Le Panthéon à Rome

Nous avons découvert lors de notre dernier soir à Rome le Panthéon de Rome, qui se trouve sur la grande Piazza Della Rotonda. C’est l’un des édifices religieux antique les plus célèbres !

Lors de notre arrivée devant l’édifice, je ne saurais pas vraiment décrire nos réactions à tous mais pour ma part j’ai simplement été impressionnée par sa taille, son originalité ainsi que sa parfaite conservation.

Nous ne sommes pas entrés directement à l’intérieur car nous avons eu le droit à un sympathique quartier libre jusque à la tombée de la nuit. Une fois venu le moment d’entrer, ce fut une superbe découverte.

Il n’y a qu’une seule grande entrée qui ressemble aux entrées des temples traditionnels avec des colonnades rectangulaires mais une fois qu’on entre dans la salle de culte on voit que le temple a une forme circulaire ce qui fait une de ces originalités. On remarque aussi que l’extérieur du Panthéon est plutôt dans le style antique alors que l’intérieur a un style baroque. Autre chose qui rend le Panthéon si spécial, c’est sa coupole qui possède un oculus ( c’est une ouverture circulaire) de 8,7m de diamètre donc quand il pleut, l’eau entre dans le temple!! ( dur dur, le nettoyage après la pluie)

Pour la touche d’histoire, le Panthéon a été construit vers 27 av JC sous Agrippa. Il a ensuite été abîmé une première fois en 80 à cause de l’incendie de Rome et rénové juste après par l’Empereur Domitien. Malheureusement en 110, sous Trajan, il y a eu un nouvel incendie qui cette fois a totalement détruit. Le Panthéon ainsi a été entièrement été reconstruit sous Hadrien en 118 ou bien 125. (On n’a pas de date exacte, sorry). Et puis en 609 le Panthéon s’est reconvertit en église. Dans le Panthéon, repose le tombeau du peintre et architecte de la Renaissance Raphaël.

Ce fut une superbe découverte ainsi qu’un régal pour les yeux, on s’en souviendra longtemps !!!

 

 

Noémie

 

 

 

 

 

Retour d’expérience : Cerveteri et d’autres lieux bien plaisants…

Cerveteri ou la nécropole étrusque de Banditaccia est un des lieux que nous avons visités durant notre voyage. Je vous invite, si ce lieu vous intrigue, à aller vous renseigner en lisant l’article de Maëva et Jessica.

https://lewebpedagogique.com/latineinstein/2020/04/03/cerveteri-la-necropole-etrusque-de-banditaccia/

 

En effet, pour ma part je ne vais que présenter brièvement deux endroits que nous n’avons pas pu voir par manque de temps sur place. J’en avais préparé la médiation culturelle.

 Il tumulo degli Scudi e delle Sedie ou la tombe des boucliers et des chaises

Quelques petits trucs à retenir :

  _un des plus grands tombeaux de la nécropole (40m de diamètre)

  _cette tombe est dite « des boucliers et des chaises » car elle contient en tout quatorze boucliers gravés sur les murs et deux chaises où auparavant trônaient vraisemblablement des statues en terre cuites. 

 _ elle dispose du même plan que la tombe de la corniche,

 

_ce plan reproduit la maison aristocratique du VIème siècle.

Via dei monti ceriti

Cette partie de la nécropole est semblable à une ruelle. De plus,  elle permet de rejoindre les grands tumuli. Enfin, celle-ci est jonchée par des tombes qui ont l’allure de maisons étrusques

                                          

Ces deux lieux montrent à quel point l’aspect de ville est respecté dans cette nécropole ce qui la rend tout aussi particulière que vivante malgré le passage du temps.

Quelques photos de ce qui m’a marqué 

L’intérieur de la Basilique Saint Pierre parce que lorsque mes yeux se sont posés sur ce dôme, la seule pensée qui ait traversé mon esprit fut : « Wouah que c’est Zzzolie »

Un drôle de monsieur qui devait mourir de froid… c’est bien sûr un des gardes suisses.

