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Les grands oiseaux des Alpes

Gypaete barbuLe Gypaète barbu, plus grand vautour d’Europe, est en voie de réimplantation dans les Alpes.

 

 

 

 

Aigle royalL’aigle royal lui serait en légère augmentation.

 

 

 

 

 

On peut observer le Circaète Jean-le-Blanc l’été : migrateur, il se nourrit essentiellement de serpents.Circaete Jean le Blanc dévorant un serpent (Queyras)

 

Il y a la présence du faucon crécerelle, qui pratique avec le circaète le vol sur place, dit en « Saint-Esprit ».

 

On peut observer dans le nord des Alpes des groupes de vautours fauves, qui ne nichent pas ici, mais viennent vraisemblablement pour manger les diverses carcasses, moutons ou autres, abandonnées dans la montagne.

LES MOYENS DE CONTRACEPTION

Voici les trois moyens de contraception les plus utilisés :

La pilule contraceptive féminine :

Elle est délivrée en pharmacie avec l’ordonnance d’un médecin. Un comprimé est à avaler une fois par jour durant 21 ou 28 jours selon les types de pilules. Elle empêche chimiquement l’ovulation .

Le dispositif intra-utérin (D.I.U.) aussi appelé « stérilet » :

il est placé par le médecin dans l’utérus, il empêche l’embryon de s’implanter dans l’utérus. S’il est pourvu d’un fil de cuivre, il est aussi spermicide (il tue les spermatozoïdes).

Le préservatif masculin :

c’est une protection en forme d’étui qui se place sur le pénis. En vente libre en pharmacie, dans les grandes surfaces ou dans des distributeurs automatiques, il n’est utilisable qu’une  seule fois. Il retient le sperme, empêchant ainsi toute rencontre entre un ovule et un spermatozoïde. Il est également  un moyen efficace pour se préserver des infections sexuellement  transmissibles comme le Sida.

Andréa

Le coronavirus

Le coronavirus est une maladie mortelle très contagieuse dont les symptômes sont un écoulement nasal, un mal de gorge, de la toux, de la fièvre et, chez certaines personnes, la pneumonie ou des difficultés respiratoires. L’origine est mal connue mais elle est partie de Chine.

Et juste après la Chine, l’Italie depuis le 31 janvier en ce moment il y a 74 386 cas et 7503 cas morts. Le pays est en ce moment en isolement. La France a 40 000 cas et 1 331 morts donc la France en confinement depuis une semaine et demie et pour une durée indéterminée. Il y a 110 pays contaminés actuellement dans le monde

Donc il vaut mieux respecter les gestes barrières qui  sont :

– rester chez soi le plus possible

– se laver les mains

– garder une distance minimum avec les autres personnes

– tousser dans son coude et se moucher avec des mouchoirs à usage unique

Les abeilles du Salève

Le vendredi 28 octobre 2019, Mr Favre qui fait partie de l’Association « les abeilles du Salève  » est venu au collège pour nous expliquer la vie des abeilles dans une ruche .

Cette association a été créée en 1988.
Les abeilles sont apparues il y a 100 millions d’années avec les fleurs.
Les abeilles pollinisent les fleurs pour que l’on est des fruits et des légumes.
Les ruches à cadres sont apparues dans les années 1900.
La ruche est une sorte de climatiseur où les abeilles ventilent constamment l’intérieur pour réchauffer la ruche qui doit être à 37°C l’été et à 20°C l’hiver.
La reine pond 2000 œufs par jours ,elle vit 5 ans : c’est sa seule activité. Une abeilles vit 21 jours.
Une abeille a plusieurs rôles au cours de sa vie : nourricière, cirière, nettoyeuse, butineuse et soldat à la fin de sa vie .
Dans une ruches il y a environ 70 000 abeilles en été ,20 000 en hiver et il y a environ 3 000 faux bourdons (ce sont les mâles).
Les abeilles se nourrissent par profilaxie c’est à dire qu’elles se donnent à manger par la bouche.
Pour récolter le miel l’apiculteur doit porter une vareuse , c’est un habit avec un masque qui le protège des piqûres d’abeilles.
Il utilise un enfumoir qui sert à envoyer de la fumée froide . En sentant cette fumée les abeilles comprennent qu’il y a un danger et elles se gorgent de miel ,elle se gavent et donc comme elles sont occupées elles ne sont pas agressives.
L’apiculteur récolte le miel 2 fois par an : au printemps et l’été.

