Aujourd’hui je vais vous expliquer brièvement cette nouvelle assez courte d’Emile Zola.
- Ce petit livre de Zola est composé de 5 chapitres et chaque chapitre raconte l’histoire d’un personnage ou d’une famille. La tranche d’âge de ces personnages va de 10 ans à 70 ans et ils appartiennent tous à une certaine classe sociale allant de pauvre à célèbre
en passant par la haute bourgeoisie, dans tous les chapitres il y a un décès que ce soit un enfant ou bien une personne du troisième âge. Cette nouvelle exprime les différentes façon de mourir et montre bien que n’importe qui peut mourir à tout moment, la vie ne tient qu’à un fil. Voila ce que j’ai pu comprendre à travers ces chapitres, j’ai bien aimé car ce livre est très court et facile à lire, je le recommande.
Biegel Karim.
La nouvelle de Zola « Comment on meurt » raconte les derniers jours d’un noble, d’une bourgeoise, d’une commerçante, d’un enfant d’ouvriers et d’un paysan. Cinq façons de mourir, cinq attitudes face à la mort mais aussi, sinon surtout, face à la vie. Tous ne réagissent pas de la même façon: le comte de Verteuil est un riche politicien au sang noble, Madame Guérard la veuve d’un bourgeois aisé, Madame Rousseau une papetière qui a trimé toute sa vie durant, avec son mari, en vue d’économiser pour la retraite qu’elle ne prendra jamais, le petit Charles Morisseaul’enfant d’ouvriers très pauvres qu’une pleurésie emportera faute d’argent pour acheter des médicaments, de la nourriture et de quoi se chauffer, et Jean-Louis Lacour un grand-père qui vécu tranquillement sa vie de paysan.
Mon avis personnel, j’aime beaucoup la façon que Zola utilise , il montre cinq milieux sociaux différents et raconte la mort de chacun des différents personnages selon leurs milieu social, ce qui rend l’histoire plus intéressante.
Frindi Nouhayla
« Comment on meurt » est une nouvelle de Zola publié en 1876. Il décrit l’agonie puis la mort de différentes classes sociales du XIXéme siècle : d’un noble, d’une bourgeoise, d’une commerçante, d’un enfant d’ouvrier et aussi d’un paysan. Tous meurent différemment mais tous ne sont pas égaux face à la mort : Le noble appartenant à une illustre famille, très riche mais aussi politicien qui meurt seul, la bourgeoise avare qui sera rattrapée par l’argent dans le cœur de ses fils, Mme Rousseau la papetière qui même en agonisant fera les comptes de sa boutique, l’enfant d’ouvrier meurt sans pouvoir rien y faire et rend la vie de ses parents plus facile et Jean-Louis Lacour le grand-père qui meurt paisiblement.
Mon avis personnel : Zola montre 5 morts différentes, qui, je pense étaient les plus courantes à cette époque, il y a beaucoup de détails.
Maxime Lenoir
« Comment on meurt » est une nouvelle de Zola composée de 5 chapitres qui racontent chacun les derniers moments d’une personne. Zola nous montre différentes vies au XIXeme siècle qu’elles soient pauvres, riches, à la campagne ou à la ville. Il nous montre cinq morts différentes, cinq vies différentes comme par exemple le compte de Verteuil, un homme riche, avec aucun sentiment d’ amour pour son épouse mais qui arrive à la supporter, ou Madame Guérard qui est la veuve d’un magistrat, une femme très radine, ses fils attendaient son décès patiemment, on a aussi Adèle Rousseau qui a travaillé toute sa vie auprès de son mari, Charlot Morisseau, il fait partie d’une famille très pauvre, il est difficile pour lui de payer ses médicaments et enfin Jean-Louis Lacour qui travaille dans les champs avec ses trois enfants, et qui continueront même quand leur père mourra.
J’ai bien aimé ce livre de Zola car il raconte différentes histoire (vie) de personne du XIXeme ce qui rend le livre moins ennuyant.
Théo Hemardinquer