Une partie de mon expérience interculturelle

Passer un séjour en France était mon rêve depuis toujours. Après avoir fait toutes les démarches nécessaires pour gagner la chance d’étudier en France, j’étais très enthousiaste, j’attendais avec impatience le jour de mon arrivée et  je m’imaginais tout le temps comment ma vie deviendrait française.
J’ai dû surmonter plein de pièges pour accomplir mon rêve et voilà il y a déjà un mois et demi que je suis arrivée à Caen. A l’ESPE, j’ai trouvé de la chaleur spirituelle, de la cordialité  démontrée par tout le monde, du soutien et des coups de main quand j’en avais besoin, que je ne vais pas oublier. Je suis toujours enchantée et favorablement étonnée  par la salutation des gens qui est inévitablement suivie  d’un « ça va ? » et ça me donne l’assurance que je ne suis pas seule et l’impression qu’ils ne sont pas indifférents à la vie des autres.
La photo exposée ci-dessous montre une partie de mon expérience interculturelle vécue à Caen. Elle représente un jour où nous, une partie des étudiantes étrangères et du personnel de l’École, avons partagé un repas. On a préparé toute seule ou avec une collègue  des plats traditionnels  de son pays. Il y avait des moldaves, suisses, allemandes, russes, finlandaises, français et on les a partagés. Je considère ce repas comme une expérience interculturelle parce que j’ai appris quels sont les plats caractéristiques de chaque nationalité concernée et même les recettes. Il y avait beaucoup de gâteaux et tous étaient trop délicieux !
J’ai eu récemment une interaction interculturelle un peu différente des autres et assez émouvante, que je voudrais  partager. Un jour je me promenais dans les alentours de l’université quand une femme âgée mais très élégante avec son charme français s’approcha de moi en me demandant quelque chose. Après que j’eus répondu elle se renseigna gentiment si j’étais étudiante étrangère et elle m’avoua que j’avais un joli accent  et elle me pria de lui laisser deviner ma nationalité. Elle ne l’avait pas devinée toutefois. Notre conversation se développait  peu à peu et j’étais très intriguée de l’écouter quand elle me racontait des petites histoires de sa vie, sur la culture de France, sur  Caen. Elle me demanda à son tour toutes sortes d’aspects culturels sur la Moldavie. Elle m’avoua que son écrivain préféré c’est Marcel Proust et je lui dis le mien, c’est Mihai Eminescu, écrivain roumain. Elle ne le connaissait pas malheureusement et me donna un papier sur lequel j’ai écrit le nom de l’écrivain pour qu’elle puisse chercher à la bibliothèque une œuvre traduite. C’était très touchant quand elle a noté dans son petit carnet la date du jour où elle m’avait connue et mon nom et mon pays. C’est décidément un joli souvenir.
J’espère que je vais enrichir mes expériences interculturelles.

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L’expérience interculturelle

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Trouver une image qui représente mon expérience interculturelle était très difficile. Selon moi l’expérience dans un autre pays ne peut pas se décrire avec une seule image. Il y a plusieurs de choses qui représentent l’interculturalité. Ce sont les moments qu’on partage avec les autres personnes qui parlent une langue étrangère ou ont un autre style de vie. On peut trouver des belles villes et paysages en tous lieux du monde. Ça ne dépend pas du fait qu’on soit en Normandie ou dans une autre région. Ce qui rend cette expérience plus intéressante et particulière ce sont les rencontres avec les gens. Nous étudions dans un autre pays et c’est-à-dire que nous vivons la vie quotidienne. Cette expérience diffère beaucoup de celle des sont touristes qui restent seulement pour quelques jours dans une ville. L’expérience culturelle se caractérise  plus par la diversité de gens dont les habitudes  diffèrent dans chaque pays. Cette diversité,  on peut la trouver aussi dans ma photo du jardin. J’ai pris cette photo pendant une excursion aux châteaux de la Loire avec ma famille d’accueil. Ce jour-là on a visité trois châteaux, mais le château de Villandry était celui avec le plus beau jardin. Regarder tous les couleurs et les différentes plantes, les fruits et légumes était très impressionnant. La photo se compose de tous le spetits parterres avec des fleurs et plants colorés différemment, mais l’ensemble est un grand jardin. On peut appliquer cette image du jardin à la définition de l’expérience interculturelle. Chacun a une personnalité qui est influencée par une certaine culture et cette diversité est représentée par les couleurs. Quelque fois ça cause des problèmes ou des malentendus parce qu’on ne comprend pas l’autre personne. C’est intéressant de découvrir des choses qu’on ne connaissait pas avant. En outre c’est toujours un enrichissement lorsqu’on est ouvert et curieux de connaître de nouvelles choses. Par exemple j’étais vraiment surprise de la façon dont ma famille d’accueil m’a souhaité la bienvenue. Ils sont très généreux et curieux des autres nationalités, langues et cultures. L’échange interculturel est aussi intéressant pour moi que pour la famille. À mon avis, c’est important que chacun essaie de s’’intégrer dans un nouvel environnement. Découvrir des nouveaux endroits comme des cafés, magasins ou un parc est essentiel pour connaître une ville et de plus pour se sentir bien. Afin de pratiquer l’échange interculturel il faut aussi être ouvert et s’intéresser aux autres. Finalement je suis très reconnaissante d’avoir la possibilité de faire cette expérience interculturelle.