Le frelon asiatique est un danger pour les abeilles car ils les tuent.Il est arrivé en haute savoie en 2017à Annecy.
Les abeilles sont atteintes de maladies  qui détruisent les ruches comme la maladie du couvain ,certains acariens …
Les pesticides sont aussi un danger pour les abeilles car elles butinent les fleurs qui sont contaminées et comme les abeilles sont conditionnées pour récolter le nectar et le pollen ,elles ne savent pas que ces fleurs sont « mauvaises »,elles ramènent à la ruches le nectar contaminé et elles meurent.

Voici quelques chiffres :
-Une abeille bat des ailes 500 fois en 1 seconde.
-Sa vitesse de pointe est de 50km/h.
-Son rayon de butinage est de 3km.
-Elle reconnaît 200 odeurs.
-Pour faire 1kg de miel les abeilles doivent parcourir 150 000km.
-Pour faire 1kg de miel il faut 6 000 abeilles.
-L’abeille a 5 yeux.
-Il y a 200 variétés d’abeilles.
-Avant la France produisait 40 000 tonnes de miel et maintenant on en produit 9 000 tonnes.

Puis à la fin de l’intervention nous avons goûté différents miels: sapin ,lavande et acacias.
Le miel de sapin s ‘appelle normalement « miella »car ce miel ne vient pas de fleurs mais des excréments des pucerons que les abeilles récoltent.

Ce que j’ai le plus aimé :

Adama :
Ce que que j’ai le plus aimé c’est lorsque j’ai touché la vitre où il y avait un cadre de ruches sous verre.
Le cadre était chaud , cela faisait beaucoup de bruit .
J’ai vu la reine qui était marquée avec un point vert.Toutes les abeilles étaient autour de la reine.
Mehdi :
Je n’avais jamais vu autant d’abeilles et d’alvéoles d’aussi près .
J’ai bien aimé déguster différentes sortes de miel.
Heinrick :
J’aurai bien aimé voir des ruches sur place dans un champs .

Les abeilles sont fragiles ,il faut les protéger.

Pascal

Nous avons rencontré une personne formidable pendant le voyage et notre séjour. C’est un monsieur qui s’appelle Pascal. Pascal était notre chauffeur de bus pendant le séjour et les voyages aller et retour.

Il n’a pas toujours été chauffeur de car. Son premier métier, c’était cuisinier mais il était allergique à la poussière de farine. Son deuxième métier, c’est chauffeur de bus, il a 62 ans et sa passion c’est le golf à Chamonix et il est à la retraite depuis le 1er juin.

Son travail, c’était de nous emmener et de nous ramener de la Tranche sur Mer pour des trajet qui duraient 11 heures, c’était aussi de nous accompagner pour qu’on aille à la Plage de la Baleine pour la pêche à pied, à l’Aiguillon sur Mer pour la visite chez l’ostréiculteur,à St Denis du Payré pour l’observation des oiseaux et à la Rochelle pour la visite de l’aquarium.

Mais il a fait beaucoup plus ! Il a dormi au centre Bellevue en-dessous de la cantine, alors que,souvent, les chauffeurs vont dormir à l’hôtel. Lui, il,était presque toujours avec nous : à tous les repas, il était avec nous. Et sur toutes les activités, il nous a accompagnés alors qu’il n’était pas obligé.

On a trouvé qu’il était vraiment sympa, on pouvait le tutoyer et il était trop gentil. Mais il était aussi capable de se fâcher quand il trouvait des déchets dans le car. On a pu parler beaucoup avec lui, c’était intéressant. On garde tous un bon souvenir de lui.

Sheryleen,Quentin et Erwan

La vie sans portable

Pendant les trajets de l’aller et du retour, on avait le droit au portable. Tous les soirs on y avait droit une heure mais à 21 heures on devait rendre nos portables.

La vie sans portable était très difficile pour certains et pour d’autres plus facile. Certains élèves se sont habitués à vivre sans portable pendant une semaine, et d’autres moyennement. On n’avait qu’une heure de portable le soir, pour certains c’était suffisant, pour d’autres insuffisant.  La vie sans portable nous a rapprochés les uns et les autres, tout le monde parlait entre eux. Sans portable ça nous a tous rapprochés et on a fait beaucoup d’activités ensemble.

