« Ça Bouge en Terminale L »

« EFFETS SPÉCIAUX : de l’invisible au visible »

 

Depuis l’origine, avec Georges Méliès, le cinéma est l’art de l’illusion. Dans les années 1980, l’utilisation des effets spéciaux numériques a révolutionné la création cinématographique. C’est pour cette raison qu’il est essentiel de faire connaître l’univers magique des effets spéciaux : ses savoir-faire, ses métiers, mais aussi ses créateurs et ses entreprises très innovantes. Dans cette perspective, les élèves de Terminale L  ont reçu Alexander Gunn, directeur d’effets spéciaux chez ArcadiaSFX à Londres.

Témoignage par Claire Massot, TL

 

Dans le cadre de notre participation au jury du prix Jean Renoir des lycéens, après avoir reçu, Gabin Fontaine, rédacteur en chef du webzine : « Silence-moteur-action ».com qui nous a conseillé et orienté sur la rédaction de nos critiques de films à venir, nous avons accueilli, la semaine dernière,  le directeur d’effets spéciaux de la célèbre entreprise ArcadiaSFX de Londres, Alexander GUNN.

Nous avons découvert un autre monde, dur, compétitif et presque inaccessible : les coulisses du 7ème Art.

Le métier qu’il exerce se fait directement sur le plateau du tournage : il travaille en collaboration avec le réalisateur et établit une liste des plans à partir du story bord, qui auront besoin de trucages. Il évalue de cette manière le budget nécessaire. Il installe ensuite des explosifs qui serviront à l’incendie d’une maison, de la fausse neige pour présenter une Angleterre hivernale, ou encore des sachets de poudre et de faux sang qui simuleront des tirs à bout portant. Tous ces explosifs sont dosés et testés par Alexander Gunn lui-même afin d’assurer la sécurité des acteurs ou cascadeurs.

Cette profession requiert beaucoup d’imagination, d’ingéniosité et d’habilité manuelle. Alexander Gunn nous a aussi décrit la difficulté de trouver des projets. En effet, ce métier compte peu de personnes formées en Angleterre (ils ne sont qu’une quarantaine) mais ils ont un champ d’activité réduit car ils ne peuvent intervenir que sur le territoire européen. Cela exclut donc tous les films hollywoodiens.  Le marché du travail est donc difficile.

De plus, il faut pouvoir être mobile : Alexander ne passe que 6 mois chez lui au Royaume-Uni et le reste du temps, il arpente la Thaïlande ou le Mexique pour la réalisation de «Troie » avec Brad Pitt et Orlando Bloom, l’Allemagne pour la mise en œuvre de Valkyrie avec Tom Cruise……… Bref pour exercer ce métier, il faut être véritablement  passionné.

Ce fut une rencontre très enrichissante que je suis heureuse de partager. 

Prix folio des lycéens 2016.

 Certains élèves de seconde 4 et 3 participent au prix folio des lycéens. Pour ce faire, ces derniers parcourent les livres de la sélection aux thèmes variés (historique, philosophique, satirique) afin de sélectionner leur ouvrage préféré.

 

Le parrain de cette édition : David FOENKINOS.

« Ce dernier a étudié les lettres à La Sorbonne ainsi que la musique dans une école de jazz. Ces thématiques lui tiennent à cœur à tel point qu’il les décline régulièrement dans ses œuvres littéraires. Le sentiment amoureux est également évoqué » (HUREAU Cassandre) .

Son roman, Charlotte, a énormément plu aux élèves si bien que nous avons décidé de l’intégrer dans le prix littéraire.

La première étape de ce vote : Le choix des couvertures.

Les élèves vous présentent leurs critères :

  • le titre : ce dernier doit capter et être mis en évidence
  • l’image : le lien avec le titre et sa dimension artistique
  • l’éditeur
  • le prix reçu

Le gagnant est ……………………………. La Joie de Charles PÉPIN.

Description de cet ouvrage faite par Bérénice FACCHIN et Floriane DUPUIS : Le titre est court comme la joie en elle-même. L’image paraît intrigante notamment le jeu de clair-obscur. On se questionne sur cette succession de tableaux comme si la joie possédait différentes formes.

Note obtenue par Bérénice est 8/10 car l’image interroge.

 

Et vous quelle couverture choisissez-vous????????

Les lettres d’amour.

Les premières S 2 ont assisté, samedi 07 janvier 2017, au spectacle Les Lettres d’amour. Ce dernier se déroulait au Théâtre des Deux Rives.

 

  • Spectacle époustouflant, alliant déclaration d’amour et d’adieu, dans lequel les voix de femmes trahies se succèdent.

 

  • Une mise en scène exceptionnelle : la jeune femme attristée magnifie son mal par cette phrase répétée à plusieurs reprises « Quand tu m’as dit  je ne t’aime plus, j’ai pensé quel courage »

 

  • L’actrice est accompagnée d’un acrobate et du groupe montréalais électro folk Dear Criminals.

Les scientifiques au théâtre

Mercredi 25 mai 2016.

Les élèves de Première S 2 ont assisté à la représentation théâtrale de Réparer les vivants, roman de M. De KERANGAL, adapté au théâtre des deux rives. Les élèves ont salué la prestation d’Emmanuel NOBLET et se sont réjouis de cette adaptation qui les a placés au cœur d’un don d’organes.IMG_1653

Amandine Hartout

Des nouvelles de Venise

image image imageLa cité s’éveille au rythme des vaporetto qui passent sous les fenêtres de notre auberge de jeunesse. La journee de jeudi a été bien remplie. Le palais Mocenigo  nous a dévoilé ses trésors et ses merveilles : épices, parfums et costumes du XVIII eme siècle.  Nous comprenons comment vivent au quotidien les familles aristocratiques ; comment elles reçoivent, comment elles se vêtissent, comment elles se parfument……

Puis nous sommes partis pour Murano pour visiter le musée du verre. C était une visite libre et agréable car nous pouvions déambuler dans les salles au gre de notre envie. Dans le même contexte, nous nous sommes diriges vers les souffleur de verres qui nous a fait une démonstration. Cachés au fond d’une ruelle, à l’abri des regards et des oreilles, les souffleurs de  la verrerie Formesa ont réalise devant nous une coupe et le célèbre cheval cabré, si difficile à composer.

Voici bien la démonstration d’un savoir faire ancestral extraordinaire qui se perpétue de famille en famille. C’était génial car nous étions au plus près du souffleur et nous pouvions observer ses moindres gestes. Pour terminer la journee, nous sommes allés  a Burano pour une decouverte de la ville « Riche en couleurs ». Il faut avouer que nous étions tous un peu fatigués.

Le retour vers l’auberge s’est passé tranquillement au rythme du courant vers Venise.

Arthur, Louis, Antoine et Theo

La suite à notre retour.

Lucie-Line lit « La ou tombent les anges »

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Glenn Gould lu par Sophie et Sarah