L’image de mon expérience interculturelle

  • J’ai choisi cette image parce que sur cette photo on peut voir que je regarde des photos de la France et de Caen et je lis les guides de Caen pour élargir mes connaissances et pour apprendre quelque chose de nouveau sur cette ville.
    Comme j’ai passé presque un mois en France je peux dire que j’ai déjà quelque expérience interculturelle.
    Premièrement, ce sont les études. C’était très intéressant pour moi de comparer le système éducatif de la France et de la Russie. Les cours qui nous avons ici sont vraiment intéressants. Pendant les cours nous faisons des travaux pratiques qui nous donnent la possibilité de travailler en groupes avec des français.
    D’autre part c’est la possibilité d’améliorer mes connaissances sur la culture de la France. J’ai déjà visité quelques lieux historiques à Caen tels que : le château de Caen, l’église Saint Pierre, le mémorial de Caen, la colline aux oiseaux et d’autres. J’ai aussi réussi à visiter Paris et à voir ses lieux les plus connus. Comme j’aime beaucoup visiter les musées en Russie, c’était très intéressant pour moi de voir les musées de la France. J’étais impressionnée par les chef-d’œuvres du musée du Louvre et du musée des Beaux Art de Caen que j’ai visité.
    Mais bien sûr mon expérience interculturelle c’est la communication. Pendant mon séjour en France j’ai fait connaissance avec beaucoup de personnes. Dans notre résidence il y a beaucoup de gens de pays différents avec qui on peut parler en français. J’espère que j’améliorerai mon niveau de français et trouverai de nouveaux amis ici.
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1.3 L’image de mon expérience interculturelle

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Devoir choisir une image qui représente mon expérience interculturelle en ce moment semblait assez difficile. C’est évident que dans la culture de la Russie et de la France il y a beaucoup de différences. Tout est différent ici.

En premier lieu, la France se distingue fortement de la Russie par l’architecture. Il y a ici beaucoup de châteaux du moyen âge, des églises et des cathédrales dans le style gothique. La musique en France se distingue par son romantisme particulier. Les Français sont très affables et polis, à la première rencontre ils sont prêts facilement à communiquer. Les Français ont une relation très fortes aux objets emplis d’histoire. Comme on nous l’a raconté, les Français tâchent de conserver les vieilles maisons, en restaurant seulement certaines parties. C’est pourquoi il y a beaucoup de villes avec de belles rues intactes depuis les  siècles derniers.