Corina: Pendant la journée, je faisais beaucoup d’activités, du coup je ne pensais pas au portable. Mais le soir la durée du portable n’était pas suffisante car j’allais beaucoup sur les réseaux (snap, insta, etc.) et même pour appeler car j’appelais aussi mes amis (Alexiane puis des autres copines…).

Vincent : J’ai trouvé que c’était suffisant car j’allais beaucoup m’amuser dehors donc je ne pensais pas au portable.

Furkan : J’ai beaucoup plus aimé jouer avec les autres, avec beaucoup d’activités que de rester trop sur mon portable.

Mélina : Ça n’a pas changé mais une heure ça ne m’a pas suffi.

Nicolly : C’était bien, ça m’a appris que le portable ce n’est pas si important dans la vie.

Nathan : Bien mais une heure pour le portable était trop court pour moi.

Bradley : Ça me permettait de parler et de connaître les élèves de 3°4.

Quentin: J’ai beaucoup préféré jouer avec les élèves et faire les activités que de rester beaucoup avec mon portable.

Shéryleen : C’était mieux sans le portable, car c’était mieux de parler avec ses amis que de se faire mal aux yeux.

Erwan : J’ai préféré jouer au foot et discuter entre amis au lieu de garder mon portable.

Furkan, Vincent et Corina.

 

le centre bellevue

Le centre contient plusieurs bâtiments :

Le bâtiment où on dormait était très grand et blanc avec trois étages avec de longs couloirs, des escaliers sombres dans les ténèbres la nuit et deux toilettes pour 9 chambres, il y avait une salle de bain avec deux armoires avec 5 lits. Sur les portes, il avait des chiffres comme par exemple: A8 ou B4. Les fenêtres étaient avec un système de fermeture pour nous protéger ou en cas de fuite nocturne… Les lits étaient superposés. Les chambres étaient assez grandes, la salle de bain très petite mais il n’avait pas de toilettes, il fallait sortir de la chambre pour y aller.

 

 

 

 

Il y avait des animateurs pour nous guider le premier soir. Dans l’autre bâtiment, on mangeait dans un réfectoire et près de ce réfectoire il y avait une cuisine, souvent on mangeait des fruits de mer. On avait des responsabilités comme servir nos amis et les professeurs. Après avoir terminé notre dîner, des personnes étaient de service pour aider, nettoyer et balayer la salle et les tables. Pendant que les autres élèves étaient dehors à jouer ou sur leur portable dans les chambres. Dans ce bâtiment, il y avait aussi une salle de classe où nous pouvions travailler et une bibliothèque.

 

 

 

 

 

Le centre Bellevue était à 100 mètres de la mer, on y allait souvent le soir.

Mélina et Pakize

Une journée à l’EHPAD de Bonneville

Le compte-rendu des 3èmes 4

Le mardi 18 juin 2019 les élèves de 4ème et 3ème SEGPA sont partis du collège Karine Ruby à 9h pour se rendre à la maison de retraite à Bonneville. Nous avons randonné au bord de l’Arve. Il faisait chaud et cela était agréable car il y avait une bonne ambiance entre les élèves. Une fois arrivée à Bonneville nous avons fait un jeu de piste qui consistait à retrouver les monuments principaux de Bonneville. Nous n’avons pas pu finir le jeu de piste car nous avions tous faim et nous sommes donc allés pique-niquer au parc de l’église.Puis à 14h nous nous sommes rendus à l’EHPAD de Bonneville pour rencontrer des papys et des mamies.

Ils nous ont invité dans la salle d’animation où nous avons fait un karaoké et dansé. Les résidents étaient contents car ils ont eu la visite des élèves de 4ème et 3ème, certains chantaient et ont dansé avec nous. Le contact a été très facile avec Jean-pierre dit JPP car il parlait facilement. Certaines personnes âgées semblaient être des enfants. Nous avons aussi tous participé à un quiz.

Nous aimerions y retourner pour rendre visite à certains résidents que nous avons beaucoup appréciés.

