Quartier lointain

Quartier lointain de Jirô Taniguchi raconte l’histoire d’un homme de 48 ans qui se retrouve après plusieurs années dans son village natal. Il va sur la tombe de sa mère et finit par s’endormir . A son réveil il n’a plus 48 ans mais est revenu a l’age de ses 14 ans , mais il a gardé tous ses souvenirs,  il se souvient de tout et va essayer de comprendre pourquoi son père les a abandonnés et il va aussi sans vraiment le vouloir changer le cours des événements.
J’ai trouvé l’histoire très intéressante car au fur et a mesure on découvre des secrets de famille , mais aussi car cet homme a la chance de pouvoir retourner dans le passé , de le changer et de trouver des réponses aux questions qui le hantent depuis plusieurs années .Les dessins n’ont pas de couleur , les personnages sont représentés simplement, le décor a un peu plus de détails .C’est un livre facile à livre .

Mathilde Théron

De la compassion pour ces femmes

Le livre de Vera candida raconte la malheureuse vie de quatre générations de femmes, toutes condamnées à enfanter sans pouvoir révéler le nom du père.
Le roman commence par une mauvaise nouvelle : on apprend que Véra candida va bientôt mourir.
En général les débuts de roman sont plus joyeux et moins directs.
Le récit commence avec la grand mère de Vera Candida, Rose Bustamente, âgée de quarante ans, c’est une ancienne prostituée reconvertie en pêcheuse.
Sa vie bascule lorsqu’elle rencontre Jeronimo, un homme mystérieux arrivé depuis peu sur l’île Vatapuna.
Cet homme va alors lui causer plein d’ennuis. Elle tombe enceinte , Violette nait.
Quinze ans plus tard ,Violette accouche de Vera Candida recueillie par sa grand mère Rose.
La fille décida de quitter l’île lorsqu’elle sait qu’elle était enceinte à quinze ans.
Ce livre ma plu,  bien qu’il soit long, j’ai éprouvé beaucoup de compassion et d’admiration envers ces femmes et beaucoup plus de dégoût envers les hommes bien qu’il y en ait un qui soit différent.
J’ai trouvé que le personnage de Vera Candida trop mystérieux,  on voudrait en savoir plus sur elle.

Ce que l’on sait de Vera Candida

« Ce que je sais de Véra Candida  » est un livre de Véronique Ovaldé. Il a reçu plusieurs Prix dont le Grand Prix des lectrices Elle, le prix Renaudot des lycéens et le prix France Télévision. Le livre en lui-même est un Flash-back Géant. Dés la première page, on est confronté à la fin du livre et donc on va remonter au fur et à mesure du livre vers cette fin ! C’est en fait la vie de Vera Candida qui nous est racontée par un narrateur omniscient  ; De la grand mère maternelle à la mère de l’héroïne et jusqu’à elle,Véra,  le livre nous raconte chaque épisode de son passé ; ce qui nous donne un livre de plus de 300 pages.
Je n’ai hélas pas aimé ce livre contrairement aux critique trouvées sur internet.

Premièrement, je n’ai pas réussi à aimer cette histoire. Je ne me suis pas senti concerné par la vie du personnage principal. J’ai trouvé son histoire triste et dramatique et n’ai pas ressenti l’espoir annoncé et que d’autres lecteurs ont pu trouver à la lecture. « Jusqu’à Vera Candida,qui fuit Vatapuna pour se forger un autre destin… »
Je n’ai pas trouvé le destin de Véra formidable, au contraire, j’ai trouvé sa vie trop compliquée et dure.
Ensuite, je ne suis pas attiré par les romans biographiques , je pense que plus tard je comprendrai mieux ce livre car il est compliqué .J’ai du mal à voir les liens entre les différentes émotions des personnages au fur et à mesure de l’histoire même si comme je l’ai précisé, elles sont très développées.
Pourtant, Je trouve que le livre est bien écrit. Car l’auteur traduit bien les sentiment des personnages à travers un narrateur omniscient. On peut vivre et ressentir ce que ressentent les personnages.« Vera Candida eut l’impression que son sang se figeait quand la moto s’arrêta un peu plus loin devant; on aurait dit que ses veines charriaient ».Cependant les causes et les conséquences des actions de la vie de Véra ne sont pas toujours claires pour moi.

Trois générations de femmes

 « Ce que je sais de Vera Candida » est un roman de Véronique Ovaldé née en 1972, qui a été publié le 20 août 2009.

Ce roman se déroule dans un pays imaginaire appelé Vatapuna et nous raconte l’histoire de 3 générations de femmes ; La grand mère, Rose Bustamente est la «  meilleure pêcheuse de poissons volants , qui avait été la plus jolie pute de Vatapuna « . La mère Violette, fille de Rose Bustamente et Jéronimo et enfin Vera Candida.

<< Quelque part dans une Amérique du Sud imaginaire, trois femmes d’une même lignée semblent promises au même destin : enfanter une fille et ne pouvoir jamais révéler le nom du père. Elles se nomment Rose, Violette et Vera Candida. Elles sont toutes éprises de liberté mais enclines à la mélancolie, téméraires mais sujettes aux fatalités propres à leur sexe >>

Rose Bustamente passait son temps à pêcher des poissons volants le matin et à se reposer l’après-midi devant sa petite cabane qui se situait devant la plage sur l’île de Vatapuna. L’arrivée de Jéronimo, joueur professionnel et riche va changer sa vie complètement car il veut faire disparaître sa cabane, Rose va essayer de négocier mais finalement elle se fait violer par lui. Violette, fille de Rose et Jéronimo se retrouvera enceinte du fils du maire et alors aura lieu la naissance de Vera Candida qui tombera à son tour  enceinte à l’âge de 15 ans. Vera Candida partira loin pour construire sa vie et éviter à sa fille de faire la même erreur qu’elle.

Personnellement quand j’ai commencé à lire ce roman, je ne le trouvais pas très intéréssant, mais peu a peu l’histoire est devenue de plus en plus agréable à lire. Cette histoire nous raconte la vie de 3 femmes dominées par des hommes. Je trouve que ce roman est dramatique et violent pour Rose, Violette et Vera, mais pas pour Monica Rose, la fille de Vera Candida car elle, elle  a au moins une chance de ne pas commettre la même erreur que sa mère. Ce roman apprend aux femmes qui ont vécu cette même expérience à être courageuses et d’avoir le droit de choisir leur destin.