Autre très bon souvenir : la cuisine italienne !

Tatiana

Le Caravage

Caravage ? On a tous entendu ce nom mais savons-nous vraiment ce qu’il signifie ?

On pourrait prendre cela pour une sorte de véhicule disparu du XVIeme siècle mais non…

Mais si on énonce deux mots il peut prendre un tout autre sens, en tout cas le vrai :

 

Si je dis Italia e pittura ?

 

Non plus ???

 

Très bien alors commençons du tout début :

 

Dans un passé très lointain, durant le XVIIème siècle, il y avait un homme répondant au nom de Michelangelo Merisi da Caravaggio que l’on a raccourci en Caravage parce que c ‘est un peu long a prononcer quand même.

 

Donc cet homme est un peintre, bon ça on le savait déjà, son œuvre est basée sur les caractères naturalistes, et est très réaliste même parfois brutale et l’emploi est appuyé de la technique du clair-obscur allant jusqu’au ténébrisme.

Il connaît la célébrité de son vivant et influence nombre de grands peintres après lui, comme en témoigne l’apparition du caravagisme.

 

Donc après le début de son succès tout se passait bien mais c’est après que ça s’est gâté…

En 1606, une période aussi sombre que ses tableaux commença !

 

Pendant un duel il blesse mortellement son adversaire mais n’est-ce-pas le but d’un duel ???

Donc après ce tragique incident on le met en exil à l’extérieur de Rome. Un peu partout sauf à Rome : à Malte, à Naples et en Sicile… Finalement c’est pas si mal l’exil au XVIIeme siècle…

 

En 1610 il meurt à 38 ans. Ses peintures servent à racheter ses fautes et on commence à l’oublier jusqu’à l’oubli total.

 

MAIS il ressurgit au début du XXeme siècle !

 

Son succès populaire donne lieu à une multitude de romans et de films, à côté des expositions et des innombrables publications scientifiques qui, depuis un siècle, en renouvellent complètement l’image. Il est actuellement représenté dans les plus grands musées du monde, malgré le nombre limité de peintures qui ont survécu.

 

Durant notre voyage à Rome avec le groupe de latinistes, nous n’ avons pas pu voir les tableaux dans l’église Santa Maria del Popolo… Elle était fermée… Mais ce n’est pas grave car une autre église à l’autre bout de la ville (Saint-Louis-des-Français) possédait des tableaux de Caravage ! Youpi !!!

 

Donc nous nous sommes rendus dans cette église afin de présenter les tableaux…

On les a surtout super bien regardés…

 

« Oh ! Quels beaux tableaux ! Qu’est-ce-que j’aimerais savoir leurs noms ! »

« Oh ! Quels beaux tableaux ! Je vais demander à Google comment il s’appellent ! »

Voilà, là c’est mieux !

Bon grâce à Google, je sais maintenant que ces deux tableaux de Caravage s’appellent « Le martyre de Saint Matthieu »(1599-1600) et « La vocation de Saint Matthieu »(1600).

Ils sont très beaux mais j’avoue ne toujours par comprendre le sens de ces titres d’œuvres…

 

Bon ce qu’il faut retenir de cet article :

 

-Si tu peins quelque chose de nouveaux et un peu stylé tu vas devenir célèbre, gagner beaucoup d’argent et te faire beaucoup d’alliés mais aussi beaucoup d’ennemis.

 

– Si tu blesses mortellement ton adversaire qui a cherché la bagarre, tu vas de retrouver en vacanc…exilé sur des superbes îles tout autour de l’Italie comme châtiment (tousse)(tousse)(tousse).

 

– 300 ans plus tard, tu redeviens célèbres pendant une durée indéterminée parce que pour l’instant il a encore un sacré niveau de célébrité.

 

– Et que surtout, si on persiste, qu’on ne pense pas aux regards des autres on peut arriver à faire avec notre talent et nos capacités de grandes choses qui peuvent marquer l’Histoire à jamais.