Helnatan et Nessrine

Le compte-rendu des 4èmes 4

Le mardi 18 juin 2019 nous avons fait une randonnée avec la classe de 3ème 4 au bord de l’Arve. Cette balade nous a plu car nous étions « libres » car nous pouvions marcher devant les professeurs et parce que nous pouvions parler avec nos copains et les professeurs.

Après nous avons fait un jeu de piste dans Bonneville qui consistait à rechercher des monuments avec une carte et des photos . Ce jeu était bien et amusant car nous avions fait des équipes et cela nous a permis de découvrir Bonneville historiquement un peu plus. Puis nous sommes allés au parc de l’église pour manger.

A 14h nous avions rendez vous à l’EHPAD de Bonneville pour rencontrer les personnes âgées. D’abord nous nous sommes présentés, eux aussi puis on a fait un karaoké et nous avons dansé avec eux. Cela était bien car on leur a fait plaisir. Cette activité leur a permis de changer leur quotidien car ils n’ont pas de visite comme cela tous les jours et notre visite leur a aussi permis de découvrir de nouvelles personnes (élèves). Nous avons pu dialoguer avec les résidents et pour certains ce fut la première fois qu’ils parlaient à d’autres papis et mamies. Nous étions heureux car nous les avons vus joyeux en notre compagnie. Cela a changé l’image que nous avions d’un EHPAD car avant l’établissement nous paraissait triste mais en fait les résidents sont joyeux .

Nous voudrions bien retourner l’année prochaine car les résidents sont attachants, joyeux. Nous aimerions bien revoir Jean-Pierre dit JPP et Denise. Nous avons été bien accueillis par l’animatrice Florence et les stagiaires.

Nos impressions sur le séjour (1ère partie : les 4èmes 4)

Pendant le trajet de retour à St Pierre, Mme Chenel est passée voir tout le monde un par un et nous a posé cinq questions :

– Qu’est-ce que j’ai aimé ?

– Qu’est-ce que je n’ai pas aimé ?

– Que vais-je retenir ?

– Est-ce que ce séjour a changé quelque chose en moi ou pour moi ? Qu’est ce que je peux encore améliorer ?

Voici les réponses de tous les 4èmes 4 :

Furkan :

J’ai aimé l’océan, les visites (l’aquarium) et quand on a joué dehors le soir, les repas (les éclairs au chocolat !!!).

J’ai tout aimé : la LPO, le quartier libre à la Rochelle avec les copains.

Je retiendrai l’océan, quand on a couru pieds nus, quand on a marché sur le sable et joué dehors.

Ce que ça a changé pour moi, c’est que j’ai fait beaucoup d’activités alors qu’en Haute Savoie, je n’en fais pas beaucoup. Et j’ai plus parlé avec les autres alors que d’habitude, je ne le fais pas.

Sheryleen :

J’ai tout aimé, particulièrement l’aquarium, la pêche à pied, les oiseaux.

J’ai moins aimé ramasser les déchets vu que la plage doit rester propre.

Je vais retenir les liens créés avec les 3èmes.

Ce séjour m’a appris à changer mon comportement avec les autres, à ne pas les embêter.

Erwan :

J’ai aimé la pêche à pied, les huîtres et l’aquarium de la Rochelle.

J’ai moins aimé le ramassage des déchets.

Je retiendrai qu’on a passé un bon moment tous ensemble, le soir quand on jouait au foot.

Ce séjour m’a changé de mes montagnes. J’ai découvert l’océan.

Mélina :

J’ai aimé aller à l’aquarium, être avec mes amis et aller à la plage.

J’ai moins aimé me réveiller tôt.

Quentin :

J’ai aimé la pêche à pied, l’observation des oiseaux, l’aquarium, jouer au foot le soir.

J’ai moins aimé le ramassage des déchets à la plage de la Tranche sur mer et la visite des huîtres.

Je vais retenir qu’on a admiré des beaux oiseaux (les cigognes) et les poissons de l’aquarium de la Rochelle.

Bradley :

J’ai aimé les visites (l’aquarium et le parc aux oiseaux), jouer avec les copains.

J’ai tout aimé.

J’ai découvert des élèves de 3ème que je ne connaissais pas bien comme Mattéo.

Nicolly :

J’ai aimé les sorties, l’aquarium, la pêche à pied et nettoyer la plage.

