Mai 24 2022

l’Acanthcéromélan

nom : Acanthcéromélan (épines / corne / noir )

classe d’animaux : geozoon (animal terrestre en grec)

ordre : Cétartiodactyles ( qui ont un nombres pair de doigt 2 ou 4)

famille : mégacantho (grandes épines)

régime alimentaire : phytophage

 

Cet animal est nommée l’Acanthcéromélan , c’est un hippopotame de couleur noir avec de grandes épines et une corne , issue des phytophage , il se nourrie de plantes vertes et de fleurs.

D’après le grand scientifique Cyfton , il est d’une énorme taille et ses épines peuvent le protéger facilement étant donner qu’il tue ses rivales en très peu de temps .

Aussi d’après Démétlés dans son livre « Acanthos régnos » chapitre 23 , cet animal vie essentiellement en Australie , il est très rare , à cause de sa durée de vie étant donné que le plus vieux d’entre eux , étai âgé de 7 ans (une découverte très spéciale qu’elle a pu faire.) Mais sa rareté reste à vérifié puisqu’il est de couleur noir , il est difficile de le distinguer soit qu’il est probable qu’il y en ai beaucoup mais qu’ils n’ont pas été vu.

L’Acanthcéromélan vie uniquement sur terre , et évite d’être près de la mer , d’après la documentaliste Justine Preman il ne s’approche pas de l’eau , considéré comme un poison pour lui , il agit très rapidement et peut le tuer en quelque minutes , pour celà il s’en éloigne le plus possible.

Pour ce qu’il en est de sa relation  avec les hommes , il en a très peu vu, très rare sont ceux qui s’aventurent en Australie pour voir cette animal et beaucoup l’évite étant donné que certains ne sont jamais revenu .

En effet comme l’a précisé ARTE , dans un de leur document il est dit que certains scientifique et aventurier ont été tués avec la corne et les épines de l’Acanthcéromélan lorsqu’ils ont tentés de l’approcher .

 

 


Mai 18 2022

Animalia: Albaleonis Octocauda

Nom: Albaleonis Octocauda (lion blanc à huit queue)

Classe: Mammifère( vient du latin mamma; sein, mamelle; et fero ,porter ).

Ordre: Mégastodonte (qui a de grande dent )

famille: Félidé (famille des tigre chat …vient de félis, chat en latin)

Régime Alimentaire: Carnivore et piscivore (mange de la viande et du poisson)

Poids: entre 170 et 200 kg

L’Albaleonis Octocauda vivrait, d’après l’explorateur finlandais Adolf Erik Nordenskiöld, en Sibérie. Il est facile de confondre cet animal avec un lion blanc au premier regard, cependant ses longues dents, ses pattes palmées et ses huit queues le démarque aisément de son cousin.

Dans l’histoire naturelle, Pline l’ancien nous annonce que ce félin aurait été aperçu entrain de sauter à une hauteur égale à celle de la moitié du Parthénon en s’aidant de ses nombreuses queues. Ces dernières lui servirait également à se propulser lorsqu’il chasse dans l’eau, en effet, l’albaleonis n’est pas seulement carnivore (contrairement aux autres félidés), il est également piscivore. De ce fait il est commun de le trouver au alentour de cours d’eau.

La longévité de cette animal et ses méthodes de reproduction sont inconnus, certains scientifiques comme le zoologiste Elien, affirme même que l’albaleonis octocauda serait en réalité un unique spécimen et non une espèce. Pour appuyer son point de vu Elien met en avant l’absence de représentation de cet animal en groupe, et, en effet tout les portraits de l’albaleonis (que ce soit des peintures rupestres datant de l’âge de bronze en Sibérie, au compte rendu d’observation du zoologiste Edward Osborne Wilson dans les années 1990) ne représente à chaque fois qu’un seul animal.

Il est probable que l’albaleonis octocauda ais été une inspiration pour le lion des neiges; un animal légendaire Tibétain également présent dans le bouddhisme. Le lion des neiges est un animal, capable selon la légende, de volé. Le paragraphe de Pline l’ancien sur l’albaleonis nous permet de comprendre plus facilement d’où vient cette légende, connaissant la détente exceptionnel de cette animal.

Lauriane Sallettes


Mai 9 2022

Animalia : Syha’h Ah’li’drn

Nom Vernaculaire : Syha’h Ah’li’drn

Nom Scientifique : Tentaculum Cornus (qui a des tentacules et des cornes)

Classe d’animaux : Céphalopode (supposément)

Ordre : Antiquiores Ineffabilis (Grand Ancien Innomable)

Famille : Tentaculum Antiquiores (Grand Ancien à tentacules)

Régime alimentaire : Anthropophage.

Longévité : ???

Poids : ???

Mensurations : ???

 

