Albi le 26 Janvier 2017
Chère Maylis de Kérangal,
j’ai lu Dans les rapides, et j’ai relevé une phrase que j’ai particulièrement appréciée.
» La maison,le lycée,le café,la maison,les tours en ville,les vacances, la vie ordinaire. »
Je la trouve exceptionnelle car elle nous rappelle la banalité de l’adolescence, de nos vies.
Rémy