J’ai bien aimé les activités du soir. J’ai appris à connaître les 3èmes.

Ce que je retiendrai : l’ambiance entre nous et l’aquarium.

J’ai changé par rapport à mes connaissances de la nature, qu’il faut y faire plus attention.

Vincent :

J’ai aimé l’aquarium, quand on a joué au foot le soir, aller à la plage.

J’ai tout aimé.

Je vais retenir de ce séjour que la planète est en danger plus qu’on ne le croit.

J’ai changé par rapport au respect des autres et de la planète : partager la nourriture, faire attention à l’eau.

J’ai trouvé que j’ai fait des efforts au niveau de mon comportement :moins faire de bruit, faire attention aux autres.

Corina :

J’ai aimé les visites, les sorties, l’ambiance entre nous.

Je n’ai pas aimé goûter les huîtres.

Je vais retenir tous les bons moments entre nous, nos rigolades, nos fous-rires.

Ce séjour m’a changé car j’ai trouvé que j’étais plus apaisée, surtout le soir où j’étais plus fatiguée et je m’endormais vite sans faire de bruit.

Je dois encore progresser sur les rigolades : il faut que je rigole moins fort.

Nathan :

J’ai aimé l’ambiance, les visites.

J’ai appris à découvrir les 3èmes en particulier André car j’étais dans sa chambre.

Je retiendrai du séjour que c’est important d’apprendre à connaître les gens, sinon on se fait de fausses idées sur eux, les profs aussi.

 

Les chaînes alimentaires en milieu aquatique

Nous nous sommes levés  à 7h00 car Pascal, notre chauffeur, avait peur qu’il y ait des bouchons sur la route pour aller à l’aquarium de la Rochelle. Tout le monde était prêt à 8h15 et le car est parti.

Nous sommes arrivés juste avant 10h, l’heure de l’animation à laquelle nous devions participer. Notre animation s’appelait  » Manger ou être mangé » et ça parlait des chaînes alimentaires. On était avec une animatrice qui travaille à l’aquarium de la Rochelle. On comprenait tout ce qu’elle expliquait. On est allé dans une salle de sciences avec des microscopes, des bocaux et des aquariums qui contenaient des animaux marins (crabes, crevettes, étoiles de mer, dorades, anémones de mer, méduses, coquilles St Jacques, moules, bernards l’ermite, vers, zooplanctons et phytoplanctons). il y avait aussi du poisson mort. On a regardé les zooplanctons au microscope.

 

 

 

 

 

 

Il fallait choisir deux animaux et dire une hypothèse en essayant de dire ce qui allait se passer : qui mange qui ? Puis, il fallait se déplacer avec son bocal pour chercher ces deux animaux. Ensuite, on revenait à sa place et on observait ce qui se passait. Il fallait écrire et dessiner ce qui se passait.

Deux exemples : la dorade et la crevette, c’est la dorade qui mange la crevette. L’anémone et le zooplancton, c’est l’anémone qui mange le zooplancton.

 

 

 

 

On a fait trois expériences en tout. Comme, au début, on choisissait des animaux qui ne vivent pas dans le même milieu, il ne se passait rien. a la dernière expérience, on faisait plus attention aux milieux de vie et on avait plus facilement des réponses à nos hypothèses.

A la fin, elle a dessiné au tableau un schéma pour montrer les réseaux alimentaires en milieu océanique. Ça a duré deux heures sans qu’on s’ennuie une seconde.

 

Ensuite, on est allé près du port pour pique-niquer. C’était bon et c’était sympa car on était tous ensemble entre copains près des bateaux.

Nicolly et André

 

La réserve ornithologique de Saint Denis du Payré

Pour aller à la réserve, on a dû prendre le car pendant 20 minutes.

Nous sommes arrivés à St Denis à 14h et on s’est divisés en deux groupes. Le premier groupe est remonté dans le car pour aller à l’observatoire, l’autre est resté dans le bâtiment de la réserve.

Là, on nous a présenté un diaporama sur lequel est écrit le nom des oiseaux qui viennent chaque année dans la réserve. Elle nous a montré des photos de la réserve à différentes saisons, on les reconnaît par rapport au niveau d’eau. Il y a le plus d’eau au printemps et le moins d’eau en automne.