 

Inès et Méline

Cerveteri : la nécropole étrusque de Banditaccia

Près de Cerveteri, la grande nécropole étrusque Banditaccia reflète divers types de pratiques funéraires.

Elle fut construite entre le IXe siècle sous la culture villanovienne et le IIIe siècle avant J.-C. et compte parmi les plus beaux témoignages du monde étrusque, cette civilisation urbaine du nord de la Méditerranée qui a vécu dans le centre de la péninsule italienne depuis la fin de l’âge de bronze jusqu’à la prise par les Romains de Velzna en 264 av. J.-C.

Certaines tombes du site sont monumentales, taillées dans la roche et surmontées d’impressionnants tumuli. Nombre d’entre elles comportent des bas-reliefs, tandis que d’autres renferment de remarquables peintures murales. La nécropole comprend des milliers de tombes disposées selon un plan quasi urbain, avec des quartiers, rues et petites places. Les tombes sont de divers types : tranchées, creusées dans le roc, tumuli, ou d’autres taillées dans la roche en forme de cabane ou de maison avec un luxe de détails architecturaux.

Elles s’étendent sur 400 hectares et la partie réservée à la visite est de 10 hectares avec près de 400 tumulus. Elles constituent l’unique témoignage qui nous soit parvenu de l’architecture résidentielle étrusque.

Lors de la visite, nous étions chargées de la médiation culturelle de quelques tombes. Nous avons découvert le site en même temps que nous le décrivions au reste du groupe. Ce fut dans l’amusement et la joie de la découverte que nous nous faufilions, grimpions entre les tombes à la recherche de celles que nous présentions pour les trouver avant que le groupe arrive. Nous avons ainsi fait visiter plus d’une dizaine de tombes à nos camarades, certaines enfouies sous terre, d’autres formant un monticule recouvert d’herbe. Parmi les tombes présentées lors du voyage, nous en survolerons seulement 3.

En premier nous vous présentons la Tombe des Reliefs.

La tombe la plus célèbre parmi celles de Banditaccia est la « Tomba dei rilievi » remontant au IVè siècle avant Jésus Christ.

Trouvée au XIXè siècle (1846-1847) par le banquier collectionneur Giovanni Pietro Campana, la Tombe des Reliefs est l’une des plus belles tombes de toute l’Étrurie étrusque. Le tombeau a été construit sur une carrière de tuf (roche poreuse de faible densité), elle est complètement enterrée dite en « hypogée », on y accède par un long dromos (en grec, un chemin, une allée) en escalier creusé dans la roche qui mène à une grande salle avec un plancher soutenu par deux colonnes à chapiteaux ioniques (chapiteau à volutes) , avec un fût (partie entre la base et le haut) orné de 24 cannelures et avec une base moulurée. L’intérieur est, dans la simplicité du représenté, assez somptueux pour appeler cette tombe par le nom de Tomba Bella. Elle se compose de 13 niches funéraire (ou alcôves pour les membres les plus importants ) mais aussi d’une trentaine d’emplacements contigus sur le sol (juste délimités par un rebord) pour d’autres défunts. Le tombeau des reliefs est également en stuc polychrome (enduit composé de marbre blanc mêlé à de la chaux et de la craie, pour imiter l’apparence du marbre ) sur les colonnes, les murs autour des niches sépulcrales et au-dessus du quai de pierre tout autour du tombeau. Ces niches contiennent des coussins rouges, des objets d’usage quotidien et des animaux. Le tout illustrant en trompe-l’oeil un décor de la vie quotidienne ( ou de la vie dans l’au-delà) d’une famille étrusque aisée du IV-IIIe siècle av. J.-C.

Nous sommes dans le tombeau familial des Matunas, comme nous le rappelle le cippus (pieu, tronc d’arbre enfoncé dans le sol) à l’intérieur du tombeau. Il y est inscrit « Vel Matunas Larisalisa ancn suthi cerichunce,  traduit selon J.Heurgon (latiniste et étruscologue français) : « Vel Matunas, fils de Laris, a fait construire ce tombeau »

Ensuite nous avons vu le Tumolo del Colonello (Monticule du colonel).