Mais avant tout j’ai fait attention à de petites rues et à des maisons dans les villes de  France. Ici les gens préfèrent vivre dans de petites maisons, en ornant les balcons confortables des belles couleurs. A l’intérieur les maisons françaises aussi se distinguent fortement des Russes. Pendant les trois premières semaines de notre séjour en France, nous avons eu le temps de visiter et de voir la décoration de la maison française. La principale différence,que nous avons remarqué  c’est que la cuisine est jointe à la salle. Dans la cuisine il n’y a pas de table et personne n’accepte les visiteurs. Il convient de manger dans la salle, ou après la petite table pour l’apéritif, mais pas dans la cuisine. Dans la salle de séjour il y a un canapé, la télé et une petite table basse.Cette table a chez les français la même fonction que chez nous (le support sous les assiettes, les journaux), et pendant les jours de fête c’est la table des hors-d’oeuvre quand se prépare une grande table pour les visiteurs. J’ai aussi remarqué que presque dans chaque maison et dans chaque appartement il y a des balcons. Et parfois même deux. Là il y a aussi des divans ou d’autres meubles confortables et des fleurs.

Enfin je peux dire qu’en Russie les gens vivent pour l’essentiel dans de grands immeubles, où il y a beaucoup d’ appartements. Certains préfèrent vivre en banlieue. Mais intérieurement la décoration et les règles de vie des Russes et les Français se distinguent considérablement. En cela consiste ma première expérience interculturelle.

 

 

 

 

 

 

En effet, le devoir choisir une image, qui représente mon expérience interculturelle en ce moment, semblait assez difficile. C’est évidemment que dans la culture de la Russie et de la France il y a beaucoup de différences. Tout est autrement ici.

En premier lieu, la France se distingue fortement de la Russie par l’architecture. Il y a ici beaucoup de châteaux du moyen âge, les temples et les cathédrales dans le style gothique. La musique en France se distingue par son romantisme particulier. Les Français sont très affables et polis, à la première rencontre ils sont prêts facilement à communiquer. Les Français se rapportent avec l’amour aux anciens objets historiques. Comme nous ont raconté, les Français tâchent de garder les vieilles maisons, en changeant seulement certaines parties. C’est pourquoi il y a ainsi beaucoup des villes avec de belles rues gentilles non changées pour les derniers siècles.

Mais avant tout j’ai fait l’attention à de petites rues et les maisons dans les villes de la France. Ici les gens préfèrent vivre dans de petites maisons, en ornant les balcons confortables des belles couleurs. Au-dedans les maisons françaises aussi se distinguent fortement des Russes. En premiers trois semaines de notre séjour à la France, nous avons eu le temps de visiter et voir la décoration de la maison française. La principale différence, que nous avons remarqué à la fois, cela que la cuisine est jointe à la salle. Dans la cuisine il n’y a pas de table et personne n’accepte les visiteurs. Il convient de manger dans la salle, ou après la petite table pour l’apéritif, mais seulement non dans la cuisine. Dans la salle de séjour il y a un divan mou, la télé et une petite table de revue. Tout le temps il accomplit dans l’habitation française la même fonction que chez nous (le support sous les assiettes, les journaux), et aux jours fériés et les jours de l’accueil des hautes sur lui mettent les hors-d’oevres, quand se prépare une grande table pour les visiteurs. Comme j’ai remarqué presque dans chaque maison et dans chaque appartement il y a des balcons. Et parfois même deux. Là il y a aussi des divans ou d’autres meubles confortables et les fleurs.

Enfin je peux dire qu’en Russie les gens vivent pour l’essentiel dans de grandes maisons, où il y a beaucoup d’ appartements. Certains préfèrent vivre en banlieue. Mais intérieurement la décoration et les règles de la vie des Russes et les Français se distinguent considérablement. En cela consiste ma première expérience interculturelle.

Mon expérience interculturelle

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Avant ce séjour, je me suis demandé si tout se passerai bien, si je me ferai des amis à Caen et si j’arriverai à suivre les cours. Faisant le bilan après un mois et demi, je suis très contente d’être venue à Caen et de faire cette expérience : Contre toute attente, j’ai rencontré beaucoup d’étudiants étrangers et avec toutes les excursions, les soirées et les fêtes organisés par Erasmus International, on a la chance de se faire beaucoup d’amis.

Ce ne sont pas seulement les autres étudiants étrangers, mais aussi les gens de la résidence. Soit on regarde un film ensemble, soit on sort, j’ai été très bien accueillie à l’ESPE. En plus, les cours de FLE et le repas partagé ont aidé à se connaître entre étrangères.