Il y a trois sortes d’oiseaux sur la réserve : les hivernants, qui passent l’hiver ici, les oiseaux de passage qui s’arrêtent à la réserve lors de leur migration soit vers le nord soit vers le sud, et les nicheurs qui restent pour se reproduire puis repartent (ou pas).

Quelques noms d’oiseaux : la spatule blanche, le vanneau huppé, la canard souchet, le tadorne de belon, la cigogne, le cygne, etc.

Nous avons échangé les groupes et ceux qui étaient à l’observatoire sont venus au bâtiment et inversement.

Pour aller à l’observatoire, il faut passer sur des passerelles en bois qui sont cachées de la vue des oiseaux pour ne pas leur faire peur. L’observatoire est une grande cabane en bois dans laquelle il y a des ouvertures devant lesquelles il y a plein de longues-vues très puissantes, on peut voir très loin.

On avait un document sur lequel il fallait cocher les animaux que l’on voyait. Loriane, l’animatrice LPO qui nous accompagnait, nous a dit qu’il n’y avait pas beaucoup d’oiseaux en ce moment. Pourtant, certains en ont vu 11 différents et en tout peut-être 200. On a même vu des ragondins dont l’un était tout près d’un cygne.

 

 

 

Tout le monde serait bien resté plus longtemps à observer. Les photographes ont fait quelques photos mais c’était difficile de les avoir nettes à travers les longues-vues et les ouvertures qui sont vitrées.

Vincent et Alan

 

Le nettoyage des plages

A 9h30, nous avions rendez-vous sur la plage avec M. Baudry qui travaille aux service techniques municipaux de la mairie de la Tranche sur Mer. Son travail, c’est de s’occuper des espaces verts, de protéger les dunes et de nettoyer les plages. C’est très important pour la commune pour que les touristes soient à l’aise et aient envie de venir. L’hiver, il y a 2700 habitants à la Tranche sur Mer, l’été la population monte jusqu’à 130.000 habitants !

M. Baudry nous a dit une chose inquiétante, c’est qu’il trouvait qu’il n’y avait pas de progrès et que les gens jetaient toujours autant de déchets.

Pour protéger les dunes, les employés communaux posent des kilomètres de barrières qu’il faut renouveler tous les trois ans en général. Sinon, les gens passent partout et détruisent les dunes, en plus du vent et de l’océan qui les font reculer.

L’été, la commune emploie deux saisonniers qui ramassent tous les déchets qu’ils trouvent en avançant avec une pince. La pollution de la plage vient surtout des gens car la Tranche est protégée par l’île de Ré qui est juste devant.

M. Baudry nous a donné 10 sacs et on a avancé pendant 30 minutes puis nous avons fait demi-tour. Nous avons ramassé des mégots, des papiers, du plastique, des chaussures, des cordes de filets de pêche, du bois, des bouteilles et une bouée qui s’était détachée.

 

 

 

 

 

 

Quand M. Baudry a vu le tas de déchets ramassés, il était surpris et nous a félicités. Il nous a même offert des porte-clés et des autocollants pour nous remercier.

Nous sommes retournés au centre et avons pris notre déjeuner.

Bradley et Ewan

Mardi après-midi : visite chez un ostréiculteur

Qu’est-ce que c’est qu’un ostréiculteur ? c’est une personne qui élève des huîtres car ce sont des animaux.

Nous sommes allés à l’Aiguillon sur Mer chez un ostréiculteur qui s’appelle Alain Cadichon. Il nous a expliqué comment on élève des huîtres de la naissance jusqu’au moment où il va les vendre.

Les huîtres ont besoin de trois choses : le dioxygène pour respirer avec leurs branchies, les planctons pour se nourrir, le calcaire pour leur coquille. Pour cela, il faut qu’elles vivent à marée haute sous l’eau et à marée basse en dehors de l’eau.

Il place des coupelles dans l’eau pour recueillir les naissains d’huîtres qui s’y accrochent. Quand elles ont 6 mois, il les place dans une nasse avec de toutes petites mailles pour qu’elles ne puissent pas sortir. Tous les 6 mois, il les change de nasses en « dédoublant », c’est à dire qu’il y en a deux fois dans chaque nasse. Chaque nasse a des mailles de plus en plus grosses pour laisser passer l’eau.

