Ce regard bref mais méprisant ;
Crépitant comme une grenade ;
Se perdant dans une balade ;
Au-delà même de ce temps ;
Ces lèvres bleues dans l’océan ;
Suspendues à une façade ;
Dont l’éclat n’a pas de brimades ;
S’effacent dans un sombre blanc ;
De ton visage de lumière ;
Tu assombris les fleurs sur Terre ;
Et tu abandonnes Athéna ;
Oh ! Regard mauvais de Méduse ;
Oh ! Regard ardent qui s’amuse ;
C’est ton beau regard Monika.
Célian