De l’un côté, c’est parce que je m’ intéressais aux autres, j’essayais de les rencontrer sans clichés et je participais aux excursions. De l’autre, j’ai eu beaucoup de chance de rencontrer des gens tellement gentils et chaleureux. Un des meilleurs exemples, c’est la famille d’accueil de Rebecca. Elle a invité Rebecca et trois de ses amis  à faire des excursions. Alors, on a visité les châteaux de la Loire, Rouen et Étretat et on ira à Versailles et Paris. Dès que nous étions avec eux, je me sentais comme un membre de la famille : On fait des jeux, on s’aide à préparer le repas et on mange ensemble. C’est littéralement une famille d’accueil.

En conséquence, j’ai appris des nouvelles cultures et traditions et j’ai amélioré mon français. En somme, je suis ravie que les français soient si ouverts, accueillants et chaleureux. Comme je sais que beaucoup de suisses sont plutôt réservés et renfermés, j’essaie de prendre cette cordialité avec moi.

J’ai choisi cette image parce qu’elle décrit mon expérience en France : Je me sens la bienvenue ici. Nous avons bricolé la guirlande pour accueillir la classe du M2 voyages, séjours, mobilités après son stage à Paris. D’une part, déjà le bricolage et la préparation de la soirée était une expérience interculturelle. D’autre part, la soirée était bien réussie : En mangeant des crêpes on a raconté les jours précédents.

L’image de mon expérience interculturelle

Trouver une image qui représente mon expérience interculturelle était une mission que j’ai trouvée très difficile et presque impossible. Mais après avoir beaucoup  réfléchi j’ai eu une idée de comment je peux combiner les aspects interculturels le plus importantes pour moi dans une image.

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Cette photo montre des amis de la résidence de l’ESPE que j’ai rencontrés ici, à Caen. Pour moi les gens que j’ai rencontrés ici sont la part la plus importante de mon expérience interculturelle. A mon avis ce sont toujours les gens qui font l’expérience ce qu’elle est. Ils sont la part de mon expérience interculturelle parce qu’ils viennent de beaucoup de pays différents. On se rencontre toujours dans la cuisine. On mange ensemble, on parle – c’est vraiment un échange d’idées et d’expériences tout le temps. En plus pour moi le repas et les produits de la France représentent un aspect de la vie française qui est aussi une part importante de mon expérience culturelle . Cette photo aussi représente cet aspect parce qu’elle est prise dans la cuisine où tout le monde mange. Moi et des amies, on a commencé à cuisiner ensemble, comme ça je fais la connaissance de beaucoup de repas différents et internationaux. Venant de tous les pays différents on peut toujours entendre des langues différentes dans la cuisine. Pour moi, la langue est un gros aspect d’une culture et j’aime écouter les langues étrangères. La langue la plus parlée est évidemment le français. Donc les langues sont aussi une part de mon expérience interculturelle à Caen. La meilleure part de mon expérience culturelle à Caen c’est la vie à l’ESPE. On passe beaucoup de temps ensemble, les soirées, on regarde des films, les dimanches on va au marché ensemble et on va en ville pour boire un verre. Jusqu’à présent ça a toujours été très plaisant et sympa. Tous les gens qui vivent ici font  une expérience incroyable et on ne s’ennuie jamais.

Actualité – Animaux en danger

Il y Animaux_en_dangera beaucoup d’actualités tristes comme la thématique des réfugiés ou les guerres. En cherchant des bonnes nouvelles, on a trouvé un article sur le panda. Malheureusement, cet article ne contient pas seulement des bonnes mais aussi des mauvaises nouvelles. La thématique des animaux en danger reste actuelle. Pour nous, c’est important qu’on se rende compte que ce ne sont pas que les gorilles, les éléphants, les pandas et les tigres qui sont sur la liste des espèces menacée. Comme ces animaux sont impressionnants, on a conscience du danger. Mais, il y a aussi des insectes menacés qu’on ne connait même pas. Sans oublier les animaux qu’on connaît très bien, puisqu’ ils font partie de notre menu. Les poissons sont un exemple de cette catégorie. Malheureusement, c’est difficile de protéger les espèces menacées. Quelques labels garantissent une production protégeant la nature et les animaux. Pour faire de son mieux, on peut commencer à acheter ces produits.