Il s’agit de l’un des plus grands monticule funéraire de la nécropole de Banditaccia. C’est également l’un des plus anciens, puisque datant du VIIème siècle avant J.C. Le nom quelque peu étrange de cette tombe dérive de la forme de ce monticule en tambour plat et rond, ce qui fait penser aux diplômes et décorations d’un colonel. Le tombeau est accessible par un pont en fer placé sur le fossé profond et large entourant le monticule. Des quatre tombes présentes à l’intérieur, seulement trois peuvent être visitées. La plus ancienne, très simple et modeste, est composée d’une seule pièce de trois mètres carrés.

Et pour finir la Tomba del pozzo ( la Tombe du puits).

Cette tombe constitue un véritable mystère à l’intérieur de la nécropole. Ce mystère réside dans le puits lui-même, puisqu’à l’époque, les Etrusques ne buvaient pas d’eau plate, mais plutôt de l’eau gazeuse naturelle. Mais alors on peut se demander à quoi sert ce puits ? Certaines théories avancent l’idée que l’eau servait pour arroser les fleurs, mais personne n’en est certain. Cette tombe, qui est enfouie à quelques mètres de profondeur sous la terre, contient une chambre ossuaire, des pierres commémoratives et des maisons jouxtant ce tombeau, à l’extérieur.

Jessica et Maëva

Tombes romaines du passé

Tombes romaines du passé…
Les anciennes tombes sont vues.
Elles ne sont que ruines et poussières.
Elles ont perdu leur grandeur
Mais ont gardé leur valeur en racontant leurs mœurs.
Sous terre les tombes en secret
Sont cachées aux yeux de tous
Et protègent les morts qui conservent leur âme.
Peut-être hantées,
Certaines inaccessibles pour garder leurs mystères
Et ne pas oublier qu’elles étaient si précieuses et chères.
D’autres taillées à la main
Avec des peintures nous montrant ces anciennes histoires
Qui nous montrent l’art ancien
De ces Incroyables Étrusques.
Des lits en pierre reposant les morts,
Retrouvés intacts et solides encore,
Ont été oubliés par beaucoup de nos jours
Mais résonnent dans la mémoire pour toujours.
Peuplées d’histoires et d’anciennes vies
Elles nous transmettent un petit héritage
De cultures, de peintures et de parures.
Une civilisation disparue mais conservée
Dont le monde pourra se réjouir de ce trésor caché.
Clémence

Le baldaquin du Bernin dans la basilique Saint Pierre

Un peu d’histoire…

Cette œuvre, qui mesure 29 m de hauteur, a été réalisée par le célèbre artiste Gian Lorenzo Bernini. Cette commande a été effectuée sous la gouvernance du Pape Urbain VIII (1568-1644). Sa date de livraison , le jour de la fête de St Pierre, est le 29 Juin 1633. Le but de cette œuvre a été tout d’abord d’indiquer au pèlerin l’emplacement de la tombe de Saint Pierre. Le Baldaquin est une tenture suspendue au-dessus d’un lit, symbolisant ici le lit de la mort de St Pierre.

Qu’en pensons-nous ?

Le Baldaquin du Bernin est splendide en raison de sa beauté et de son nombre important de détails. Cette œuvre est vraiment magnifique et le symbolique est très belle.

Emilien

 Le Baldaquin du Bernin est l’œuvre la plus incroyable et la plus impressionnante de toute la basilique. C’est vraiment extraordinaire de savoir que la pape célèbre chaque dimanche la messe avec des milliers de fidèles. Je l’avais déjà vu auparavant mais l’impression a été toujours la même. Je trouve que c’est l’une des œuvres qui m’a marqué le plus durant tout le voyage.