 

 

 

 

 

 

 

Quand elles ont 3 ans, il doit les laver dans un rouleau qui tourne avec de l’eau puis dans une calibreuse qui les trie grâce à leur poids. Ça va de 0 (les plus grosses) jusqu’à 6 (les plus petites). Elles tombent dans des paniers et les huîtres sont ensuite mises dans les caisses pour être vendues.

 

 

 

 

 

 

 

On a aussi vu une huître très grande qui n’avait pas été récoltée et qui avait 15 ans.

Alain nous a donné 26 huîtres pour que tout le monde y goûte.

Ce soir, au dîner, après l’ouverture des huîtres, on y a presque tous goûté. Il fallait d’abord couper le pied dans les coquilles puis boire l’eau qui est très salée. On mettait l’huître dans la bouche et on mâchait si on trouvait ça bon. Certains ont beaucoup aimé, d’autres ont mangé sans vraiment apprécier et d’autres ont recraché car ils n’aimaient pas !

« C’est une texture bizarre dans la bouche, ça me dégoûte » (Corina)

« C’est spécial, c’est très salé, et il n’y a pas de goût » (Nohan)

Ceux qui ont beaucoup aimé : Bradley, Vincent, André, Arthur, Leny, ils en ont même repris.

Corina et Nohan

 

Mardi matin : la pêche à pied

Les profs sont venus nous réveiller à 7h15. certains ont eu beaucoup de mal à se lever mais on a tous réussi à être à l’heure au petit déjeuner.

Au petit déjeuner, on se servait tout seul, on avait des céréales, du jus d’orange, du chocolat chaud, du pain, du beurre et de la confiture. Tout le monde était très calme, c’était agréable.

On est allé s’habiller et on a pris les bottes. Seule une élève n’en avait pas. On est partis à 9h30 en car vers le Phare du groin du Cou et la plage de la Baleine. Elle s’appelle ainsi car une baleine s’y est échouée en 1992, elle y a aussi été enterrée.

Boris nous a expliqué comment pêcher. Il faut le faire quand la marée est basse. On a pris des seaux et des épuisettes et on est allés vers l’océan. Comme la marée descendait encore, on est allés très très loin. En se retournant, on se rendait du chemin parcouru sans s’en rendre compte.

On a trouvé des crabes, des étoiles de mer, des crevettes, des poissons appelés blennies, d’autres très fins appelés syngnathes, un oursin vivant et plusieurs squelettes, des chitons, des patelles ou berniques, des lièvres de mer, des bigorneaux, des coquilles de couteaux, des bernards l’ermite, des anémones de mer qu’on a laissées. Boris nous a donné le nom de tous ces animaux et leur famille.

 

 

 

 

Tout le monde était super content et on a eu du mal à quitter les rochers.

On a relâché les animaux dans l’océan et Boris a gardé des huîtres, des crevettes, des algues et un blennie pour mettre dans l’aquarium du centre Bellevue.

Nous sommes arrivés un peu en retard au déjeuner mais personne ne nous a grondés. Tout le monde avait faim. En plus, on a mangé des crevettes roses en entrée puis de moules-frites. C’était vraiment bon et on n’a rien laissé !

Nessrine et Quentin

Animaux et végétaux dans l’océan

On avait un schéma qui montrait l’océan du littoral jusqu’aux profondeurs les plus importantes (11000 mètres dans les fosses les plus profondes). Nous devions nous mettre à deux pour lire des vignettes sur lesquelles on trouvait un numéro, le nom de l’être vivant (animal ou végétal), la photo de l’être vivant et le petit texte qui explique où il vit et ce qu’il mange.

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous devions lire le petit texte pour placer tous les êtres vivants sur le schéma selon l’endroit où ils vivent. Sur le schéma, il y avait trois exemples : le numéro 1 (des mouches), le numéro 14 (le goéland argenté) et le numéro 24 (la baleine bleue).

La mouche habite dans les dunes au-dessus des plages, là où elle est protégée des embruns (on voit le numéro 1 sur le schéma).

Le goéland argenté vit principalement vers les terres mais il peut s’aventurer plus au large (on voit le numéro 14 sur le schéma).