C’est difficile de trouver une image qui représente des aspects variés sur cette thématique. Les unes montrent les tigres, les éléphants ou les autres animaux en danger. Les autres sont des statistiques sur ce sujet. En conséquence, nous avons créé un nuage de mots contenant les différents aspects. Cela nous a permis de mettre nos mots clés et de les classer selon leur plus ou moins grande importance. Comme ça, on peut être sûres que l’image représente vraiment notre sujet.

Ce n’était pas difficile de travailler avec quelqu’un parlant une autre langue maternelle. En plus, c’était facile de nous mettre d’accord sur le sujet. Comme nous n’avons ni les mêmes cours ni les mêmes loisirs, nous avons réparti le travail. Ensemble, on a cherché le sujet et avons discuté les aspects importants. Après la recherche individuelle, on a mis tout ensemble. Pour travailler comme ça, c’est important de se faire confiance et d’accepter qu’on travaille différemment. Pour nous, cela ne posait pas de problème.

Ce que le travail nous a apporté : Travaillant ensemble, nous avons parlé de nos points de vue et aussi de nos pays d’origine. Avec ce travail nous avons discuté dans une langue étrangère et accepté l’opinion de l’autre. En plus, c’est intéressant de faire des projets avec quelqu’un qui travaille différemment. Comme ça, on peut profiter des différents talents et apprendre d’une nouvelle façon.

1.2 Notre sujet d’actualité


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Lors du dernier cours nous avons parlé de la protection de l’environnement. Nous avons travaillé à 2 avec ma camarade russe, mais nous avons compris que nous ne devons pas travailler ensemble et nous travaillerons à 2 avec les autres étudiants étrangers. Nous avons choisi comme  sujet actuel la protection de l’environnement, parce que c’est un problème international et très important pour notre planète. Les ressources naturelles ne cessent pas d’être exploitées et les savants se heurtent à une grande quantité de problèmes Malheureusement, les problèmes écologiques sont maintenant l’un des sujets énormément actuels dans le monde. Mais nous en avons choisi six qui nous semblaient les plus sérieux.

Le problème 1 – c’est la pollution de l’air. Des millions d’usines rejettent les déchets dans l’atmosphère quand elles produisent les choses nécessaires pour assurer une vie confortable aux hommes. En revanche, la présence des produits chimiques dans l’air aboutit aux pluies acides et aux maladies diverses.

Deuxièmement, la déforestation progresse. Beaucoup de kilomètres carrés de forêt disparaissent chaque jour, d’où vient le manque d’oxygène qu’on respire tous. On devrait contrôler l’usage du bois et trouver d’autres matériaux alternatifs pour que la Terre soit saine.

Le problème numéro trois est l’accroissement de la population mondiale. Notre planète est capable de nourrir jusqu’à dix milliards d’habitants, mais  après? Le manque des produits alimentaires et d’eau potable, les guerres pour les territoires habitables – tout cela est malheureusement prévu pour l’humanité en cas de surpeuplement de la Terre. Je pense qu’il est beaucoup plus facile de préserver tout cela que de lutter contre ces maux à l’avenir. C’est évident que personne ne peut interdire d’avoir des enfants. Pourtant, le gouvernement pourrait informer ses citoyens du risque possible et leur proposer quelques limites concernant la quantité des enfants dans une famille.

Le trou de la couche d’ozone mérite aussi d’être mentionné . Nous ne le remarquons pas, mais cette couche de l’atmosphère nous protège du rayonnement ultraviolet. Pourtant elle est constamment attaquée par les pesticides.

Ces 20 derniers années le trou dans la couche d’ozone n’a cessé d’augmenter. C’est à cause des nombreuses usines et des voitures qui rejettent des substances dans l’atmosphère de notre planète et qui la détruisent. Cela influence  toutes les parties de notre planète : l’eau, la nature, les animaux, l’air, etc…

Les fuites radioactives sont aussi une partie importante de la catastrophe écologique qui s’approche. Les avaries dans les centrales nucléaires arrivent très vite tandis que leurs conséquences sont très sérieuses et elles sèment une menace totale pendant longtemps. On doit se rappeler les avaries dans les station de Fukushima, de Tokaimura au Japon et l’avarie dans la station nucléaire de Chernobyl en Ukraine qui ont beaucoup détruit la nature .