Antoine

La médiation culturelle du site de Tarquinia : retour d’expérience

Mardi matin, après une première nuit à l’hôtel, on part direction Tarquinia, dans la campagne romaine, sous le soleil et le vent dans la figure. Arrivés sur place, Clara informe le groupe de l’organisation : deux groupes accompagnés chacun de 3 membres de l’équipe qui a préparé la médiation culturelle (Eléa, Elvire et Eva d’un côté, et Clara, Sarah et moi, Angéline de l’autre). Or pendant que Clara était perchée sur son rocher en train d’annoncer la gorge nouée par le stress, un chat l’a agressée. D’après elle, l’expérience fut un choc émotionnel : « le chat est monté sur mon rocher et déjà que je paniquais, il ne m’a pas aidée lui ». Ensuite, nous avons fait les deux groupes ; on était toutes un peu stressées, on avait eu du mal à récolter de des informations (merci Google hein !). Et là on s’est retrouvées devant des sortes de mini-maisons et on parlait de ce qu’il y avait à l’intérieur alors que nous même nous ne l’avions pas vu « en vrai ». « Je parlais de banquet, je ne savais même pas s’il était encore visible ou si ce n’était pas une simple fake new d’internet ». A l’intérieur, de grands escaliers en bois qui descendent. Où ? Aucune idée, c’était sombre. Franchement, sur le coup, j’ai espéré très fort que personne du groupe ne soit claustrophobe, on aurait l’air malin s’il y en avait un qui faisait une crise ! Au bout du couloir, une porte, avec Clara on se regarde, on espère toute les deux que ce soit une porte pour entrer ! Mais non. Une porte fermée avec une vitre pour regarder et un vieil interrupteur qui faut réappuyer toutes les 5 minutes. Et moi qui voulais tant savoir ce qu’était ce fameux « plongeur en forme de vis » (il y avait marqué cela sur un site, intriguant n’es pas ?). Bon on voyait tout de même bien la première la salle et les peintures étaient très bien préservées (c’est sûr que si on ne peut pas rentrer elles ne peuvent pas être détériorées). Après que tout le monde a visité la tombe de la chasse et de la pêche et la tombe des jongleurs, le groupe part voir les deux autres tombes : celle des léopards et celle de Bartoccini.

Ensuite après avoir visité toutes les tombes prévues par le groupe, on a pu en visiter d’autres. Certaines sont encore très belles comme d’autres sont totalement blanches dépourvues de peinture. Le site est très beau, on est un peu sur les hauteurs ce qui nous donne une vue sur la vallée campagnarde du Latium.

Ensuite nous allons au musée de Tarquinia, le bâtiment est massif et très beau. Dans ce musée sont placés les différents objets trouvés sur le site, des récipients, vases, outils, etc.

Le musée est riche, rempli d’histoire, on beaucoup aimé Tarquinia ! (Sauf le restaurant).

Angéline et Clara

Le rap de Rome

(version audio à venir…)

C’était au mois de décembre

Après des heures de bus

On arrive à Rome (boum) terminus

On s’est posés pour goûter un thé au gingembre

 

On a rappé à Rome (rappé à Rome)

Avec Yvonne ( avec Yvonne)

 

Estomac rempli

Direction Vatican

Sur place beaucoup de pratiquants

Puis l’après-midi (boum)

Fontana di Trevi

 

On a rappé à Rome (rappé à Rome)

Avec Yvonne ( avec Yvonne)

 

Le lendemain en route pour Tarquinia

Objectif nécropole étrusque

A midi ( boum) embusque

Pas de resto non Arcadia…

 

On a rappé à Rome (rappé à Rome)

Avec Yvonne ( avec Yvonne)

 

On continue avec Norchia

Et ses chemins étroits

Là bas beaucoup de péripéties

C’en était trop pour Denis

 

On a rappé à Rome (rappé à Rome)

Avec Yvonne ( avec Yvonne)

 

Mercredi : Ostie Cerveteri

Deux sites vraiment sympas

Dont on ne se lassera pas …

Enfin,bref en route pour l’épicerie

Où on a fait du bon boulot

En achetant du parmigiano

 