La baleine bleue reste entre 200 et 2000 mètres de profondeur mais elle doit remonter à la surface pour pouvoir respirer (on voit le numéro 24 sur le schéma).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Il fallait placer tous les numéros et après on a corrigé au tableau en lisant tous le texte de chacun des êtres vivants. Tous les groupes avaient à peu près juste sur les résultats du travail. Il y a plus d’êtres vivants qu’on le croit au bord de la côte. Peut-être faudrait y faire attention en ne polluant pas trop leur habitat.

Nathan

L’océan, c’est plus grand qu’on le pensait !

En sciences, nous avons commencé à parler des océans.

On a appris que les océans occupent plus de 70 % de la surface de la Terre et qu’ils étaient une ressource très importante pour les humains. En effet, en plus de la pêche et des effets sur le climat, ce sont les « phytoplanctons », des végétaux microscopiques qui vivent dans l’eau, qui nous donnent la plus grande partie de l’oxygène qui nous permet de vivre, quatre fois plus que les forêts de surface.

On a appris aussi que mêmes les scientifiques ne connaissent pas beaucoup les océans, il en reste beaucoup à explorer ! On a utilisé un quadrillage de 100 cases pour se rendre compte des proportions.

Les scientifiques connaissent déjà 230 000 animaux qui vivent dans les océans mais ils pensent qu’il y en a plus d’un million !

La classe de 44

 

Visite Salon Prép’a à la Roche sur Foron

C’était une visite très intéressante car il y avait beaucoup de domaines professionnels représentés.

Nous avons vu des voitures, des motos et de la mécanique.

Il y avait un stand de boucherie, un autre de chocolaterie où on a eu la chance de pouvoir goûter les préparations.

On a aussi pu voir un stand réservé au paysagiste et un autre de jeux vidéo où on a pu faire un jeu.

J’ai surtout aimé les jeux vidéo, le paysagisme, les pâtisseries. C’était très bien.

Quentin

 

Visite de lycée professionnel de Charles Poncet

Avec ma classe de 4°4,

nous sommes allés visiter le lycée des métiers Charles Poncet de Cluses. Nous avons commencé la visite par le CDI, nous avons parlé du fonctionnement du lycée et comment s’y inscrire. Ensuite, nous sommes allés dans une salle où le directeur de l’établissement nous a parlé des élèves qui sont en bac professionnel dans le domaine du décolletage. Nous avons posé des questions aux étudiants, entre autre le temps que leur demande la construction des objets.

J’ai aimé découvrir les objets qu’ils ont fabriqués, en plastique et en bois : bouteille, voiture, bateau, mini baby-foot, le métal pour le vélo.

Ce qui m’embête la plus dans cette formation, c’est qu’on a beaucoup de pratique professionnelle et qu’il faut toujours être à côté des machines pour les vérifier. On passe aussi beaucoup de temps sur les ordinateurs et ça me semble trop compliqué à comprendre.

Visite de la serrurerie Roguet

Avec ma classe de 4ème, nous sommes allés visiter la serrurerie Roguet à Contamine sur Arve, ce qui m’a permis de découvrir le métier de serrurier.

On a été reçus par une dame qui nous a expliqué son parcours professionnel.

Elle nous a dit qu’ elle travaillait avec son père puis nous a fait visiter l’entreprise. Après on a été accueillis par un monsieur qui nous a parlé de son métier. Au début, il voulait  devenir mécanicien,puis il a découvert la serrurerie. Il nous a parlé des horaires, de la fourchette de salaires et nous a expliqué que c’est un métier physique. Enfin, il nous a fait souder le métal à partir de différents types de barres.

 

 

 

 

 

J’ai bien aimé cette sortie car j’ai pu découvrir le métier de serrurier que je ne connaissais pas du tout.

Vincent

Défis pour les 44

Coucou les 44, voici de quoi vous occuper en plus de toutes les activités prévues. Toute la classe doit se creuser les méninges et participer.

1 Trouver le nombre de touristes qui viennent aux Sables D’Olonne en été.

2 Trouver le nom d’une spécialité gastronomique salée de Vendée :  la décrire, aspect et goût.

3 Donner le nom de 3 coquillages ramassés lors de la sortie pêche.

4 Rapporter le cri de la mouette.

Martine Bianchin

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