Finalement, la destruction des espèces animales est le dernier sujet dont on doit parler. Les oiseaux, les poissons , les mammifères… de plus en plus d’animaux sont menacés de disparition. Ils existeront bientôt seulement en photos. La liste rouge inclut beaucoup d’espèces d’animaux qui peuvent disparaître de la Terre. À notre avis, il faut protéger les animaux parce qu’ils font partie de notre planète et chaque être vivant est important sur la Terre.

Mais comment peut-on sauvegarder l’environnement?

Nous pensons que c’est n’est pas difficile du tout: il faut prendre l’habitude  de quelques gestes très simples. Nous économisons l’eau et la lumière. Nous ne jetons jamais n’importe quoi dans les rues et nous utilisons les poubelles.

Nous tâchons de ne pas prendre la voiture, nous prenons le vélo ou marchons davantage. Enfin, nous sommes arrivées à la conclusion que notre planète a besoin de  protection, c’est évident. A ce propos il faut interpeller les gouvernements et les habitants. Il est nécessaire pour tous d’aimer la Terre et de la protéger.

Daria et Lisa

Les réfugiés en Europe 2015

Pour notre d’actualité nous avons choisi le sujet le plus traité en Europe en ce moment : les réfugiés.

Nous avons réfléchi ensemble à ce qui nous intéressait et à ce dont on pouvait parler dans la perspective de la Finlande et de l’Allemagne.

Tous le temps nous avons parlé en français et nous avons partagé le travail. Quand une personne a fait la présentation, l’autre a fait la recherche sur internet. Nous n’avons pas eu de problèmes pour travailler, mais quelquefois nous ne nous sommes pas comprises. Mais ça n’était pas si grave, on a eu de la patience pour s’expliquer.

En totalité, le travail sur ce sujet était très intéressant et pas trop difficile. On a bien travaillé ensemble et on n’a pas eu de problèmes avec la langue française. Nous avons trouvé le sujet toute de suite et on a été toutes les deux d’accord que ça serait le bon sujet parce que c’est très courant dans nos pays respectifs. Ca serait bien aussi d’en savoir plus sur les réfugiés. Maintenant on en sait plus sur ce qui  s’est passé.

  • Paulina et Heini

Réfugiés-6

Résumé d’un sujet d’actualité

Nous avons choisi le sujet des langues étrangères enseignées à l’école élémentaire en Moldavie, en Suisse et en France, parce que nous étions toutes les deux curieuses d’apprendre le système d’apprentissage, les langues prioritaires dans chaque pays concerné et, le cas échéant, les reproches faits au curriculum d’enseignement, telles que celles qui existent en Suisse.
Tout d’abord la Suisse est le seul des trois pays où on apprend deux langues étrangères à l’école primaire. Pour ça on a discuté sur le but d’apprendre plusieurs langues étrangères. Certains soutiennent  l’apprentissage des langues  étrangères dans la petite enfance parce que c’est avéré que les enfants peuvent apprendre une deuxième ou troisième langue plus vite que les adolescents. Les autres – en revanche – pensent que les élèves à l’école primaire sont surmenés avec plusieurs langues. De plus ils trouvent que la priorité à l’école primaire devrait être les mathématiques et les sciences.
En outre, nous sommes toutes deux intéressées par les langues étrangères et lors de la rédaction de notre article nous étions motivées pour nous renseigner davantage sur ce sujet très en vogue actuellement et chercher différentes informations et citations concernant le plurilinguisme. Ce travail nous a donné encore plus envie d’étudier une langue étrangère d’arrache-pied, parce qu’une personne qui maitrise plusieurs langues a plus de chances d’ouverture d’une carrière intéressante. En effet elle est plus cultivée, plus consciente de la modernité  du monde et plus habile dans différents  espaces culturels.
Pendant notre travail nous avons conclu qu’apprendre une langue étrangère a plus d’avantages. Ce n’est pas seulement pour communiquer avec les autres mais aussi pour connaître une nouvelle culture. Travailler avec quelqu’un dans un autre pays n’était pas un problème. La seule difficulté était de trouver un sujet qui était intéressant pour les deux.

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