On a rappé à Rome (rappé à Rome)

Avec Yvonne ( avec Yvonne)

 

Le jeudi c’est la dernière journée

Alors en marche vers le Colisée

Sur place , plein de couples de mariés

Dont un posé sur un rocher

 

On a rappé à Rome (rappé à Rome)

Avec Yvonne ( avec Yvonne)

 

Pour terminer Rome

Direction le Forum

Pour finir le tour du canton

On se dirige vers le Panthéon

 

On a rappé à Rome (rappé à Rome)

Avec Yvonne ( avec Yvonne)

 

C’était au mois de décembre

Après des heures de bus

Retour à Bagnols (boum)

Terminus

 

 

Carpe Diem

 

 

Eva , Coline , Elea , Elvire

 

Le restaurant de l’horreur

 

Le mardi 17 décembre,

Alors que la fatigue venait de nous prendre,

Nous avions très faim,

Nous pensions que c’était la fin.

 

A midi nous rentrions dans le restaurant,

Tous sages et en rang,

Tout à coup une odeur nauséabonde,

Ce fut la fin du monde.

 

Des nappes oranges nous accueillirent,

Je m’en souviens comme si c’était hier,

Les plats arrivèrent après une éternité,

On se jeta dessus avec brutalité.

 

Il y eut un débat, steak de bœuf ou de cheval ?

Et bien non ! Ce n’était pas un steak Charal*

C’était un infâme steak de veau,

Sa texture nous faisait penser à du cerveau.

 

Claire sentit le gâteau,

Et dit à Mme Velot

« C’est de la cannelle ! »

Elle répondit « Oh ciel ! »

 

Après avoir fini le repas,

Nous fîmes un constat,

Il était loin d’être délicieux,

nous ne reviendrions pas, c’était plus judicieux.

 

Mais ce restaurant,

même pas très bon,

nous laissera quelques souvenirs,

pour l’avenir.

Sarah et Eva

*Ceci n’est pas un placement de produit.

Top 10 du voyage à Rome

1 . Le trajet en bus : Ce merveilleux trajet où dormir y est impossible et où, il est fortement interdit d’apporter des sandwichs au pâté et des bananes, fut quand même agréable par l’ambiance. Notre chauffeur, Denis, écoutait nos souhaits et mettait de la bonne musique( « il m’entraîne au bout de la nuit. » « Qui ça ? Qui ça ? ») et comment ne pas oublier ce fameux blind test avec les magnifiques récompenses comme un mono-écouteur usagé ou bien encore une dédicace de nos 4 professeurs. Ce fut également dans le bus, lors du retour, que les boulets d’or furent accordés : I.(on ne sait pas son nom) reçut le boulet d’honneur pour sa participation durant 3 ans et Cl., reçut le magnifique boulet d’or pour avoir par exemple renversé un pichet d’eau sur M. le jour où il pleuvait.

 

2. Le Colisée : L’un des lieux les plus connus d’Italie, le Colisée, présenté par quelques secondes, est un amphithéâtre datant de la Rome antique. D’ailleurs petite anecdote, lors de notre visite, nous avons assisté à une demande en mariage d’un jeune couple et puis à une séance photo de mariés, le photographe voulait prendre un couple juste marié sur un rocher (ce fut l’une des plus mauvaises idées de ce photographe). Nous avons donc assisté à l’avant et l’après d’un mariage.

 

3. Le Palazzo Massimo alle terme :  Cette visite et la découverte surtout de la magnifique fresque du jardin de la villa Livia furent très enrichissante sculturellement. Mais ce fut également un lieu de rigolade lorsque Cl. croyant parler à son camarade V. prononça ces mots à M. McGill « Pourquoi tu rigoles toi?! ». En effet, cette confusion s’expliqua sur le fait que V. et M. McGill avaient décidé, sans le vouloir, de s’habiller à l’identique.