Il paraîtrait qu’une créature, une chimère, une… chose existerait dans d’anciennes ruines plongées aux fonds des eaux de l’Océan Arctique Nord, à une position que je ne connais pas moi-même. Cette… chose, j’ai appris son existence d’après trois sources : un livre nommé « Ephaiagl Ot Shuggoth » datant d’au moins avant l’Antiquité Grecque, dans une langue que j’ai mis des années à déchiffrer au moyen de textes éparpillés dans les archives autour du monde, écrit par un certain « Al’h Thr’spna ». Si au premiers abords, on pense à des légendes, deux autres sources sont venus effacer mes doutes : des témoignages, de vive voix. Le premier était un gars, du nom de Stanley Darrel, qui souhaitais me recruter dans son équipe, pour partir en expédition dans ces lieux, avec l’argument que mon goût pour l’étrange et l’ésotérisme serait assouvi et me permettrait de réintégrer le microcosme scientifique, dont j’avais été radié pour avoir emprunté quelques millions à des banques pour des recherches infructueuses sur certains cryptides, avec des preuves de formes de vie inédites. Il parlait également d’une légende sur une hypothétique citée engloutie dans le Grand Nord dans laquelle on trouverait richesses et vestiges fantastiques. Après avoir refusé, je ne l’ai plus jamais revu, et n’ai plus jamais entendu parler de lui. C’est quelque mois plus tard qu’un homme qui toquait à ma porte, blanc comme un linge et le torse écorché de l’épaule droite à la cuisse opposée, s’est avéré être un des membres de cette équipe, le conducteur du sous-marin, qui a réchappé de justesse à la mort, contrairement à ses compagnons. Il m’avais trouvé grâce à son souvenir de mon refus de participer à l’expédition. L’homme, qui s’appelait Steve Ockstone, est mort quelque jours plus tard alors que je tentais de le soigner du mal qui le rongeait dans ma modeste maison de bord de mer. C’est à partir de ces sources que j’ai réussi à reconstituer de manière floue la… chose que je vais vous présenter.

La bête se serait terrée dans les profondeurs de ce qui semblerait être temple central de la cité, témoignant alors d’une déification, ou d’une sacralisation de la créature par les anciens locaux. Son anthropophagie a été constatée au vue de nombreux os et crânes humains qui jonchaient le sol. La bête aurait été trouvée en pleine hibernation, constatée par une respiration lente et longue ainsi que d’un pouls d’environ un battement par heure, ce qui indique que son alimentation n’est pas nécessaire, ou bien qu’elle constitue une part minime de ses besoins. La description qui m’a été faite de la chose est à peine croyable. Il s’agirait d’une créature de plusieurs mètre de hauteur et de largeur, constitué d’un nombre incalculable de tentacules entremêlées en une masse que l’œil humain ne saurait regarder en entier. Chacun de ces appendices serait couvert çà et là de sortes de cornes, d’ongles, de dents et d’os, laissant cependant la plupart de sa peau sans protections. Malgré la taille de la créature, le plus intrépide des voyageurs, un certain Pierre Bottero, anthropologue et écrivain français, a réussi à trouver ce qui se rapprocherais le plus d’une des mains de la créature, une serre comptant une vingtaine de griffes jaunâtres et constitué d’une peau se rapprochant de visu à celle d’une mouche domestique. L’impétueux a tenté de l’étudier en soulevant de quelques centimètres le membre, et ce fut la fatale erreur qui tua progressivement chacun des neufs aventuriers. Pierre a réussi soulever d’environ quelque centimètres la serre, avant de devenir blanc comme un linge et de crier, deux mot, ses derniers : « Un Œil ! ». En effet, ce que ce brave écrivain avait pris pour une patte d’un mètre de diamètre était en fait un globe oculaire, dont la pupille que ils voyaient d’un quart était constitué de milliers de motifs hypnotisant. L’étrange paupière se serait alors refermée sur le bras Pierre, broyant la chair de sa main jusqu’à son épaule, et arrachant une partie de sa clavicule. Il s’est effondré sur le sol, agonisant dans un mélange de sang, de salive et de larmes, en un long cri se transformant en un gémissement inaudible, pendant ce temps, l’œil s’était rouvert à moitié, comme celui d’un dormeur dérangé encore comateux. Il avait fixé un à un les membres de l’équipe, puis c’était refermé. Un son guttural serait alors sorti d’on ne sait où dans une langue semblable à celle que j’ai réussi à débrider : « Ymg’ ephaiagl ah mg, shuggoth.  Ah’mglw’nafh ng n’ghaor’nafh hai, ng ah lloigehye, ymg’ uh’e ephaifhtagn ng ah mg’lloig syha’h. » Les tentacules de la créatures se seraient alors mis en mouvement, tuant à un membres de l’équipage qui tentaient de fuir, ou les saisissant pour les déposer sur sa peau, rendant les victimes inconscientes à son contact, ou les rendant hystériques. Seuls trois d’entre eux ont réussi à sortir du temple souterrain, mais gravement blessés. Du liquide vert s’écoulait de la plaie du chef d’expédition Stanley Darrel. Il a été pris de convulsion après avoir franchi la moitié de la ville souterraine en courant. Il a poussé vers l’avant les survivants, en répétant que c’était fini pour lui et qu’il fallait qu’ils partent. Un cri animal entre l’humain et le saurien est alors sortit de sa gueule, désormais remplie de dents poussant dans sa gorge et sur ses lèvres. Son visage s’est couvert d’’écailles, et ses yeux on commencés à se dédoubler. Une queue reptilienne est sortie de son dos, et ses pieds se sont élargies en ersatz de palmes griffus. Steve a alors trainé jusqu’au vaisseau le dernier survivant, un certain neurologiste du nom de Tom Guénot, qui mourut quelques heures après leurs départ. Steve l’a enterré sur la plage avant de venir chez moi.

J’ai bien évidemment éclairci certains passages du récit de Steve pour le rendre compréhensible par la masse, et en ai interprété d’autres à partir d’écrits anciens. Je pense que cette créature s’est rendormie, mais qu’un jour, aussi bien demain que dans dix ans, elle se réveillera, elle et ses confrères. Et là, l’humanité ne sera plus. J’ai cependant trouvé une manière de l’anéantir, mais je dois d’abord aller vérifier par moi-même l’existence de la chose. J’ai laissé sous le plancher de mon lit la solution enfermée dans un coffre. Son code est dans la pièce, tous les indices y sont. Lecteur de cette lettre, je ne suis certainement pas revenu de mon expédition si tu la lis. Alors va à l’endroit indiqué, et tue la, tue la sans tergiverser, car nous sommes perdus si elle se réveille un jour.

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