Les poésies de T. Vinau comme “l’îlot”, “Chaque matin”, “l’avaleur de sabre”, “Arme de jet”, “J’aime pas la crème chantilly”, “Enfance”, “Lettre à un ami” ou encore “Les barbots du sablier”, cassent la routine qu’on peut voir des poésies comme Paul Verlaine, Jacques Prévert et d’autres encore. Certaines poésies ne font qu’un seul vers comme “j’aime pas la chantilly” et “Enfance”. Mais aussi des vers qui parfois ne riment pas du tout ensemble et pour finir dans certaines poésies les strophes ne font pas le même nombre de vers.