4. Cerveteri :  cette visite de nécropole a été raccourcie de moitié à cause du restaurant. Mais les élèves de Première qui menaient la visite ont réussi à nous montrer les tombes les plus importantes et nous ont offert une excellente visite malgré la contrainte de temps. Et ils doivent en partie cela à T. qui s’est révélée la femme de la situation avec une main de fer : elle a pris les choses en main pour faire avancer le groupe rapidement. Et comme dirait V. : « Ce fut court mais intense ».

5. Ostie : ce lieu, présenté par une partie des élèves de Première avec brio, nous a fait connaître un endroit fabuleux. Ostie était le port pendant la Rome antique et les vestiges de ce lieu sont magnifiques et assez bien conservés. Nous avons vu plusieurs bâtiments comme un amphithéâtre dans lequel eut lieu le magnifique monologue d’Inès (encore bravo), des thermes, des maisons. Et comment ne pas vous citer la moins magnifique blague de M. McGill, et oui encore (« à Ostie, on fabrique des hosties ».).

6. Norchia et Tarquinia : La visite de ces deux nécropoles, fut menée parfaitement par les élèves de Seconde (encore félicitations à vous, car pour une première, vous avez bien réussi.). Ces lieux, comportant anciennement des tombes, sont des témoignages du monde étrusque. Mais ces lieux révélèrent chez certains des côtés aventuriers comme pour notre chauffeur ou très inspirants, notamment pour M. qui voyait des obélisques à la place de cheminées d’usines. Et bien sûr, car nous sommes sympathiques, nous allons vous parler de la magnifique glissade de V. lors du chemin pour nous rendre à Norchia.


7. Le Panthéon : le panthéon de Rome est magnifique avec des statues extraordinaires et des gravures exceptionnelles. Mais la seule chose qui intéresse les élèves est : « Mais quand il pleut, il pleut à l’intérieur ? ». Cette question, madame Velot en a marre d’y répondre et a donc prévenu : «  Quand il pleut, il pleut ». mais cela n’aura pas empêché trois élèves de poser la même question une fois à l’intérieur, au plus grand désarroi de notre professeure.

 

8. Le forum romain : cette visite faite par les élèves de HLP de madame Velot était géniale. S’il n’y avait que deux choses à retenir de cette visite, cela serait sans doute tout d’abord l’exposé de R. qui fut coupé à de nombreuses reprises ( à chaque fois qu’un mot sortait de sa bouche, pour être précises) par une mouette. Et ensuite ce serait la blague de M. McGill, il l’a d’abord racontée à ses collègues avant de nous la raconter à tous, avec quelques modifications. En résumé deux personnes construisent un bâtiment, l,une s’appelle Basile et l’autre qui veut interpeller son ami mais qui voit un rat au même moment cri « BASIL-HIC » et cela a donné le nom au bâtiment : la basilique Aemilia .

 

9. Le Vatican : c’était une magnifique visite, nous avons vu la place Saint Pierre où V. a pu rappeler à M.Vinit le pari qu’il a perdu contre Mme Velot en 2012, cela fait 8 ans qu’il lui doit un restaurant. Mais cette visite n’aurait pas été si géniale sans les mono-écouteurs. Ils ont permis aux élèves de Terminale qui faisaient la visite de nous communiquer les informations sur la basilique St Pierre ainsi que des blagues et même un peu d’ASMR.

 

10. La nourriture : comment parler de l’Italie sans parler de la nourriture ? Les pâtes, les pizzas, les glaces. Nous avons aussi eu le droit à des frites presque tous les jours de la semaine, mais aussi à un steak assez spécial. Nous avons passé le repas à deviner de quelle viande il s’agissait quand madame Tarragoni nous a appris que c’était un steak de vitello grasso ( steak de veau gras). C’était tellement mauvais que même les professeurs ne l’ont pas mangé.

Bonus : Bien que nous ne l’ayons pas mis dans notre classement, la fontaine de Trevi est un lieu superbe, l’une des plus belles fontaines que nous ayons vues.

Claudia et Marine

buy windows 11 pro test ediyorum