Micromégas, Candide

III- XIXe S.

  • Balzac : Le Colonel Chabert, Le Chef-d’œuvre inconnu
  • Barbey d’Aurevilly : Le Bonheur dans le crime
  • Dumas : Les trois mousquetaires…
  • Flaubert : Trois contes
  • Gautier : Le Roman de la momie
  • Hugo : Notre-Dame de Paris, Quatre-vingt-treize, Le dernier jour d’un condamné, Les Misérables, Les Orientales.
  • Maupassant : Boule de Suif, Pierre et Jean, Une Vie, Le Horla, contes fantastiques ou nouvelles réalistes…au choix
  • Mérimée : Carmen, La Vénus d’Ille
  • Stendhal : Vanina Vanini
  • Verne : tout ce que vous souhaitez
  • Zola : Au Bonheur des dames, Germinal, Thérèse Raquin

IV- XXe S.

  • Alain-Fournier : Le grand Meaulnes
  • Anouilh : Antigone
  • Barjavel : Ravage, La Nuit des temps…
  • Beauvoir : Mémoires d’une jeune fille rangée
  • Camus : La Peste
  • Colette : La Chatte, Sido, Les Vrilles de la vigne…
  • Gary : La Promesse de l’aube
  • Le Clézio : Désert, Poisson d’or
  • Queneau : Zazie dans le métro, Exercices de style…
  • Vian : L’Ecume des jours

V- AUTEURS ANTIQUES : Latin et grec

  • Homère : L’Iliade, L’Odyssée
  • Euripide : Médée, Electre, Andromaque, Oreste…
  • Ovide : Les Métamorphoses
  • Sophocle : Antigone, Œdipe roi…

VI- AUTEURS ETRANGERS

  • Hemingway : Le vieil homme et la mer
  • Hoffmann : Les Contes
  • Huxley : Le meilleur des mondes
  • Kafka : La Métamorphose
  • Orwell : La Ferme des animaux, 1984
  • Poe : nouvelles fantastiques
  • Pouchkine : La Dame de pique, nouvelles
  • Shakespeare : Roméo et Juliette, Beaucoup de bruit pour rien, Songe d’une nuit d’été…
  • Stevenson : L’Ile au trésor, Dr Jekyll et Mr Hyde
  • Twain : Les Aventures de Tom Sawyer
  • Zweig : Le Joueur d’échecs, Amok…

 

Rappelez-vous que la lecture n’est pas une histoire seulement, c’est aussi un auteur, un style, une époque Mais avant toute chose, la lecture est un plaisir

 

ES2 : Donneurs de voix

Les 1°ES 2 vous offrent un moment de lecture pour découvrir le roman de Maëlys de Kérangal, Corniche Kennedy

« Les petits cons de la corniche. La bande. On ne sait les nommer autrement. Leur corps est incisif, leur âge dilaté entre treize et dix-sept, et c’est un seul et même âge, celui de la conquête : on détourne la joue du baiser maternel, on crache dans la soupe, on déserte la maison. »
Le temps d’un été, quelques adolescents désœuvrés défient les lois de la gravitation en plongeant le long de la corniche Kennedy. Derrière ses jumelles, un commissaire, chargé de la surveillance de cette zone du littoral, les observe. Entre tolérance zéro et goût de l’interdit, les choses vont s’envenimer…
Âpre et sensuelle, la magie de ce roman ne tient qu’à un fil, le fil d’une écriture sans temps morts, cristallisant tous les vertiges.

Agathe, Antoine, Molly, Thomas, Garance, Emma, Elyse, Lilou, Manon, Lola ….donnent leur voix pour nous inviter à plonger dans ce roman….